Joy to the world
Le Christmas Special de Doctor Who, c'est toujours un peu dégoulinant de bons sentiments et on n'y échappe pas cette année avec un épisode plutôt réussi sous la houlette de Moffatt.
Certes, le rythme est très inégal (et le jeu du rôle-titre aussi pour la part) et comme pour la majorité de l'ère Gatwa, la fin est franchement précipitée.
Et pourtant, après un renouveau plus que douteux, je ne peux m'empêcher d'être optimiste si la saison 15 arrive à maintenir les standards établis ici (ou saison 2, si vous adhérez à cette nouvelle numérotation que la BBC et Disney veulent refourguer).
Des choses dont l'absence m'avait fait tiquer notamment du développement de personnages et de leurs liens affectifs sont enfin développées. On s'attache plus à Anita, la modeste employée de l'hôtel qu'à quasi tous les autres persos de la première saison. À ce propos, on revoit à peine Ruby dans l'épisode. On pas tout avoir.
Bref, le Time Hotel est un bon concept (merci Steven) garni d'une pléthore d'allusions au lore des épisodes précédents. On a enfin une menace tangible et réaliste, de la critique sociétale (de la période covid ici) ainsi que l'exploration d'une facette un peu plus sombre du docteur quand il cherche à faire réagir Joy.
Alors non, ce n'est pas un très grand épisode et il n'y a pas de quoi aller chercher un Bafta mais ce fut un moment plaisant après le calamiteux Empire of Death.
J'en profite pour parler du trailer de la prochaine saison qui bien qu'il ne montre pas grand chose semble pointer vers une ambiance un peu plus dark, ce qui ne me déplairait pas.
Le Christmas Special de Doctor Who, c'est toujours un peu dégoulinant de bons sentiments et on n'y échappe pas cette année avec un épisode plutôt réussi sous la houlette de Moffatt.
Certes, le rythme est très inégal (et le jeu du rôle-titre aussi pour la part) et comme pour la majorité de l'ère Gatwa, la fin est franchement précipitée.
Et pourtant, après un renouveau plus que douteux, je ne peux m'empêcher d'être optimiste si la saison 15 arrive à maintenir les standards établis ici (ou saison 2, si vous adhérez à cette nouvelle numérotation que la BBC et Disney veulent refourguer).
Des choses dont l'absence m'avait fait tiquer notamment du développement de personnages et de leurs liens affectifs sont enfin développées. On s'attache plus à Anita, la modeste employée de l'hôtel qu'à quasi tous les autres persos de la première saison. À ce propos, on revoit à peine Ruby dans l'épisode. On pas tout avoir.
Bref, le Time Hotel est un bon concept (merci Steven) garni d'une pléthore d'allusions au lore des épisodes précédents. On a enfin une menace tangible et réaliste, de la critique sociétale (de la période covid ici) ainsi que l'exploration d'une facette un peu plus sombre du docteur quand il cherche à faire réagir Joy.
Alors non, ce n'est pas un très grand épisode et il n'y a pas de quoi aller chercher un Bafta mais ce fut un moment plaisant après le calamiteux Empire of Death.
J'en profite pour parler du trailer de la prochaine saison qui bien qu'il ne montre pas grand chose semble pointer vers une ambiance un peu plus dark, ce qui ne me déplairait pas.