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La réalité de 2019
Ma réaction plus bas car j'ai trouvé cet épisode intéressant, du coup je mets 16.
Ma réaction plus bas car j'ai trouvé cet épisode intéressant, du coup je mets 16.
Caricatural
Là on perd toute la finesse de Black Mirror, tout y est exagéré, la réaction du protagoniste principal, la maîtrise ultra robotisée de l'information par le réseau social, tellement que tout le monde ne réfléchit même plus et se fit aveuglément à tout ce qui en sort, un boss cliché à souhait en auto cure de "déconnexion".
Nan, inutile d'en faire un énorme texte, aucune réflexion intéressante ne ressort de cet épisode, on est déjà au courant de tout, comme dit pour l'épisode précédent, aucun effet "claque psychologique/sociale", c'est même pire qu'au 1er épisode, puis l'aveu de manque d'inspi flagrant, on nous pose clairement l'année où l'intrigue se situe, 2018.
D'habitude on ne nous donne jamais de date, ça reste mystérieux et ça donne à réfléchir quant à l'arrivée proche ou non de cette possibilité de dérive sombre dans nos quotidiens, j'ai pensé 2min que c'était couillu et qu'ils comptaient parler de notre époque directement, pour vite tomber dans le cliché et l'absence d'intérêt finalement, raté.
Puis les dernières secondes qui tentent de nous laisser sur un suspens qui n'aura jamais sa conclusion claire, si ça avait été un épisode intense jusque là , la frustration aurait été grande, mais vu que ça tombe à l'eau tout le long, on s'en fout un peu.
Ne reste plus qu'un épisode... Et une impression que ce sera le dernier proposé :/
Là on perd toute la finesse de Black Mirror, tout y est exagéré, la réaction du protagoniste principal, la maîtrise ultra robotisée de l'information par le réseau social, tellement que tout le monde ne réfléchit même plus et se fit aveuglément à tout ce qui en sort, un boss cliché à souhait en auto cure de "déconnexion".
Nan, inutile d'en faire un énorme texte, aucune réflexion intéressante ne ressort de cet épisode, on est déjà au courant de tout, comme dit pour l'épisode précédent, aucun effet "claque psychologique/sociale", c'est même pire qu'au 1er épisode, puis l'aveu de manque d'inspi flagrant, on nous pose clairement l'année où l'intrigue se situe, 2018.
D'habitude on ne nous donne jamais de date, ça reste mystérieux et ça donne à réfléchir quant à l'arrivée proche ou non de cette possibilité de dérive sombre dans nos quotidiens, j'ai pensé 2min que c'était couillu et qu'ils comptaient parler de notre époque directement, pour vite tomber dans le cliché et l'absence d'intérêt finalement, raté.
Puis les dernières secondes qui tentent de nous laisser sur un suspens qui n'aura jamais sa conclusion claire, si ça avait été un épisode intense jusque là , la frustration aurait été grande, mais vu que ça tombe à l'eau tout le long, on s'en fout un peu.
Ne reste plus qu'un épisode... Et une impression que ce sera le dernier proposé :/
Le 1 est pas mal, mais dans le même style, en bien plus marrant et moins long, il y a l'excellente Weird City (les 2 premiers sont gratuit sur YouTube).
Vu la note, je vais attendre avant de le lancer.
SPOILER--- (surtout pour mon vdd )
Un faux suspens associé à un montage entrecoupé de séquences qui souligne en réalité que toute cette histoire ne sera finalement qu'une énième notif que l'on reçoit sur son smartphone nous laissant plus ou moins indifférent. Et que finalement, peu importe l'issue finale de cet épisode vu qu'elle tombera dans l'oublie, une fois -nous spectateur- passé à l'épisode suivant. "Jésus" qui semble très touché (voir perturbé sur le moment) qui reprend sa petite routine quelques secondes après, c'était limite de trop pour garder en subtilité. Honnêtement les dernières secondes de cet épisode ne peuvent pas être plus dans la réalité de nos jours actuels concernant les informations +/- tragiques que l'on reçoit en masse et qu'on oublie car remplacées par d'autres; remplacées par notre train-train quotidien. Un épisode plus fin qu'il n'y parait notamment grâce au final. Et ce fut un plaisir de retrouver Andrew Scott en bonne forme. Après, je suis d'accord, BM nous a habitué à mieux.