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Note moyenne de cet épisode: 12.0 / 20 (2)
Classement cette saison : 17
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Moyenne de la série : 57.5/100.
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vanlen 
13.0
13.0
...
Dans la veine du précédent donc du mieux.
C'est clair que les intrigue familiale sont ennuyeuses. Seth Gabel est super et on sens bien qu'il va revenir, c'est obligé.
Mais franchement, il serait temps que ça avance, ça tourne un peu trop en rond.
Content que Felicity fasse partie de la bande (même si c'est pas officiel, ça devrait pas tarder)
Dans la veine du précédent donc du mieux.
C'est clair que les intrigue familiale sont ennuyeuses. Seth Gabel est super et on sens bien qu'il va revenir, c'est obligé.
Mais franchement, il serait temps que ça avance, ça tourne un peu trop en rond.
Content que Felicity fasse partie de la bande (même si c'est pas officiel, ça devrait pas tarder)
russel
11.0
11.0
Très bien l'ami Seth Gabel en The Count. Autant il avait l'air angélique dans Fringe, autant là il faisait complètement taré. Bon il se fait coffrer peut-être un peu facilement, manque de ressources.
En revanche on nage dans les complots de famille, le relationnel conflictuel (Oliver et le père de Laurel, crise d'adolescence de la frangine...). Pas ce qui me passionne le plus, j'aimerais voir plus de baston (je ne suis pas ici pour regarder Dallas).
Le flashback coupé en rondelles commence à m'indisposer un peu tant le procédé devient vraiment artificiel. Est-il vraiment utile de faire traîner autant en longueur la genèse de Arrow, en sachant que c'est ce qui devient le plus chiant dans tout film consacré à un super héros à force de répétition de principes qui reviennent toujours un peu au même...?
On n'est pas totalement dans la routine, il y a de la relance tranquille (le carnet de Walter), mais il est impératif que ça s'emballe, toujours le même constat donc...
En revanche on nage dans les complots de famille, le relationnel conflictuel (Oliver et le père de Laurel, crise d'adolescence de la frangine...). Pas ce qui me passionne le plus, j'aimerais voir plus de baston (je ne suis pas ici pour regarder Dallas).
Le flashback coupé en rondelles commence à m'indisposer un peu tant le procédé devient vraiment artificiel. Est-il vraiment utile de faire traîner autant en longueur la genèse de Arrow, en sachant que c'est ce qui devient le plus chiant dans tout film consacré à un super héros à force de répétition de principes qui reviennent toujours un peu au même...?
On n'est pas totalement dans la routine, il y a de la relance tranquille (le carnet de Walter), mais il est impératif que ça s'emballe, toujours le même constat donc...
