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Note moyenne de cet épisode: 14.3 / 20 (4)
Classement cette saison : 12
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ramdams 
9.0
9.0
Le rythme est très lent dans cette série, si bien que je me demande si après huit épisodes, on n'en est pas au même stade qu'au pilote. Les chagrins d'amour de Terry, la névrose de Bunchy, les petits caprices de Bridget ne suffisent pas à rendre cet épisode digne d'intérêt. Un épisode tel que celui-ci permet de faire la transition entre deux moments de tension... mais on attend toujours lesdits moments de tensions.
brucewayne
15.0
15.0
Le seul point négatif pour moi de cette épisode ( et de cette série jusqu'à présent pour moi ) est la gamine bridget et Abby ; je ne comprends vraiment pas leurs réactions et leurs facilités à se mettre dans des situations problématiques . Autant Bridget , on se dit que c'est une gamine chiante capricieuse, autant la mère, je ne comprends jamais ses réactions . Ray l'appelle alors qu'elle cherche partout bridget, elle n'en dit rien.
Je ne vois pas la logique de ça ( à part celle de ne pas vouloir axer l'épisode sur ce truc tout naze).
Ca donne l'impression qu'il fallait donner à ray en plus de ses soucis , des soucis chez lui mais sans savoir ce qu'on allait bien pouvoir lui faire subir.
Mais mise à part ça, c'est du tout bon, c'est drôle, c'est rythmé, c'est bien joué ( coucou "under the dome" ) et bien filmé.
C'était un épisode plus relâche, mais qui permet d'en apprendre un tout petit peu plus sur la soeur des donovan,
un mickey qui semble moins salaud que ce qu'on pourrait en penser ( ray qui était convaincu que les épaules démise de sa soeur étaient dû à son père alors que c'était ses 2 frères),
une secrétaire qui a une sacré droite ,
un mickey a l'écoute des fantasmes des femmes ( c'était bien drôle ça, même si c'était prévisible, c'était bien amené),
le petit justin bieber noir moins le gros con qu'on pouvait penser,
la scène de l'église avec bunch est bien senti, j'étais mal à l'aise, tout comme lui sur ses marches.
un petit interlude avant ce qui s'annonce être explosif.
Je ne vois pas la logique de ça ( à part celle de ne pas vouloir axer l'épisode sur ce truc tout naze).
Ca donne l'impression qu'il fallait donner à ray en plus de ses soucis , des soucis chez lui mais sans savoir ce qu'on allait bien pouvoir lui faire subir.
Mais mise à part ça, c'est du tout bon, c'est drôle, c'est rythmé, c'est bien joué ( coucou "under the dome" ) et bien filmé.
C'était un épisode plus relâche, mais qui permet d'en apprendre un tout petit peu plus sur la soeur des donovan,
un mickey qui semble moins salaud que ce qu'on pourrait en penser ( ray qui était convaincu que les épaules démise de sa soeur étaient dû à son père alors que c'était ses 2 frères),
une secrétaire qui a une sacré droite ,
un mickey a l'écoute des fantasmes des femmes ( c'était bien drôle ça, même si c'était prévisible, c'était bien amené),
le petit justin bieber noir moins le gros con qu'on pouvait penser,
la scène de l'église avec bunch est bien senti, j'étais mal à l'aise, tout comme lui sur ses marches.
un petit interlude avant ce qui s'annonce être explosif.
greg971
17.0
17.0
très bon épisode centré sur la famille donovan.
Ca bastonne un peu mais surtout ça prend soin les uns des autres.
Il y avait un petit air de californication dans la relation père fille par exemple
mickey et la blonde, petit probleme de communication...
Ca bastonne un peu mais surtout ça prend soin les uns des autres.
Il y avait un petit air de californication dans la relation père fille par exemple
mickey et la blonde, petit probleme de communication...
russel
16.0
16.0
Petite respiration dans la montée dramatique, le temps que Sully se pointe de Boston pour s'occuper de Mickey. Mais d'abord une petite pipe.
Le reste est un peu du même acabit, encore qu'avec l'anniversaire de la frangine défunte, on est loin de se rouler par terre non plus. Mais il y a cet humour particulier toujours doublé d'une vacherie ou d'un coup de poing dans la gueule (Lena la romantique).
Ce petit intermède pour patienter est loin de tourner à vide. Il y a toujours de quoi charger l'emploi du temps d'un Ray Donovan. On creuse en tout cas la psychologie des personnages et particulièrement des frangins Donovan. L'héritage paternel est commun chez chacun. Toujours à fond à fond à fond quitte à finir dans le gravier. Le seul truc qui semble différencier les fistons du padre, c'est la droiture des principes, de la morale (fluctuante). Probablement un cadeau de la mère, Mickey en est passablement dépourvu, hédoniste inconséquent (il pleure la mort de sa fille mais quand on la lui a rappelée).
Non Ray n'est définitivement pas le même que son géniteur. Il n'est pas pour autant un modèle. Mais il est auprès de sa fille (exaspérante) quand il faut. A noter toujours le concours d'immaturité entre Abby et Bridget qui est loin d 'être ce qui me fascine le plus dans la série...
Et donc bien évidemment pas de nouvelles de ce sacré Van Miller puisque les gros dossiers sont en attente. Mais il est important de constater que même quand elle ne donne pas dans le vital, la série reste passionnante. C'est de la grande confection qui se donne les moyens de bien faire (Rosanna Arquette en guest)
"Why'd you light your house on fire, Bunch?
- I don't like it. Why'd you pull a gun on Pop?
- I don't like him.
"
Le reste est un peu du même acabit, encore qu'avec l'anniversaire de la frangine défunte, on est loin de se rouler par terre non plus. Mais il y a cet humour particulier toujours doublé d'une vacherie ou d'un coup de poing dans la gueule (Lena la romantique).
Ce petit intermède pour patienter est loin de tourner à vide. Il y a toujours de quoi charger l'emploi du temps d'un Ray Donovan. On creuse en tout cas la psychologie des personnages et particulièrement des frangins Donovan. L'héritage paternel est commun chez chacun. Toujours à fond à fond à fond quitte à finir dans le gravier. Le seul truc qui semble différencier les fistons du padre, c'est la droiture des principes, de la morale (fluctuante). Probablement un cadeau de la mère, Mickey en est passablement dépourvu, hédoniste inconséquent (il pleure la mort de sa fille mais quand on la lui a rappelée).
Non Ray n'est définitivement pas le même que son géniteur. Il n'est pas pour autant un modèle. Mais il est auprès de sa fille (exaspérante) quand il faut. A noter toujours le concours d'immaturité entre Abby et Bridget qui est loin d 'être ce qui me fascine le plus dans la série...
Et donc bien évidemment pas de nouvelles de ce sacré Van Miller puisque les gros dossiers sont en attente. Mais il est important de constater que même quand elle ne donne pas dans le vital, la série reste passionnante. C'est de la grande confection qui se donne les moyens de bien faire (Rosanna Arquette en guest)
"Why'd you light your house on fire, Bunch?
- I don't like it. Why'd you pull a gun on Pop?
- I don't like him.
"
