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Note moyenne de cet épisode: 14.8 / 20 (5)
Classement cette saison : 7
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vanlen 
16.0
16.0
...
Ca y est, enfin commencé. J'ai vraiment bien accroché même si c'est vrai qu'ils auraient pu raccourcir de bien 20min que ça n'aurait pas dérangé.
Le casting est bon, les décors vraiment bons et l'histoire pour le moment me botte bien. J'espère que ça reste à ce niveau de qualité sur la suite.
Ca y est, enfin commencé. J'ai vraiment bien accroché même si c'est vrai qu'ils auraient pu raccourcir de bien 20min que ça n'aurait pas dérangé.
Le casting est bon, les décors vraiment bons et l'histoire pour le moment me botte bien. J'espère que ça reste à ce niveau de qualité sur la suite.
greg971
14.0
14.0
Alors j'ai un peu triché car il m'a fallu plusieurs tentatives pour finir ce pilot. Du coup, j'ai moins eu l'impression de grandes longueurs.
Tout a été dit de façon très détaillée.
Je regrette un peu que le thème principal de la série soit la conscience des robot, leur humanité, enfin ces trucs déja vus et revus, avec la fameuse regle d'on ne tue pas les humains. Ca me rappelle un truc de asimov. Pourtant la deuxième partie d'épisode est plus accrocheuse, on peut dire que c'est du en très grande partie à la qualité du cast et de la production en général. Ed Harris en impose.
A voir dans quelle direction tout ceci va aller, en espérant que ça ne tourne pas en rond avant la mi saison
Tout a été dit de façon très détaillée.
Je regrette un peu que le thème principal de la série soit la conscience des robot, leur humanité, enfin ces trucs déja vus et revus, avec la fameuse regle d'on ne tue pas les humains. Ca me rappelle un truc de asimov. Pourtant la deuxième partie d'épisode est plus accrocheuse, on peut dire que c'est du en très grande partie à la qualité du cast et de la production en général. Ed Harris en impose.
A voir dans quelle direction tout ceci va aller, en espérant que ça ne tourne pas en rond avant la mi saison
prezhomer
14.0
14.0
Je n'ai pas vu le film des années 80', je pars donc d'une feuille blanche concernant cette nouvelle série. Et je dois dire que ce pilote m'a plutôt plu dans l'ensemble. Je mets donc un 14+ au premier épisode. Sortez vos colts pour lire la suite et si vous n'êtes pas d'accord avec moi, on pourra toujours régler ça à la gâchette...
Commençons par le commencement : le générique. Sublime. Visuellement on voit le boulot et la BO rajoute un côté mystérieux plaisant. Job's done !
S'en vient ensuite la première partie façon "Un Jour Sans Fin". J'ai mis un peu de temps à comprendre le pourquoi du comment, à définir le qui est qui ou le qui est quoi. Ça prend son temps pour poser les bases du parc d'attractions mais c'est nécessaires pour ce pilote pour ne pas avoir à revenir dessus plus tard je pense. Il y a donc des hummaoïdes revivant sans fin le même jour pour faire participer des clients humains à 200 missions dans le contexte du Far West. Sympa. Les Allers/Retours avec le centre de recherche et développement de la Firme amènent leurs lots de premières d'explications, là aussi nécessaires bien que parfois un peu longuets. Mais à force de mises à jours de leur créateur pour les faire ressembler de plus en plus à des Humains, certains humanoïdes pètent une durite. Les limites de la technologies ? Du coup quand ils vrillent, on les met au placard au -63e étage de la montagne-base de commandement. Le postulat de départ n'est pas bien compliqué mais comme c'est du Nolan et du Abrams, tout cela est entouré d'une complexité psychologique pour ajouter, artificiellement ou non, une tension dramatique. A voir ce que cela va donner dans les prochains épisodes.
