Frustrant ce final !
Frustrant au point de vouloir dévorer la suite, donc réussite totale !
Underwoog touche son rêve de la main sans savoir pleinement comme tout se met en place chez notre team journalistique menée par une Zoey pas très reconnaissante quand même...
C'est peut être ça le plus incohérent d'ailleurs.
Les acteurs auront été excellents tout le long de cette saison. Les dialogues sont juste saissants de réalisme.
Bref, si comme moi vous avez loupé le train en marche; rattrapez votre retard ! Vous ne le regretterez absolument pas !
Frustrant au point de vouloir dévorer la suite, donc réussite totale !
Underwoog touche son rêve de la main sans savoir pleinement comme tout se met en place chez notre team journalistique menée par une Zoey pas très reconnaissante quand même...
C'est peut être ça le plus incohérent d'ailleurs.
Les acteurs auront été excellents tout le long de cette saison. Les dialogues sont juste saissants de réalisme.
Bref, si comme moi vous avez loupé le train en marche; rattrapez votre retard ! Vous ne le regretterez absolument pas !
Bon c'était vraiment bien cette saison 1. C'est soigné, c'est propre et c'est vraiment bien mené. Kevin Spacey est très fort, quand je l'ai vu dans le casting, j'ai vite su que j'essaierais cette série, il y est magistral. Tout comme les autres acteurs vraiment bons.
Une belle montée en puissance avec un plan (presque) infaillible, on le découvre trahi au début de la saison pour le laisser heureux d'avoir réussi à décrocher la vice-présidence. Mais c'est aussi le début des ennuis avec les journalistes qui fouillent un peu partout. D'accord avec Russell, c'est étonnant de voir Doug récupérer Rachel après le rdv, c'est assez maladroit. La réaction de Francis quand il apprendra que Zoe enquête sur ses agissements, ça va être drôle.
Du coup, impatient de voir la saison 2, je suppose qu'il va falloir attendre un certain temps mais une belle découverte 2013.
Une belle montée en puissance avec un plan (presque) infaillible, on le découvre trahi au début de la saison pour le laisser heureux d'avoir réussi à décrocher la vice-présidence. Mais c'est aussi le début des ennuis avec les journalistes qui fouillent un peu partout. D'accord avec Russell, c'est étonnant de voir Doug récupérer Rachel après le rdv, c'est assez maladroit. La réaction de Francis quand il apprendra que Zoe enquête sur ses agissements, ça va être drôle.
Du coup, impatient de voir la saison 2, je suppose qu'il va falloir attendre un certain temps mais une belle découverte 2013.
Un final assez frustrant puisqu?en pointillés, inachevé comme une sortie de Soprano ( ou alors je n?ai rien capté et il y aura une saison 2 ?). On peut néanmoins prévoir assez facilement que ça ne va pas être de la tarte pour Francis, même avec son rêve accompli.
Pas trop convaincu par la négligence avec laquelle Underwood et Stamper traitent la presse encore dans cet épisode. Surtout après confirmation qu?une investigation est bien en cours. Nul le rendez-vous entre Zoe et Rachel avec Doug qui raccompagne cette dernière dans sa propre caisse. C?est d?une imprudence assez improbable quand on sait qu?on a affaire à des journalistes fouille merde. Un peu dommage de ne pas avoir plus soigné cette intrigue destinée à faire monter la pression.
Ces réserves mises à part, House of Cards reste une magnifique mécanique très bien mise en place avec un soin clinique par David Fincher et qu?on prend vraiment plaisir à voir ensuite se dérégler, trembler alors que le but se rapproche. Une vision saisissante de la soif du pouvoir, incarnée par un Kevin Spacey qui nous récite l?intégralité de son répertoire, du Keyser Söze de Usual Suspect Au John Doe de Seven en passant par le Lester Burnham de American Beauty (j?y ai pensé quand il faisait son sport) . Vraiment un rôle taillé sur mesure. Robin Wright était aussi exceptionnelle en bourgeoise hautaine et réservée mais finalement si vulnérable et maladroite dans sa solitude aux côtés de son stratège de mari. Mais plus globalement il y a du métier, il y a beaucoup de grandes chaines qui peuvent en prendre de la graine actuellement.
Il y a le potentiel pour une suite. Si elle n?est pas encore écrite, il faudrait y penser.
"I pray to myself, for myself. "
Pas trop convaincu par la négligence avec laquelle Underwood et Stamper traitent la presse encore dans cet épisode. Surtout après confirmation qu?une investigation est bien en cours. Nul le rendez-vous entre Zoe et Rachel avec Doug qui raccompagne cette dernière dans sa propre caisse. C?est d?une imprudence assez improbable quand on sait qu?on a affaire à des journalistes fouille merde. Un peu dommage de ne pas avoir plus soigné cette intrigue destinée à faire monter la pression.
Ces réserves mises à part, House of Cards reste une magnifique mécanique très bien mise en place avec un soin clinique par David Fincher et qu?on prend vraiment plaisir à voir ensuite se dérégler, trembler alors que le but se rapproche. Une vision saisissante de la soif du pouvoir, incarnée par un Kevin Spacey qui nous récite l?intégralité de son répertoire, du Keyser Söze de Usual Suspect Au John Doe de Seven en passant par le Lester Burnham de American Beauty (j?y ai pensé quand il faisait son sport) . Vraiment un rôle taillé sur mesure. Robin Wright était aussi exceptionnelle en bourgeoise hautaine et réservée mais finalement si vulnérable et maladroite dans sa solitude aux côtés de son stratège de mari. Mais plus globalement il y a du métier, il y a beaucoup de grandes chaines qui peuvent en prendre de la graine actuellement.
Il y a le potentiel pour une suite. Si elle n?est pas encore écrite, il faudrait y penser.
"I pray to myself, for myself. "
La commande initiale de Netflix était de 26 épisodes qui seront diffusés sur 2 saisons. Donc oui : seconde saison !
La commande initiale de Netflix était de 26 épisodes qui seront diffusés sur 2 saisons. Donc oui : seconde saison !
Ah génial, merci pour la confirmation. J'avais lu des rumeurs après coup.
Donc effectivement la conclusion s'inscrit plus logiquement dans l'expectative (frustrante tout de même).
Et j'attendrai donc la suite avec impatience.