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Note moyenne de cet épisode: 14.3 / 20 (3)
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zavata77 
15.0
15.0
Pareil que valem91. Je ne me suis pas ennuyé, quelques moment tiré par les ficelles, mais ça passe bien quand même, j'ai bien aimé voir tout ça.
La partie romance n'était pas trop présente c'est aussi ce qui m'a plu, on a pas perdu trop de temps, juste assez pour s'attacher un peu aux personnages.
La partie romance n'était pas trop présente c'est aussi ce qui m'a plu, on a pas perdu trop de temps, juste assez pour s'attacher un peu aux personnages.
valem91
15.0
15.0
film qui commence en une présentation des 2 protagonistes. puis on passe par la mise en place de chacun, de leurs échanges puis de leur rencontre. ça fait un peu eau de rose, mais ça marche. on attend tous qu'il se passe quelque chose. Et puis y'a la partie au fond de la gorge et là on passe au mode jeu vidéo. Et tout ça, ça a super marché sur moi. je ne me suis pas ennuyé pendant les 2 heures du film. En plus, j'adore ces 2 acteurs. Et puis au moins on n'est pas ennuyé par les dialogues ni a avoir à retenir tous les personnages.
russel
13.0
13.0
Sur le papier, le principe de The Gorge est supposé fonctionner. L'idée de la crevasse insondable qu'il convient de surveiller à la mode mur de Berlin, c'était plutôt bien pensé. Il y a même au départ un côté job à la con à la Severance. Bon après le souci c'est que le scénario a été pondu par Zach Dean, soit un mec qui est spécialisé dans le taillé sur mesure pour correspondre aux contraintes marketing. On lui devait déjà le calamiteux et décervelé The Tomorrow War. Là clairement on cherche à contenter plusieurs publics dans l'espoir d'attirer le maximum de monde et ça ne fonctionne jamais. Donc point de départ une histoire de série B guerrière horrifique à la Predator. Mais dont le moteur est une romance. Pour les garçons et pour les filles en somme. Ca débouche sur un résultat jamais réellement satisfaisant, au delà de la production qui reste soignée. Scott Derrickson à la réalisation n'est pas ce qui se fait de pire catégorie épouvante, la bande son est confiée à Trent Reznor et Atticus Ross (pas trop inspirés ici, ils ne dévoilent pas grand chose qu'ils n'ont déjà décliné maintes fois) et puis le duo de tourtereaux est très tendance puisqu'il réunit Miles Teller et Anya Taylor-Joy et on a en guise de pompon sur le bonnet l'impériale Sigourney Weaver en méchante. On n'est donc pas dans le bac à soldes de chez Temu.
Le problème majeur c'est que l'option romance prend trop l'ascendant sur l'aspect tripal de l'opération. Une fois que les créatures sont dévoilées, tout devient routinier. Les personnages ne semblent jamais véritablement terrorisés, même en prenant en compte que ce sont des soldats. Ce qui se déroule en dessous est proprement déroutant et eux s'en foutent un peu, ils sont amoureux et souhaitent juste se barrer pour convoler en juste noce. Du coup, on ne s'inquiète pas trop pour eux, tout tourne rapidement au jeu vidéo. Un côté très Doom Eternal ou autre Elden Ring, avec les changements de tonalités chromatiques pour signifier les changements d'environnement.
Bref le sujet devient trop artificiel, trop virtualisé pour espérer susciter une réelle implication. C'est juste divertissant dans la mesure où c'est suffisamment rythmé pour cela. Ce genre de projet ne pourra jamais prétendre devenir une référence, c'est du à jeter après usage.
Le problème majeur c'est que l'option romance prend trop l'ascendant sur l'aspect tripal de l'opération. Une fois que les créatures sont dévoilées, tout devient routinier. Les personnages ne semblent jamais véritablement terrorisés, même en prenant en compte que ce sont des soldats. Ce qui se déroule en dessous est proprement déroutant et eux s'en foutent un peu, ils sont amoureux et souhaitent juste se barrer pour convoler en juste noce. Du coup, on ne s'inquiète pas trop pour eux, tout tourne rapidement au jeu vidéo. Un côté très Doom Eternal ou autre Elden Ring, avec les changements de tonalités chromatiques pour signifier les changements d'environnement.
Bref le sujet devient trop artificiel, trop virtualisé pour espérer susciter une réelle implication. C'est juste divertissant dans la mesure où c'est suffisamment rythmé pour cela. Ce genre de projet ne pourra jamais prétendre devenir une référence, c'est du à jeter après usage.