Côté casting ; rien à redire. J'ai trouvé tout le monde convaincant. Mention spéciale à Dolores qui tient bien sur ses épaules la pression au lancement d'un tel show. Elle n'en fait pas trop et joue juste. Belle surprise pour cette actrice que je ne connaissais que très peu. HopKins et Harris, comme d'hab au Top même si pour l'instant leurs prestations furent plutôt courtes mais rien que le charisme qui se dégage de ces mecs suffit. James Marsden en robot-amoureux, pour l'instant lui aussi fait le job et tous les rôles annexes (le père de Dolores, le robot-fugitif, les scientifiques, ect...) s'en sortent bien eux aussi.
Dans ce pilote, donc, on pose les bases. Et l'univers est tellement riche entre ses personnages et son histoire qu'on a un peu l'impression de survoler le tout. Surtout qu'on commence à dessiner en même temps les premières story-ligne (rebellion des robots ?) et fil rouge (le Cow-Boy Ed Harris qui cherche le "niveau-mystère" par exemple). Cette multitudes d'informations à traiter dès le départ entraînent quelques longueurs et manques d'explications dans ce pilote mais je ne doute pas qu'il est normal pour un tel Show de le faire lors des 2-3 premiers épisodes. Pas le choix.
Niveau réalisation, production, on était au Top. Visuellement sublime, FX très bons, réalisation rythmée, j'espère juste que tous les sous n'on pas été dépensés sur le pilote et que le reste de la saison sera plus cheap. A voir donc la semaine prochaine sur ce point.
En conclusion, pilote qui joue son rôle, donne envie de voir la suite. Quelques longueurs dû selon moi à la richesse de l'Univers à mettre en place mais rien de bien gênant. les bases sont posées, le train est en marche. Et nul doute qu'il va accélérer très prochainement.
Commençons par le commencement : le générique. Sublime. Visuellement on voit le boulot et la BO rajoute un côté mystérieux plaisant. Job's done !
S'en vient ensuite la première partie façon "Un Jour Sans Fin". J'ai mis un peu de temps à comprendre le pourquoi du comment, à définir le qui est qui ou le qui est quoi. Ça prend son temps pour poser les bases du parc d'attractions mais c'est nécessaires pour ce pilote pour ne pas avoir à revenir dessus plus tard je pense. Il y a donc des hummaoïdes revivant sans fin le même jour pour faire participer des clients humains à 200 missions dans le contexte du Far West. Sympa. Les Allers/Retours avec le centre de recherche et développement de la Firme amènent leurs lots de premières d'explications, là aussi nécessaires bien que parfois un peu longuets. Mais à force de mises à jours de leur créateur pour les faire ressembler de plus en plus à des Humains, certains humanoïdes pètent une durite. Les limites de la technologies ? Du coup quand ils vrillent, on les met au placard au -63e étage de la montagne-base de commandement. Le postulat de départ n'est pas bien compliqué mais comme c'est du Nolan et du Abrams, tout cela est entouré d'une complexité psychologique pour ajouter, artificiellement ou non, une tension dramatique. A voir ce que cela va donner dans les prochains épisodes.
Côté casting ; rien à redire. J'ai trouvé tout le monde convaincant. Mention spéciale à Dolores qui tient bien sur ses épaules la pression au lancement d'un tel show. Elle n'en fait pas trop et joue juste. Belle surprise pour cette actrice que je ne connaissais que très peu. HopKins et Harris, comme d'hab au Top même si pour l'instant leurs prestations furent plutôt courtes mais rien que le charisme qui se dégage de ces mecs suffit. James Marsden en robot-amoureux, pour l'instant lui aussi fait le job et tous les rôles annexes (le père de Dolores, le robot-fugitif, les scientifiques, ect...) s'en sortent bien eux aussi.
Dans ce pilote, donc, on pose les bases. Et l'univers est tellement riche entre ses personnages et son histoire qu'on a un peu l'impression de survoler le tout. Surtout qu'on commence à dessiner en même temps les premières story-ligne (rebellion des robots ?) et fil rouge (le Cow-Boy Ed Harris qui cherche le "niveau-mystère" par exemple). Cette multitudes d'informations à traiter dès le départ entraînent quelques longueurs et manques d'explications dans ce pilote mais je ne doute pas qu'il est normal pour un tel Show de le faire lors des 2-3 premiers épisodes. Pas le choix.
