Voir tous les épisodes
Je partage les avis précédents. Visuellement, c'est sans précédent, une oeuvre d'art en soi.
Mais attention à ne pas trop se faire plaisir derrière la caméra plutôt que derrière la machine à écrire. C'est très bien écrit mais l'intrigue avance au ralenti. Et aussi belles soient-elles, il ne faut pas abuser des ralentis de belles images.
Mais attention à ne pas trop se faire plaisir derrière la caméra plutôt que derrière la machine à écrire. C'est très bien écrit mais l'intrigue avance au ralenti. Et aussi belles soient-elles, il ne faut pas abuser des ralentis de belles images.
C'est beau mais cette plongée dans la réalité de will continuellement tout au long de l'épisode est assez fatigante. Il est paumé, hallucine un max, les limites avec lecter semblent floues.
Ca nous met dans la peau de will: épuisé! désorienté!
Ca nous met dans la peau de will: épuisé! désorienté!
Retour de Will qui débarque en Italie à peine remis sur pattes. On ne peut pas dire que Fuller joue la carte du thriller depuis la reprise de saison, il tend plutôt à nous noyer dans un déluge d'imageries baroque et oniriques, bien aidé cette semaine encore par Vincenzo Natali (quand même) à la réalisation. On atteint parfois le sublime (toujours aussi déconseillé au public vegan bien entendu) avec ce corps tronçonné qui s'anime, le chef op mérite un Emmy, tout ça... Mais j'ai un peu le sentiment qu'on se répète. Lecter a arraché Abigail à Will, ce dernier n'est même pas rancunier. Est-ce une ruse pour piéger il Mostro ou est-ce que le profiler est enfin complètement grillé? Cerlino incarne un Pazzi plutôt satisfaisant, mais on assiste pour l'instant à un simple échange de charades avec Graham. Le décors est planté, il serait bon de passer aux choses sérieuses désormais...