Voir tous les épisodes
Bien, il y a une vie après Breaking Bad, même si ce n'est pas évident de se replonger dans une autre série après un tel pic de tension émotionnelle. L'un s'en va et une autre revient. La gentille Alicia m'a rarement déçu (au passage E.R. est un autre drama qui m'a laissé un gros vide au moment de faire les adieux, en sachant que Margulies fut aussi de l'aventure Sopranos...) et avait même bouclé sa 4ème saison sur de chouettes perspectives de gros bazar avec son projet de cabinet en duo avec Cary.
Premier constat, à la 5ème saison, les King (Robert à la réal) ne montrent aucun signe d'usure. On est dans le rush d'entrée avec tous les fondamentaux, y compris l'humour absurde. Qu'est ce que c'est que cette Monica adepte du télétravail qui écume les locaux de Gardner Lockhart avec sa tronche sur moniteur juchée sur des roulettes?! Running gag improbable, j'ose espérer que ce machin n'est pas inspiré de la réalité tant c'est vraiment WTF?.
Deuxième constat, nouvelle arrivée qui a du être l'occasion d'une news sur Forom mais que j'avais oubliée. Melissa George se pointe en guest. Ca tombe bien, j'adore cette actrice australienne (aussi bonne qu'Yvonne !!) Quelle joie de la revoir, sachant que sa série Hunter semble hélas au point mort. Je ne comprends pas que cette comédienne ne casse pas plus la baraque, j'espère que ça va lui servir de tremplin. Bon Peter semble un peu effrayé par le charme de la demoiselle, mais je pense qu'elle va défendre chèrement ses chances face à Eli.
Troisième constat : L'intrigue de la grosse trahison des bleus du cabinet menés par Cary et chaperonnés par Alicia commence à faire monter la chantilly chez les huiles. Alicia très mal à l'aise se retrouve dans une position franchement ultra embarrassante. Il semble assez évident que le départ ne va pas se faire proprement. Kalinda essaye de tempérer sans trop se mouiller. Le cas de la semaine, une peine de mort n'aidait pas à préparer ses bagages. Petite parenthèse, quand on sait le nombre d'assassins qui pourrissent dans les prisons américaines, c'est toujours fortiche de coller le coupable douteux en exécution. La série est orientée progressiste, autant dire clairement anti death row. Mais peu importe la gravité de la situation faisait son office. Elle permet surtout de distinguer Diana et Will toujours aussi efficaces et éthiquement humanistes dans les causes qu'ils défendent. Le bon côté de la médaille qui distille le doute dans l'esprit d'Alicia. Doit-elle vraiment partir voler de ses propres ailes quand on a de pareils boss?
Notre brave Alicia en bonne âme certifiée n'a pas fini de se faire des cas de conscience, toujours en surmenage entre son boulot chronophage et son foyer à gérer. Ce qui nous amène au quatrième constat : ses mômes ont grandi encore un peu. Surtout Grace. Hâte que Eli surfe sur le site web...
Que de promesses... The Good Wife reste le seul show qui me tienne encore véritablement en haleine sur cette chaîne et tempère un peu mon mépris grandissant pour les gros networks qui produisent quand même il faut bien le dire essentiellement de la merde. Petit pincement au coeur, je note que Ridley Scott est désormais seul crédité à la production après la disparition de Tony. La vie continue...
"Okay! Save that photo, because it's the last time you're gonna see the ethics committee smiling in my presence. (Peter Florrick)"
Premier constat, à la 5ème saison, les King (Robert à la réal) ne montrent aucun signe d'usure. On est dans le rush d'entrée avec tous les fondamentaux, y compris l'humour absurde. Qu'est ce que c'est que cette Monica adepte du télétravail qui écume les locaux de Gardner Lockhart avec sa tronche sur moniteur juchée sur des roulettes?! Running gag improbable, j'ose espérer que ce machin n'est pas inspiré de la réalité tant c'est vraiment WTF?.
Deuxième constat, nouvelle arrivée qui a du être l'occasion d'une news sur Forom mais que j'avais oubliée. Melissa George se pointe en guest. Ca tombe bien, j'adore cette actrice australienne (aussi bonne qu'Yvonne !!) Quelle joie de la revoir, sachant que sa série Hunter semble hélas au point mort. Je ne comprends pas que cette comédienne ne casse pas plus la baraque, j'espère que ça va lui servir de tremplin. Bon Peter semble un peu effrayé par le charme de la demoiselle, mais je pense qu'elle va défendre chèrement ses chances face à Eli.
Troisième constat : L'intrigue de la grosse trahison des bleus du cabinet menés par Cary et chaperonnés par Alicia commence à faire monter la chantilly chez les huiles. Alicia très mal à l'aise se retrouve dans une position franchement ultra embarrassante. Il semble assez évident que le départ ne va pas se faire proprement. Kalinda essaye de tempérer sans trop se mouiller. Le cas de la semaine, une peine de mort n'aidait pas à préparer ses bagages. Petite parenthèse, quand on sait le nombre d'assassins qui pourrissent dans les prisons américaines, c'est toujours fortiche de coller le coupable douteux en exécution. La série est orientée progressiste, autant dire clairement anti death row. Mais peu importe la gravité de la situation faisait son office. Elle permet surtout de distinguer Diana et Will toujours aussi efficaces et éthiquement humanistes dans les causes qu'ils défendent. Le bon côté de la médaille qui distille le doute dans l'esprit d'Alicia. Doit-elle vraiment partir voler de ses propres ailes quand on a de pareils boss?
Notre brave Alicia en bonne âme certifiée n'a pas fini de se faire des cas de conscience, toujours en surmenage entre son boulot chronophage et son foyer à gérer. Ce qui nous amène au quatrième constat : ses mômes ont grandi encore un peu. Surtout Grace. Hâte que Eli surfe sur le site web...
Que de promesses... The Good Wife reste le seul show qui me tienne encore véritablement en haleine sur cette chaîne et tempère un peu mon mépris grandissant pour les gros networks qui produisent quand même il faut bien le dire essentiellement de la merde. Petit pincement au coeur, je note que Ridley Scott est désormais seul crédité à la production après la disparition de Tony. La vie continue...
"Okay! Save that photo, because it's the last time you're gonna see the ethics committee smiling in my presence. (Peter Florrick)"