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Joli épisode, presque en forme de reboot. Evan Rachel Wood est toujours aussi captivante, et après une saison 2 où son personnage c'était réduit à une machine à tuer sanguinaire, je suis content de la voir jouer plus de nuances. Le nouvel univers futuriste est bien fait, la production est quand même un cran au dessus des autres, comme souvent avec HBO, notamment j'ai vu en ligne que la scène avec la robe qui se transforme n'était pas un effet spécial mais une vraie robe, donc chapeau au département costume aussi. Beau changement, même si personnellement j'adorais l'univers western.
Aaron Paul est bien, ce n'est pas un grand acteur, il a tendance à toujours jouer le même gars, mais ça passe pour l'instant. Quelque chose n'était pas assez sombre et pouilleux dans la présentation de sa vie quand même, tout est un peu trop propre et lisse, pas assez éloigné des ultra riches, ça aurait été mieux de voir une vrai société à 2 vitesses. Les flashbacks avec son pote faisaient limites NCIS (lire: bas de gamme), et ses crimes sont un peu faciles et vite fait. A voir comment ce monde rencontre celui de rébellion plus couillu de Dolores.
Du coté de Bernard on se rend compte que le future n'est pas encore végétarien, cette usine était vraiment chouette, on voit aussi que les robots n'ont pas remplacé les employés humains, ce qu'on aurait pu imaginer, tout n'est pas robotisé. A la fin il veut retrouver "un ami" à Westworld, on verra si c'est Maève, qui elle joue une résistante dans un nouveau parc "Naziland", en France ?
Je suis heureux de retrouver cette série, parce que même si l'histoire n'est pas toujours complètement au point, elle apporte des questionnements interessants sur l'AI et les servitudes sociales, avec un niveau de production superbe. Que 8 épisodes au lieu des 10 habituels, j'espère que ça ne sonne pas la fin.
Aaron Paul est bien, ce n'est pas un grand acteur, il a tendance à toujours jouer le même gars, mais ça passe pour l'instant. Quelque chose n'était pas assez sombre et pouilleux dans la présentation de sa vie quand même, tout est un peu trop propre et lisse, pas assez éloigné des ultra riches, ça aurait été mieux de voir une vrai société à 2 vitesses. Les flashbacks avec son pote faisaient limites NCIS (lire: bas de gamme), et ses crimes sont un peu faciles et vite fait. A voir comment ce monde rencontre celui de rébellion plus couillu de Dolores.
Du coté de Bernard on se rend compte que le future n'est pas encore végétarien, cette usine était vraiment chouette, on voit aussi que les robots n'ont pas remplacé les employés humains, ce qu'on aurait pu imaginer, tout n'est pas robotisé. A la fin il veut retrouver "un ami" à Westworld, on verra si c'est Maève, qui elle joue une résistante dans un nouveau parc "Naziland", en France ?
Je suis heureux de retrouver cette série, parce que même si l'histoire n'est pas toujours complètement au point, elle apporte des questionnements interessants sur l'AI et les servitudes sociales, avec un niveau de production superbe. Que 8 épisodes au lieu des 10 habituels, j'espère que ça ne sonne pas la fin.
Dolores est donc passé de prostituée à killeuse à la Terminator, pourquoi pas. Moi cela ne me dérange parce que c'est une évidence elle est très jolie, je crois Evan Rachel Wood est juste magnifique. Voilà c'est dit.
Sans cela j'ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain mais sortir du parc m'a quand même fait un peu de bien, il n y a pas grand chose a dire sur le scénario, il est encore trop tôt c'est une mise en place. je ne sais pas combien coûte un épisode mais c'est vraiment un travail de fou, je ne vois pas un plan qui n'est pas retravaillé, tout doit être filmé sous fond vert. A voir don en espérant que le ramage ne soit pas plus beau que le plumage.
Sans cela j'ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain mais sortir du parc m'a quand même fait un peu de bien, il n y a pas grand chose a dire sur le scénario, il est encore trop tôt c'est une mise en place. je ne sais pas combien coûte un épisode mais c'est vraiment un travail de fou, je ne vois pas un plan qui n'est pas retravaillé, tout doit être filmé sous fond vert. A voir don en espérant que le ramage ne soit pas plus beau que le plumage.