Niveau réalisation, production, on était au Top. Visuellement sublime, FX très bons, réalisation rythmée, j'espère juste que tous les sous n'on pas été dépensés sur le pilote et que le reste de la saison sera plus cheap. A voir donc la semaine prochaine sur ce point.
En conclusion, pilote qui joue son rôle, donne envie de voir la suite. Quelques longueurs dû selon moi à la richesse de l'Univers à mettre en place mais rien de bien gênant. les bases sont posées, le train est en marche. Et nul doute qu'il va accélérer très prochainement.
russel
12.0
12.0
Je m'attendais à beaucoup mieux compte tenu du potentiel de l'oeuvre de Crichton. Et en même temps je ne suis pas totalement surpris de ma semi déception parce que je retrouve les travers sentencieux du clan Nolan qui m'insupportent en général et puis il y avait le retard pris par la série qui laissait présumer soit une volonté de peaufiner soit des soucis de maîtrise. C'est la dernière hypothèse qui semble l'emporter.
Ca commence par un générique haut de gamme dans le visuel, mais avec une bande son assez ratée. Un genre d'ersatz du thème de GoT en mode dépressif par franchement marquant. On nous embarque ensuite rapidement dans des ellipses embrouillées (vaguement Un jour sans fin) qui font la part belle aux considérations métaphysiques sur la genèse, les créateurs et les créatures, mais en revanche qui oublient de faire véritablement le spectacle. Certes, il y a de la baston moyennement bien filmée (du gore et du nu, quota HBO respecté), mais c'est tellement fractionné, conceptualisé, qu'il n'y a absolument aucun plaisir divertissant à assister au spectacle. C'est du cérébral à la sauce Nolan, donc. En fait assez chiant.
Or à la base ce n'est absolument pas la démarche de Crichton. Qui lui savait emprunter la structure narrative du cinéma grand public pour vulgariser des thèmes philosophiques et les rendre ainsi accessibles pour tous. Westworld c'est la maquette de Jurassic Park (et même Timeline), ni plus ni moins. Et ces oeuvres ne font que reprendre la forme linéaire du film catastrophe inventée par Hollywood. On vous embarque dans un tour de grand huit, avec présentations dés le début des futures victimes qui vont en chier en apprenant la dureté de la vie. La croisière s'amuse quoi. Là pas du tout, le récit est assez confus, multiplie les apartés sous prétexte de vouloir amener plus de profondeur. Et du coup on perd totalement la dimension parc d'attraction de Westworld qui s'apparente plus à une expérimentation de réalité artificielle en labo clos à seul but de recherche scientifique. Je pensais au départ par exemple que le personnage de James Mardsen était un touriste, surtout à cause de son appellation new comer. En fait pas du tout, c'est un robot. On finit par chercher les plaisanciers, des gens en qui s'identifier, réflexe naturel. Finalement il y a bien deux humains dans le lot. Tout ce bordel pour un pauvre couple de clients même pas développés? Ils ont du payer cher leurs vacances.
En fait ce pilote figure plus une sorte de préquelle introduction un peu alambiquée qu'un véritable lancement des festivités, à savoir l'exploitation du parc (uniquement western ici, dans le film je me rappelle qu'il y avait aussi les chevaliers de la table ronde). Il s'agit de montrer en une heure qu'il y a une couille dans le potage. Je ne sais même pas comment ils peuvent exploiter leur parc vu le nombre de dysfonctionnements et d'androïdes déjà au rebut. On ne sait pas pourquoi le cowboy solitaire interprété par un Ed Harris (qui ne parvient pas encore à me faire oublier Yul Brynner totalement) continue à fonctionner en autonomie alors que tous les autres ont été mis hors circuit.
Je crois qu'il y avait moyen de faire beaucoup plus simple et tout aussi efficace (comme le film). Les showrunner se vautrent pour les mêmes raisons que les génies à la tête de Westworld. Ils veulent péter plus haut que leur fondement. Pour la beauté du geste. Le plus drôle étant le personnage de Sizemore chargé d'élaborer les scripts de l'attraction (un showrunner donc) et à qui on passe un savon parce qu'il veut toujours pondre des trucs inutilement compliqués alors qu'on attend juste de lui que le manège tourne (ma présente critique donc). Fondamentalement créer des intelligences artificielles pour leur tirer dessus c'est débile de toute façon. Le tir au canard à la fête foraine suffit amplement.
