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Beaucoup apprécié cette lutte contre les créatures du temps qui a permis à Noah Hawley de torturer le format de sa série comme jamais. Ca passe, malgré certains passages où l'on s'éternisait un peu trop inutilement (la rencontre des Syd notamment). Mais que de fulgurances. La plus gonflée était probablement l'incursion dans The Shield qui déboule sans crier gare et qui ne se justifie absolument pas. Ca restait bien rigolo dans son abus même si sur le coup j'ai cru à une bourde de FX. Les monstres du temps étaient stylés dans leur traitement bricolé, loin des standards du numériques actuels qui n'étonnent plus mais au contraire minimisent le travail de l'imaginaire du spectateur.
Et donc plus David se fracasse contre son passé, plus son entreprise semble sans issue. La rencontre avec Gabrielle était assez éloquente. David agit par pur égocentrisme, inverser le cours de l'histoire ne l'intéresse pas, il n'est donc pas à priori en mesure d'influer sur sa mère et donc son destin. Au moins a t-il écarté la menace incarnée par les monstres temporels, mais ces derniers ne semblent pas être la véritable cause d'une apocalypse prévisible. Le souci reste David et son instabilité désespérée qui le rend irrécupérable. J'ai de plus en plus de mal à envisager une autre fin que sa disparation pour laisser place à une autre timeline dans laquelle Charles Xavier fonderait logiquement ses X-Men.
Et donc plus David se fracasse contre son passé, plus son entreprise semble sans issue. La rencontre avec Gabrielle était assez éloquente. David agit par pur égocentrisme, inverser le cours de l'histoire ne l'intéresse pas, il n'est donc pas à priori en mesure d'influer sur sa mère et donc son destin. Au moins a t-il écarté la menace incarnée par les monstres temporels, mais ces derniers ne semblent pas être la véritable cause d'une apocalypse prévisible. Le souci reste David et son instabilité désespérée qui le rend irrécupérable. J'ai de plus en plus de mal à envisager une autre fin que sa disparation pour laisser place à une autre timeline dans laquelle Charles Xavier fonderait logiquement ses X-Men.