Sans surprise me concernant, j'ai eu énormément de mal à me ré-immerger dans l'univers de Westworld, surtout après une deuxième saison qui m'avait passablement ulcéré avec ses inutiles sacs de noeuds alambiqués. Surtout je ne me rappelais même plus trop où chaque personnage majeur en était vraiment resté (un peu de temps s'est écoulé). Dans le cas de Dolores, ça revient rapidement, surtout que sa démarche est claire dés le départ. Elle est là pour prendre les commandes du monde réel des humains et elle va casser des culs de décideurs (blancs de plus de 50 ans?). Pour d'autres c'est moins évident, comme le segment de Caleb (Aaron Paul toujours éternel Pinkman pour moi) qui est assez laborieux. Le personnage met un peu de temps à se définir, ce qu'il fait n'est pas passionnant. On a droit à un pseudo twist un peu merdique sur la véritable nature de son seul ami Francis qui se révèle être lui aussi une IA. Donc un gars paumé qui ne trouve plus son compte dans un monde de plus en plus en pilotage automatisé et qui va donc se retrouver scotché à la chef des rebelles androïdes (il n'est pas près d'avoir un vrai ami). Les discussions tertiaires des actionnaires du trust m'ont ennuyé au possible. Oui ça magouille, toujours un peu les mêmes histoires avec des conflits d'intérêts et des actions boursières partout. Le personnage de Liam Dempsey est intéressant, très nuancé dans ses intentions et son humanité (qui manque chez tant d'autres). Tommy Flanagan (éternel Chibs pour moi) fait un bon dur à cuire. Visiblement Dolores a les moyens de créer des robots à sa convenance vu qu'elle a vite fait de substituer une version artificielle à l'ancien Martin Connells. Il y a quand même du rythme même s'il y a toujours dans le ton cette gravité un peu trop lourde qui parfois ne fonctionne pas.
Mais pour ce que j'ai le plus apprécié il y a la joie réelle de s'évader de Westworld et de naviguer dans un nouvel univers très réussi. J'aime beaucoup cette création d'anticipation très cyberpunk mais en version glacée et chic. HBO a mis le paquet, ils sont ceux qui offrent les meilleures productions actuellement. Même l'usine à viande de Bernard était hautement plausible par rapport à notre présent. La mise en place est réellement très bien pensée. Bon dans l'épilogue avec Maeve (mon perso préféré) on va visiblement revenir au parc d'attraction version séjour chez les nazis. Ca ne me fait pas super envie, mais au moins on en a définitivement terminé avec les cowboys et bon, ça déjà c'est bien.
On n'a pas encore eu droit à Vincent Cassel, je suppose qu'il va jouer le mystérieux Serac évoqué...
Mais pour ce que j'ai le plus apprécié il y a la joie réelle de s'évader de Westworld et de naviguer dans un nouvel univers très réussi. J'aime beaucoup cette création d'anticipation très cyberpunk mais en version glacée et chic. HBO a mis le paquet, ils sont ceux qui offrent les meilleures productions actuellement. Même l'usine à viande de Bernard était hautement plausible par rapport à notre présent. La mise en place est réellement très bien pensée. Bon dans l'épilogue avec Maeve (mon perso préféré) on va visiblement revenir au parc d'attraction version séjour chez les nazis. Ca ne me fait pas super envie, mais au moins on en a définitivement terminé avec les cowboys et bon, ça déjà c'est bien.
On n'a pas encore eu droit à Vincent Cassel, je suppose qu'il va jouer le mystérieux Serac évoqué...
le personnage interprété par Aaron Paul rappelle trop le Jesse Pinkman dépressif du téléfilm El Camino, je ne sais pas si c'est voulu par les scénaristes, ou si c'est le jeu d'acteur d'Aaron Paul, sa tronche qui fait inévitablement penser à son rôle de petit caid de Breaking Bad.
Le segment de Bernard qui va chercher de l'aide à Westworld, avec peut-être Maeve en mode "T-800 gentil" pour contre-balancer la puissance de Dolores ça peut être intéressant.
Mais bon toute cette histoire de révolte des robots qui veut dominer l'humanité n'a strictement rien de nouveau, ils ont ajouté une couche lourdingue à la "Nolan" pour intellectualiser le tout, et des ficelles scénaristiques pour entourlouper le spectateur je le pressens pour cette saison 3.