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Episode très sombre qui fait le tour des questions liées à l'exercice du pouvoir : le couple, l'illusion de faire des choix, la solitude etc
J'ai trouvé tout cela d'une grande justesse et d'une grande profondeur.
J'adore ce genre d'épisode qui fait réflechir.
Je dirai même plus : cet épisode est une leçon de philosophie à proposer au bac.
J'ai trouvé tout cela d'une grande justesse et d'une grande profondeur.
J'adore ce genre d'épisode qui fait réflechir.
Je dirai même plus : cet épisode est une leçon de philosophie à proposer au bac.
On stagne un peu dans le conjugal à la limite du soap. On avait vu précédemment que livrés à la solitude les hommes s'écroulaient. En couple c'est un peu l'aliénation. Francis finit du coup par se retrouver encombré par l'omniprésence diplomatique de Claire. Drôle que ce soit Viktor le divorcé qui par cette virée virile sur le terrain des opérations oblige le président des USA à s'émanciper et à plonger Claire de nouveau dans la frustration. Le couple Underwood ne s'éclate toujours pas spécialement depuis qu'il est à la Maison Blanche. Le pouvoir a corrompu leur alchimie.
Marrant Doug qui essaye de se confronter à sa famille. Mais bon on aimerait le voir utile ailleurs. Gavin se barre, seul et laisse même son cochon d'inde derrière lui.
De gros doutes sur Yates. Pas certain que Francis ait intérêt à trop s'épancher malgré les mises en confiance, tant les intentions du biographe sont quand même un peu troubles. Sa proximité avec Kate l'emmerdeuse du Telegraph impose de toute façon la prudence.
Marrant Doug qui essaye de se confronter à sa famille. Mais bon on aimerait le voir utile ailleurs. Gavin se barre, seul et laisse même son cochon d'inde derrière lui.
De gros doutes sur Yates. Pas certain que Francis ait intérêt à trop s'épancher malgré les mises en confiance, tant les intentions du biographe sont quand même un peu troubles. Sa proximité avec Kate l'emmerdeuse du Telegraph impose de toute façon la prudence.