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Je mets 12 pour la réalisation qui est très soignée et qui compense en grande partie un scénario plat et un jeu d'acteurs débutant (pour ne pas dire mauvais).
Netflix a vraiment mis le paquet sur les décors et le visuel. Ce qui fait qu'on a plaisir à regarder l'épisode.
Par contre sur l'histoire, c'est ni fait ni à faire. Ça reprend exactement le film de Shyamalan ou celui du dessin animé encore avant. Le fils du maître du feu est mechant mais pas assez, et laisse s'échapper l'Avatar. Ca va entraîner sur une quête initiatique de ce dernier tout au long des 8 épisodes.
Il ne faut s'attendre à rien d'extraordinaire. Un public ado devrait mieux s'y retrouver.
Je me suis lancé dans l'épisode 2 qui est dans la continuité du 1er. C'est plat.
Pas sur que je finisse les 8 épisodes du coup...
Netflix a vraiment mis le paquet sur les décors et le visuel. Ce qui fait qu'on a plaisir à regarder l'épisode.
Par contre sur l'histoire, c'est ni fait ni à faire. Ça reprend exactement le film de Shyamalan ou celui du dessin animé encore avant. Le fils du maître du feu est mechant mais pas assez, et laisse s'échapper l'Avatar. Ca va entraîner sur une quête initiatique de ce dernier tout au long des 8 épisodes.
Il ne faut s'attendre à rien d'extraordinaire. Un public ado devrait mieux s'y retrouver.
Je me suis lancé dans l'épisode 2 qui est dans la continuité du 1er. C'est plat.
Pas sur que je finisse les 8 épisodes du coup...
Netflix balance toujours ses saisons par paquets groupés. Je croyais que cette pratique avait un peu disparu. Bon, leur nouvelle saison est loin de me donner envie de binger l'ensemble comme un mort de faim. C'est très générique dans la forme, encore une histoire messianique comme on nous les sert à la louche, à base de classes élémentaires, déjà vu aussi. Au moins il y a un truc que le trailer avait amené et qui ne se dément pas au visionnage, c'est que la production est vraiment jolie. Bien au dessus de ce qu'avait offert M. Night Shyamalan en son temps. Une chouette introduction nocturne qui évoque un peu le jeu vidéo Sekiro et puis bon un peu la routine ensuite. J'avoue que j'ai eu des baisses d'attention, je me suis mis à faire d'autres trucs en même temps tant ça ne me passionnait pas des masses.
La faute probablement aux acteurs qui ne sont pas prodigieux et donc des personnages qui manquent d'impact. Surtout l'Avatar. Le môme a vraiment la base minimum en jeu d'acteur, il n'a du avoir le temps que de passer le CAP comédien et s'est arrêté ensuite. Donc il est content il fait le sourire, il est contrarié il fronce les sourcils. Le jeu ultra binaire. Au moins on a un petit chauve asiatique qui est raccord avec le petit bonze au centre de l'histoire. Ils la jouent assez ethnique cohérente et je trouve ça bien. Il y a quelques esquimaux qui ont des tête de wasp ou de portoricains mais j'ai déjà vu pire de la part de Netflix.
Narrativement c'est très plat. On sent que c'est édulcoré stylistiquement pour que ce soit très accessible. Il me manque quand même une portée dramatique dans l'ensemble. On a des génocides, des protagonistes qui meurent avant d'avoir réussi à exister à l'écran et puis on se dit c'est pas grave, tout va s'arranger... Un beau livre d'images qui se feuillette en gros... Pas du Shakespeare.
La faute probablement aux acteurs qui ne sont pas prodigieux et donc des personnages qui manquent d'impact. Surtout l'Avatar. Le môme a vraiment la base minimum en jeu d'acteur, il n'a du avoir le temps que de passer le CAP comédien et s'est arrêté ensuite. Donc il est content il fait le sourire, il est contrarié il fronce les sourcils. Le jeu ultra binaire. Au moins on a un petit chauve asiatique qui est raccord avec le petit bonze au centre de l'histoire. Ils la jouent assez ethnique cohérente et je trouve ça bien. Il y a quelques esquimaux qui ont des tête de wasp ou de portoricains mais j'ai déjà vu pire de la part de Netflix.
Narrativement c'est très plat. On sent que c'est édulcoré stylistiquement pour que ce soit très accessible. Il me manque quand même une portée dramatique dans l'ensemble. On a des génocides, des protagonistes qui meurent avant d'avoir réussi à exister à l'écran et puis on se dit c'est pas grave, tout va s'arranger... Un beau livre d'images qui se feuillette en gros... Pas du Shakespeare.