Je finis sur la partie production et là on gagne forcément par rapport au film qui date (mais qui est toujours crédible). Toute la partie bricolage de robots en arrière salle est classe. Visuellement il y a des bonnes idées, on remplace le battement d'aile de papillon par une mouche à merde envahissante, mais ça fonctionne aussi. Et sinon j'espère surtout qu'on va retrouver l'interaction visiteurs humains vs figurants artificiels assez vite quoi et qu'on ne va pas se limiter à des geeks qui bricolent sur leurs robots en se bouffant le nez.
Ca commence par un générique haut de gamme dans le visuel, mais avec une bande son assez ratée. Un genre d'ersatz du thème de GoT en mode dépressif par franchement marquant. On nous embarque ensuite rapidement dans des ellipses embrouillées (vaguement Un jour sans fin) qui font la part belle aux considérations métaphysiques sur la genèse, les créateurs et les créatures, mais en revanche qui oublient de faire véritablement le spectacle. Certes, il y a de la baston moyennement bien filmée (du gore et du nu, quota HBO respecté), mais c'est tellement fractionné, conceptualisé, qu'il n'y a absolument aucun plaisir divertissant à assister au spectacle. C'est du cérébral à la sauce Nolan, donc. En fait assez chiant.
Or à la base ce n'est absolument pas la démarche de Crichton. Qui lui savait emprunter la structure narrative du cinéma grand public pour vulgariser des thèmes philosophiques et les rendre ainsi accessibles pour tous. Westworld c'est la maquette de Jurassic Park (et même Timeline), ni plus ni moins. Et ces oeuvres ne font que reprendre la forme linéaire du film catastrophe inventée par Hollywood. On vous embarque dans un tour de grand huit, avec présentations dés le début des futures victimes qui vont en chier en apprenant la dureté de la vie. La croisière s'amuse quoi. Là pas du tout, le récit est assez confus, multiplie les apartés sous prétexte de vouloir amener plus de profondeur. Et du coup on perd totalement la dimension parc d'attraction de Westworld qui s'apparente plus à une expérimentation de réalité artificielle en labo clos à seul but de recherche scientifique. Je pensais au départ par exemple que le personnage de James Mardsen était un touriste, surtout à cause de son appellation new comer. En fait pas du tout, c'est un robot. On finit par chercher les plaisanciers, des gens en qui s'identifier, réflexe naturel. Finalement il y a bien deux humains dans le lot. Tout ce bordel pour un pauvre couple de clients même pas développés? Ils ont du payer cher leurs vacances.
En fait ce pilote figure plus une sorte de préquelle introduction un peu alambiquée qu'un véritable lancement des festivités, à savoir l'exploitation du parc (uniquement western ici, dans le film je me rappelle qu'il y avait aussi les chevaliers de la table ronde). Il s'agit de montrer en une heure qu'il y a une couille dans le potage. Je ne sais même pas comment ils peuvent exploiter leur parc vu le nombre de dysfonctionnements et d'androïdes déjà au rebut. On ne sait pas pourquoi le cowboy solitaire interprété par un Ed Harris (qui ne parvient pas encore à me faire oublier Yul Brynner totalement) continue à fonctionner en autonomie alors que tous les autres ont été mis hors circuit.
Je crois qu'il y avait moyen de faire beaucoup plus simple et tout aussi efficace (comme le film). Les showrunner se vautrent pour les mêmes raisons que les génies à la tête de Westworld. Ils veulent péter plus haut que leur fondement. Pour la beauté du geste. Le plus drôle étant le personnage de Sizemore chargé d'élaborer les scripts de l'attraction (un showrunner donc) et à qui on passe un savon parce qu'il veut toujours pondre des trucs inutilement compliqués alors qu'on attend juste de lui que le manège tourne (ma présente critique donc). Fondamentalement créer des intelligences artificielles pour leur tirer dessus c'est débile de toute façon. Le tir au canard à la fête foraine suffit amplement.
