Je note la saison entière
Vraiment très bon du début jusqu'au générique de fin.
C'est assez brutal et crapuleux par moments, ça reflète bien une époque où la faiblesse n'avait pas sa place.
Aucun personnage n'est épargné et peut dégager d'un coup.
Des éléments qui me plaisent dans une histoire car ça donne un côté imprévisible où tout peut arriver.
Pour la fin, je trouve que ce n'est pas trop frustrant même si une suite serait une bonne surprise mais après 8 ans....
C'est toujours le problème quand des pointures font des séries, Mindhunters par exemple
Vraiment très bon du début jusqu'au générique de fin.
C'est assez brutal et crapuleux par moments, ça reflète bien une époque où la faiblesse n'avait pas sa place.
Aucun personnage n'est épargné et peut dégager d'un coup.
Des éléments qui me plaisent dans une histoire car ça donne un côté imprévisible où tout peut arriver.
Pour la fin, je trouve que ce n'est pas trop frustrant même si une suite serait une bonne surprise mais après 8 ans....
C'est toujours le problème quand des pointures font des séries, Mindhunters par exemple
Ca se termine un peu non sans frustration comme précédemment envisagé, tourné vers l'horizon, vers l'infini aventureux, vers la liberté y compris de changer son drapeau comme bon vous semble. Un peu tout ce dont j'avais rêvé en fait. Mais le propos de Taboo était autre et se réduisait finalement à ne traiter que la vengeance émancipatrice de Delaney. C'est un peu dommage et ça appellerait presque une suite tant l'envie d'en vivre plus avec ce curieux héros très brut de décoffrage dans sa sombre sauvagerie qui renvoie aux personnages Robert E. Howard (Solomon Kane) et à la fois très moderne dans ses aspirations mondialistes et individualistes (tout le monde a plusieurs maîtres ce à quoi Delaney répond moi non).
Pour autant le boulot est abattu. Delaney aura foutu une belle pagaille dans ce Londres déjà plaque du commerce et de la finance internationale mais totalement nécrosé de l'intérieur. Il y aura juste l'idylle avec Zilpha. Je t'aime moi non plus. Et finalement si quand même... C'était secondaire, une simple attache tranchée, une amarre larguée.
La mini série vaudra avant tout pour sa production historique épatante (costumes, décors, maquillages, photo), son cast costaud. Sur la durée c'était un peu ronronnant dans la mise en place du dispositif Delaney, ça se réveille véritablement sur les 3 derniers épisodes dans lesquels on passe en mode action. Et donc partant si jamais la famille Hardy décide de donner suite aux aventures de ce personnage romanesque imaginaire mais pour retrouver aussi les quelques autres survivants qui s'en sont tirés. Ils sont peu il est vrai.
Pour autant le boulot est abattu. Delaney aura foutu une belle pagaille dans ce Londres déjà plaque du commerce et de la finance internationale mais totalement nécrosé de l'intérieur. Il y aura juste l'idylle avec Zilpha. Je t'aime moi non plus. Et finalement si quand même... C'était secondaire, une simple attache tranchée, une amarre larguée.
La mini série vaudra avant tout pour sa production historique épatante (costumes, décors, maquillages, photo), son cast costaud. Sur la durée c'était un peu ronronnant dans la mise en place du dispositif Delaney, ça se réveille véritablement sur les 3 derniers épisodes dans lesquels on passe en mode action. Et donc partant si jamais la famille Hardy décide de donner suite aux aventures de ce personnage romanesque imaginaire mais pour retrouver aussi les quelques autres survivants qui s'en sont tirés. Ils sont peu il est vrai.