Quand les showrunners ne donnent pas dans le total bullshiting intersidéral pour boucher les gouffres du récit, Daryl Dixon est à peu près regardable. Et c'était le cas pour le présent épisode dans la mesure où les rebondissements et les résolutions de problématiques s'y enchainaient relativement logiquement. Après il y a toujours de gros problèmes de rythme et de réalisation. On a même eu un judicieux petit passage dans les catacombes de Paris, ben oui, ça s'y prêtait bien, ça aurait été bête de passer à côté.
On continue à évacuer les méchants sans ménagement. Genet, Losang, à chaque fois on n'a pas franchement l'impression de se priver de grand chose. C'est plutôt sympa que Codron évolue et passe du bon côté, ça fait moins le côté accumulation de causes perdues. On ne sait pas trop pourquoi ils n'essayent pas de tirer quelque chose de plus profitable de ce gamin, comme chercher un éventuel vaccin. On est au pays de Pasteur bordel. Du coup les yankees essayent de nous le piquer façon Doliprane...
On continue à évacuer les méchants sans ménagement. Genet, Losang, à chaque fois on n'a pas franchement l'impression de se priver de grand chose. C'est plutôt sympa que Codron évolue et passe du bon côté, ça fait moins le côté accumulation de causes perdues. On ne sait pas trop pourquoi ils n'essayent pas de tirer quelque chose de plus profitable de ce gamin, comme chercher un éventuel vaccin. On est au pays de Pasteur bordel. Du coup les yankees essayent de nous le piquer façon Doliprane...