Je finis sur la partie production et là on gagne forcément par rapport au film qui date (mais qui est toujours crédible). Toute la partie bricolage de robots en arrière salle est classe. Visuellement il y a des bonnes idées, on remplace le battement d'aile de papillon par une mouche à merde envahissante, mais ça fonctionne aussi. Et sinon j'espère surtout qu'on va retrouver l'interaction visiteurs humains vs figurants artificiels assez vite quoi et qu'on ne va pas se limiter à des geeks qui bricolent sur leurs robots en se bouffant le nez.
travis
18.0
18.0
Je vais commencer par les points négatifs ou plutôt le point négatif : il y a quelques longueurs dues à la durée de l'épisode et la nature répétitive de la série.
Au-delà de ce petit bémol, c'est ce qu'on appelle du lourd.
Le casting est exceptionnel jusque dans les rôle secondaires. Evan Rachel Wood en tête parvient à rendre son personnage mi-robot, mi-victime très charismatique. Je suis pas fan de James Marsden mais il parait à la hauteur de ce rôle.
La réalisation et, encore plus, la production sont très soignées. Quelques effets spéciaux un peu en-dessous et encore, je chipote.
La musique est parfaite aussi. Malheureusement, elle m'a un peu sorti de la série car je n'arrivais pas (et je n'arrive toujours pas) à savoir quelle chanson a été reprise version "orchestre" lors de la big fusillade (please help!).
Mais le plus gros atout de WestWorld, c'est cet univers double, riche et immersif des 2 côtés du miroir.
Il va falloir confirmer tout ça mais ce pilote est extrêmement prometteur...
Au-delà de ce petit bémol, c'est ce qu'on appelle du lourd.
Le casting est exceptionnel jusque dans les rôle secondaires. Evan Rachel Wood en tête parvient à rendre son personnage mi-robot, mi-victime très charismatique. Je suis pas fan de James Marsden mais il parait à la hauteur de ce rôle.
La réalisation et, encore plus, la production sont très soignées. Quelques effets spéciaux un peu en-dessous et encore, je chipote.
La musique est parfaite aussi. Malheureusement, elle m'a un peu sorti de la série car je n'arrivais pas (et je n'arrive toujours pas) à savoir quelle chanson a été reprise version "orchestre" lors de la big fusillade (please help!).
Mais le plus gros atout de WestWorld, c'est cet univers double, riche et immersif des 2 côtés du miroir.
Il va falloir confirmer tout ça mais ce pilote est extrêmement prometteur...
Je crois bien que c'est une reprise de painted black des rolling stones
Je crois bien que c'est une reprise de painted black des rolling stones
Merci, je savais que c'était une chanson culte mais blocage complet !
qui est un tres bon film en passant....
Quand à pourquoi il n'est pas mis au rebus et bien ce n'est pas un host mais un guest sinon teddy aurait pu le tuer. Enfin c'est ce que j'ai compris.
Quand à pourquoi il n'est pas mis au rebus et bien ce n'est pas un host mais un guest sinon teddy aurait pu le tuer. Enfin c'est ce que j'ai compris.
J'espère que je ne suis pas en train de spoiler du coup. Mais c'est la grande confusion de la série en fait qui ne précise pas clairement qui est host et qui est guest et je ne comprends pas trop pourquoi...
Franchement, il y a des sous et ça se voit, le casting est là mais alors, qu'est-ce que je me suis emm....! Et pourtant, quel potentiel!
Je ne suis pour l'instant pas convaincu par le "remplaçant" annoncé de GOT et il va falloir filer des amphétamines à tout ce petit monde pour que je raccroche le wagon...
Faudra qu'on m'explique pourquoi la presse a comparé cette série à GOT. A part HBO, je ne vois pas. GOT devait être le successeur de Sex & the City. Au moins ces 2 séries ont 2 points communs: la chaîne et le sexe.
J'ai essayé de regarder et je me suis endormi au début. J'essaye de le regarder en entier et de le noter.