Quand il n'y en a plus, il y en a encore donc.
Et ça ne s'arrange pas. Malgré le faux espoir qu'en découvrant enfin le pot aux roses en utilisant la petite dose de perspicacité féminine que les scénaristes lui ont concédée, Gabriella permette enfin à la série de décoller. Mais c'est sans compter la nullité crasse de Diego. Je ne peux plus encadrer le personnage, les bras m'en tombent. Le gars a quand même un problème (même Bernardo s'est résigné logiquement à lâcher le morceau). Le pire étant qu'il finit par totalement massacrer son double en laissant tranquillement l'esclavagisme se réinstaurer à Los Angeles pour servir ses ambitions assez grotesques. Et en plus il ne parvient même pas à prendre le dessus sur son épouse en mode Zorro. Il faut décidément faire une croix sur le romanesque et se farcir les errances conjugales du couple de la Vega jusqu'à la fin. C'est le coeur du sujet, il n'y a pas volonté de proposer autre chose de consistant. Or il aurait bien fallu, parce que ce n'est pas passionnant tant c'est naïf.
Et ça ne s'arrange pas. Malgré le faux espoir qu'en découvrant enfin le pot aux roses en utilisant la petite dose de perspicacité féminine que les scénaristes lui ont concédée, Gabriella permette enfin à la série de décoller. Mais c'est sans compter la nullité crasse de Diego. Je ne peux plus encadrer le personnage, les bras m'en tombent. Le gars a quand même un problème (même Bernardo s'est résigné logiquement à lâcher le morceau). Le pire étant qu'il finit par totalement massacrer son double en laissant tranquillement l'esclavagisme se réinstaurer à Los Angeles pour servir ses ambitions assez grotesques. Et en plus il ne parvient même pas à prendre le dessus sur son épouse en mode Zorro. Il faut décidément faire une croix sur le romanesque et se farcir les errances conjugales du couple de la Vega jusqu'à la fin. C'est le coeur du sujet, il n'y a pas volonté de proposer autre chose de consistant. Or il aurait bien fallu, parce que ce n'est pas passionnant tant c'est naïf.