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Note moyenne de cet épisode: 19.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 1
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Moyenne de la série : 78.3/100.
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pinkman 
19.0
19.0
Excellent cet épisode. J'ai adoré la construction avec le parallèle entre la gestion d'une histoire sexuelle et ses rebondissements et la triste histoire de Freddy.
On constate toute la froideur du couple Underwood, comme le dit russel, ce n'est plus qu'un couple assoiffé de pouvoir qui fait parfaitement la paire. On ressent très peu d'amour entre eux deux mais beaucoup d'affection voire de l'admiration. C'est un couple avec une histoire comme le dit Francis et ça se ressent. Dans la saison 1, à la même époque, Claire s'amusait avec Alan, aujourd'hui, tout a bien changé, elle tente froidement de le guider dans cette crise. Pour servir le couple Underwood et la carrière de Francis, évidemment.
Tusk semble avoir du mal à digérer la défaite sur le coup malgré la lucidité de Remy. Et le couple Underwood va s'y mettre, cette "guerre" est vraiment savoureuse. Tusk est un coriace mais Francis ne lâche rien et a toujours une solution de côté.
Marrant de voir à quel point Francis apprécie Freddy, prêt à prendre des risques pour le soutenir ou lui rendre visite. Son fils est quand même sacrément con, ça lui a bien plombé son affaire. Fini les petites dégustations chez Freddy pour le VP, une petite page de la vie personnelle de Francis qui se tourne.
On laisse Rachel de côté pour cet épisode, Doug est présent à travers sa petite rivalité avec Seth, là encore Francis sait comment gérer les choses.
On constate toute la froideur du couple Underwood, comme le dit russel, ce n'est plus qu'un couple assoiffé de pouvoir qui fait parfaitement la paire. On ressent très peu d'amour entre eux deux mais beaucoup d'affection voire de l'admiration. C'est un couple avec une histoire comme le dit Francis et ça se ressent. Dans la saison 1, à la même époque, Claire s'amusait avec Alan, aujourd'hui, tout a bien changé, elle tente froidement de le guider dans cette crise. Pour servir le couple Underwood et la carrière de Francis, évidemment.
Tusk semble avoir du mal à digérer la défaite sur le coup malgré la lucidité de Remy. Et le couple Underwood va s'y mettre, cette "guerre" est vraiment savoureuse. Tusk est un coriace mais Francis ne lâche rien et a toujours une solution de côté.
Marrant de voir à quel point Francis apprécie Freddy, prêt à prendre des risques pour le soutenir ou lui rendre visite. Son fils est quand même sacrément con, ça lui a bien plombé son affaire. Fini les petites dégustations chez Freddy pour le VP, une petite page de la vie personnelle de Francis qui se tourne.
On laisse Rachel de côté pour cet épisode, Doug est présent à travers sa petite rivalité avec Seth, là encore Francis sait comment gérer les choses.
russel
19.0
19.0
So long Freddy. Une page de la série se tourne avec la fermeture du graillon store. Ce n'est pas anecdotique, c'est lourd d'enseignement. D'une part Freddy qui avait une opportunité pour améliorer son ordinaire, changer certains aspects de sa vie pas reluisants se cogne rapidement aux contreparties de la notoriété et de la réussite (le rêve américain est cruel). Francis lui perd dans son duel avec Tusk sa planque préférée, une madeleine de Proust probablement. Ca montre que beaucoup de choses lui sont interdites désormais, il est prisonnier de sa fonction, de son rang. Tout dans l'exercice du pouvoir le pousse à être un peu plus psychopathe chaque jour qui passe. J'ai adoré ce développement autour de Freddy. C'est un personnage que j'aimais bien. Je ne pense pas qu'on le reverra à priori...
Claire en symbiose avec son mari, n'a plus non plus beaucoup d'états d'âme. Et pourtant au début on sent qu'il y a encore du courant qui passe avec le nigaud Adam. Mais les Underwood ont clairement signé un pacte mutuel à partir du moment où Francis franchissait les portes de la Maison Blanche. La réussite et rien d'autre, plus de place pour les amourettes et encore moins pour les sentiments. C'est même Claire qui semble la plus déterminée et qui pousse son époux à se radicaliser (When we care too much, it blinds us). La physionomie du couple a beaucoup changé entre la saison 1 et 2. Ils sont désormais très distants même s'ils font toujours la pair. Aucun baiser, le minimum de contacts physiques.
J'ai adoré voir Doug et Grayson se tirer la bourre pour la place du meilleur caniche. Avec le second très méfiant. Il a senti que Doug ce n'était pas Connor. Brave bête. Et l'ami des oiseaux qui pique sa crise, c'était extra. On a vraiment avec Raymond Tusk le bad guy idéal qui est aussi psycho que Francis, mais qui parvient malgré tout à rendre notre confident plus sympa. En tout cas il tend à nous pousser à être plus complice avec le vice président. Je suis curieux de voir où ils vont s'arrêter dans leurs échanges de saloperies. Ca me plait bien en tout cas leur cirque...
"America can be just as dangerous as Iran... "
Claire en symbiose avec son mari, n'a plus non plus beaucoup d'états d'âme. Et pourtant au début on sent qu'il y a encore du courant qui passe avec le nigaud Adam. Mais les Underwood ont clairement signé un pacte mutuel à partir du moment où Francis franchissait les portes de la Maison Blanche. La réussite et rien d'autre, plus de place pour les amourettes et encore moins pour les sentiments. C'est même Claire qui semble la plus déterminée et qui pousse son époux à se radicaliser (When we care too much, it blinds us). La physionomie du couple a beaucoup changé entre la saison 1 et 2. Ils sont désormais très distants même s'ils font toujours la pair. Aucun baiser, le minimum de contacts physiques.
J'ai adoré voir Doug et Grayson se tirer la bourre pour la place du meilleur caniche. Avec le second très méfiant. Il a senti que Doug ce n'était pas Connor. Brave bête. Et l'ami des oiseaux qui pique sa crise, c'était extra. On a vraiment avec Raymond Tusk le bad guy idéal qui est aussi psycho que Francis, mais qui parvient malgré tout à rendre notre confident plus sympa. En tout cas il tend à nous pousser à être plus complice avec le vice président. Je suis curieux de voir où ils vont s'arrêter dans leurs échanges de saloperies. Ca me plait bien en tout cas leur cirque...
"America can be just as dangerous as Iran... "
