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De vrais beaux moments dans ce mid season final. Mais bon, on est quand même loin de l'interruption à la Breaking Bad dans sa dernière ligne droite (Hank sur son chiotte). L'attente laissée n'est pas du tout la même.
Il n'y a pas eu sur ces 7 épisodes de véritable montée d'intensité. On est plutôt dans une sorte de dérive crépusculaire à la fin des 60's. Il y a une page qui se tourne, une époque qui sera irrémédiablement révolue, mais il n'y a rien de violent, tout est très feutré car ayant été engagé sur la longueur. On est en apesanteur, comme le départ de Cooper le soir du premier pas sur la lune, tout en douceur et en charme poétique comme son ultime évocation dans l'imaginaire de Don.
La nouvelle restructuration de l'agence valide l'avènement du matérialisme. Il n'y a plus d'idéal, les créatifs sont d'ailleurs en démission (Ted qui pète les plombs finalement comme Don). Il n'y a plus que l'appât du gain qui pousse à se parjurer en un clin d'oeil (Joan et surtout Cutler).
Curieux de voir ce que Roger et Don ont encore à accomplir dans ce contexte ultra pragmatique. De la transmission de savoir peut-être comme c'est confirmé par le support déterminant de Don au près de Peggy sur le budget des Burgers.
On n'a pas oublié Betty et Sally qui viennent compléter le passage en revue des incontournables avant la pause. C'est assez anecdotique. Même si on souligne l'influence persistante de Don sur sa fille qui suit les conseils de son père en laissant tomber le cynisme de circonstance et opte ensuite pour le geek rêveur plutôt que le beau gosse qui se la joue rebelle de bac à sable (il aurait été le choix de Betty).
J'espère que cette coupure aura un impact sur le récit au redémarrage pour se justifier pleinement. Peut-être l'occasion de faire un bond en avant et de se retrouver à la reprise dans les 70's? Tout dépend si on veut réellement projeter les personnages vers l'avenir ou pas. Ceci dit, pas envie de voir Don mourir d'une cirrhose ou d'un cancer des poumons en 1990 par exemple...
"Every time an old man starts talking about Napoleon, you know they're gonna die."
Il n'y a pas eu sur ces 7 épisodes de véritable montée d'intensité. On est plutôt dans une sorte de dérive crépusculaire à la fin des 60's. Il y a une page qui se tourne, une époque qui sera irrémédiablement révolue, mais il n'y a rien de violent, tout est très feutré car ayant été engagé sur la longueur. On est en apesanteur, comme le départ de Cooper le soir du premier pas sur la lune, tout en douceur et en charme poétique comme son ultime évocation dans l'imaginaire de Don.
La nouvelle restructuration de l'agence valide l'avènement du matérialisme. Il n'y a plus d'idéal, les créatifs sont d'ailleurs en démission (Ted qui pète les plombs finalement comme Don). Il n'y a plus que l'appât du gain qui pousse à se parjurer en un clin d'oeil (Joan et surtout Cutler).
Curieux de voir ce que Roger et Don ont encore à accomplir dans ce contexte ultra pragmatique. De la transmission de savoir peut-être comme c'est confirmé par le support déterminant de Don au près de Peggy sur le budget des Burgers.
On n'a pas oublié Betty et Sally qui viennent compléter le passage en revue des incontournables avant la pause. C'est assez anecdotique. Même si on souligne l'influence persistante de Don sur sa fille qui suit les conseils de son père en laissant tomber le cynisme de circonstance et opte ensuite pour le geek rêveur plutôt que le beau gosse qui se la joue rebelle de bac à sable (il aurait été le choix de Betty).
J'espère que cette coupure aura un impact sur le récit au redémarrage pour se justifier pleinement. Peut-être l'occasion de faire un bond en avant et de se retrouver à la reprise dans les 70's? Tout dépend si on veut réellement projeter les personnages vers l'avenir ou pas. Ceci dit, pas envie de voir Don mourir d'une cirrhose ou d'un cancer des poumons en 1990 par exemple...
"Every time an old man starts talking about Napoleon, you know they're gonna die."