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J'avais trouvé les 2 premiers épisodes assez mous du genou, sans trop voir où est-ce qu'ils voulaient en venir avec cette série et j'avoue que je ne vois pas une nette amélioration avec cet épisode...
Il n'y a pas vraiment d'évolution entre cet épisode, le pilot et le 1x02. J'ai un peu l'impression qu'on nous sert la même soupe : le coup du "il faut que je fasse un truc important de ma vie" ou les rencontres embarassantes avec ses anciens collègues.
Cela dit, cet épisode était plus agréable à regarder et moins ennuyant... peut-être que la série va finalement vers la bonne voie.
Autre défaut de la série : les personnages secondaires. Quand ils ne sont pas transparents (Krista) ou absents (Levi), ils sont inintéressants et pas très attachants (Helen)...
Je regarderai quand même la suite.
Il n'y a pas vraiment d'évolution entre cet épisode, le pilot et le 1x02. J'ai un peu l'impression qu'on nous sert la même soupe : le coup du "il faut que je fasse un truc important de ma vie" ou les rencontres embarassantes avec ses anciens collègues.
Cela dit, cet épisode était plus agréable à regarder et moins ennuyant... peut-être que la série va finalement vers la bonne voie.
Autre défaut de la série : les personnages secondaires. Quand ils ne sont pas transparents (Krista) ou absents (Levi), ils sont inintéressants et pas très attachants (Helen)...
Je regarderai quand même la suite.
Finalement le sleeper (d'où la nécessité d'insister parfois) de HBO. Après un début un peu mou, des objectifs un peu flous, Enlighted finit par trouver sa petite musique au fil des épisodes, en s'imposant comme une chronique sociale très contemporaine des gens ordinaires. Dans l'humour apparemment feutré et pourtant assez féroce ça renverrait, au ciné, un peu à du Alexander Payne (About Shmidt) ou autre Jason Reitman (Up in the air), pas d'équivalent télévisuel en tête.
Qualitativement la série bénéficie de la multiplicité des milieux explorés. Ici le tertiaire tout en apparence et en hypocrisie, les nouveaux prolos hi tech plus spontanés mais avec aussi leurs petitesses relationnelles et puis les SDF (marrant de retrouver le vet de The Walking Dead à une semaine d'intervalle). C'est souvent bien vu, assez fin dans la peinture.
Le personnage de Amy se confirme comme l'incarnation d'une génération immature vivant dans la contradiction permanente, entre rêves superficiels, besoin de spirituel à deux balles (la note est en fait bien plus salée !!) et de matérialisme instinctif. On sent la crise économique très présente (difficulté à trouver du boulot, maintenir son pouvoir d'achat, sa position sociale, sentiment d'une rêve américain révolu), en cela la série est bien ancrée dans son époque. On sentait qu'il allait y avoir un truc entre Amy et Tyler et ça se confirme, une relation porteuse de changement.
Donc j'adhère à fond désormais et j'attends la suite de pied ferme avec enthousiasme...
"What the hell am I doing here?
- Not much."
Qualitativement la série bénéficie de la multiplicité des milieux explorés. Ici le tertiaire tout en apparence et en hypocrisie, les nouveaux prolos hi tech plus spontanés mais avec aussi leurs petitesses relationnelles et puis les SDF (marrant de retrouver le vet de The Walking Dead à une semaine d'intervalle). C'est souvent bien vu, assez fin dans la peinture.
Le personnage de Amy se confirme comme l'incarnation d'une génération immature vivant dans la contradiction permanente, entre rêves superficiels, besoin de spirituel à deux balles (la note est en fait bien plus salée !!) et de matérialisme instinctif. On sent la crise économique très présente (difficulté à trouver du boulot, maintenir son pouvoir d'achat, sa position sociale, sentiment d'une rêve américain révolu), en cela la série est bien ancrée dans son époque. On sentait qu'il allait y avoir un truc entre Amy et Tyler et ça se confirme, une relation porteuse de changement.
Donc j'adhère à fond désormais et j'attends la suite de pied ferme avec enthousiasme...
"What the hell am I doing here?
- Not much."