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What's this fucking fuck ?
J'ai plus de mot dans mon vocabulaire pour décrire la tension et le suspens présent dans cet épisode.
Littéralement scotché à mon écran j'ai savouré chaque seconde que ce soit pendant l'échange ou pendant les 5 dernières mm qui sont dignes des plus grands cliffs lostiens.
Que c'est bon ! Que c'est jouissif !
Comme le disait le regretté Thierry Roland : "Quel pied, maintenant on peut mourir tranquillement, mais le plus tard possible quand même."
J'ai plus de mot dans mon vocabulaire pour décrire la tension et le suspens présent dans cet épisode.
Littéralement scotché à mon écran j'ai savouré chaque seconde que ce soit pendant l'échange ou pendant les 5 dernières mm qui sont dignes des plus grands cliffs lostiens.
Que c'est bon ! Que c'est jouissif !
Comme le disait le regretté Thierry Roland : "Quel pied, maintenant on peut mourir tranquillement, mais le plus tard possible quand même."
Encore une preuve que Homeland fonctionne sans Brody.
Un très bel échange, que ce soit au niveau des prisonniers qu'au niveau de Carrie et Saul.
Comme Russel j'ai un peu de mal à accepter que l'on préfère rendre 5 assassins notoires pour récupérer un ancien Agent bien qu'il s'agisse de Saul il ne vaut pas 5 Djihadistes.
Les prochains épisodes risquent de remuer pas mal Haqqadi qui vient faire un câlin à l'ambassadrice je pense que Quinn ne va pas laisser faire mais cela risque d'être sportif !!
Un très bel échange, que ce soit au niveau des prisonniers qu'au niveau de Carrie et Saul.
Comme Russel j'ai un peu de mal à accepter que l'on préfère rendre 5 assassins notoires pour récupérer un ancien Agent bien qu'il s'agisse de Saul il ne vaut pas 5 Djihadistes.
Les prochains épisodes risquent de remuer pas mal Haqqadi qui vient faire un câlin à l'ambassadrice je pense que Quinn ne va pas laisser faire mais cela risque d'être sportif !!
Et c'est donc curieusement Carrie après son trip au LSD qui fait désormais preuve d'humanité (allez on rentre à la maison). Il y a une inversion des rôles avec Saul que j'ai du mal à comprendre (elle était prête à le sacrifier dans l'épisode 6 pour mémoire). Mais bon, Homeland délaisse un peu la finesse psychologique pour se lancer dans les coups de théâtre à la 24, ce qui reste plaisant. Ainsi le cliff du final est assez rigolo avec Haqqani qui fout le bordel en ville. De même que l'échange de prisonniers avec option enfant human bomb avait de la saveur. Même dans les traîtres on n'est pas loin de la série à Bauer. Jusqu'au bout Boyd aura joué les crevures collaborationnistes. Et encore s'il lâche le morceau à son ambassadrice d'épouse, c'est juste parce qu'il ne se sent plus en sécurité. J'espère qu'on lui réserve une mort bien réjouissante, il la mérite...
"What the fucking fuck?!"
"What the fucking fuck?!"