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Même avis que vous deux à peu près.
J'ai mis du temps à rentrer dans cet épisode, je suis d'ailleurs moins emballé par cette saison, moins hâte de voir la suite. Mais j'ai quand même pas mal rigolé, surtout dans l'attitude de certains personnages et le côté totalement décalé de certaines scènes, du Misfits quoi.
Dommage que l'agent de probation meurt, je le trouvais assez drôle par son ton détaché et une de ses dernières interventions: "Pourquoi y a t-il une fille dans le coma dans le cellier?" m'a bien fait rire^^
J'ai mis du temps à rentrer dans cet épisode, je suis d'ailleurs moins emballé par cette saison, moins hâte de voir la suite. Mais j'ai quand même pas mal rigolé, surtout dans l'attitude de certains personnages et le côté totalement décalé de certaines scènes, du Misfits quoi.
Dommage que l'agent de probation meurt, je le trouvais assez drôle par son ton détaché et une de ses dernières interventions: "Pourquoi y a t-il une fille dans le coma dans le cellier?" m'a bien fait rire^^
tout pareil que Russel, dans son intégralité, d'ailleur paf je mets la meme note, carrément!
Et sinon je fais du remplissage pour etre gentil.
Et sinon je fais du remplissage pour etre gentil.
Un petit swap de personnalité déjà plus casual que la récente incursion chez les nazis et les Misfits retrouvent des bases déjà plus à leur portée. L'échange de personnalités permet notamment à l'actrice Lauren Socha de s'essayer à d'autres compositions, sans résultat très probant tant elle tend à tout jouer pareil. Ce n'est pas une grande interprète à la base.
Le point fort de la série est ailleurs et réside en particulier dans le culot général. Tout se fait à l'emporte pièce, à la ça passe ou ça casse. Aussi on ne s'encombre pas de la difficulté pour embarquer une patiente dans le coma, pire on en rajoute en s'entassant à 7 dans une caisse. Le top ça reste la légèreté avec laquelle ils sortent l'éducateur Shaun de la série alors qu'il était quand même déjà installé depuis un certain temps. Dur de faire plus expéditif.
Donc c'est certain qu'on a toujours cette énergie juvénile un peu brouillonne qui bouffe le monde et ne s'autorise que peu de limites. Mais il manque ce fil rouge pour faire un peu le liant. On sent que ça va se jouer sur le personnage de Seth qui semble intégrer la bande via son idylle avec Kelly. Mais c'est vrai qu'ils se font un peu prier pour s'engager sur la distance et créer véritablement l'attente.
"Face/Off wasn't a body-swap. They had surgery to look like each other. This is more like Freaky Friday."
Le point fort de la série est ailleurs et réside en particulier dans le culot général. Tout se fait à l'emporte pièce, à la ça passe ou ça casse. Aussi on ne s'encombre pas de la difficulté pour embarquer une patiente dans le coma, pire on en rajoute en s'entassant à 7 dans une caisse. Le top ça reste la légèreté avec laquelle ils sortent l'éducateur Shaun de la série alors qu'il était quand même déjà installé depuis un certain temps. Dur de faire plus expéditif.
Donc c'est certain qu'on a toujours cette énergie juvénile un peu brouillonne qui bouffe le monde et ne s'autorise que peu de limites. Mais il manque ce fil rouge pour faire un peu le liant. On sent que ça va se jouer sur le personnage de Seth qui semble intégrer la bande via son idylle avec Kelly. Mais c'est vrai qu'ils se font un peu prier pour s'engager sur la distance et créer véritablement l'attente.
"Face/Off wasn't a body-swap. They had surgery to look like each other. This is more like Freaky Friday."