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Pas de gros bouleversements dans les résolutions pour démarrer cette ultime saison de American Gods. A savoir qu'on discute beaucoup mais qu'il ne se passe pas grand chose de concluant. Du coup pas d'attente spéciale au delà du fait de savoir quand les anciens dieux vont enfin se mettre franchement sur la tronche avec les nouveaux. On a au moins définitivement certifié la paternité de Wednesday (Ian McShane a une tête de plus en plus hallucinée), sans pour autant que ça aide Shadow à être plus coopératif puisqu'il poursuit sa crise d'adolescence en se figurant qu'il peut se construire sa propre destinée seul comme un grand. Ce qui fait qu'en gros on n'en avance pas.
Alors oui on nous sert quelques scènes racoleuses, en pensant qu'on est là avant tout pour cela. Ca donne Miss World qui brief son équipe à sa façon avec une batte de baseball. Mais c'est tellement insuffisant pour donner le change...
Comme prévu on va retrouver Sweeney. C'est tant mieux, même si du coup ça ôte pas mal d'intérêt car les personnages ne sont finalement jamais totalement en danger vu qu'il y a toujours un moyen de tricher avec la mort. On ne sait pas encore si ça nous privera de Laura Moon en revanche. Probablement pas.
Alors oui on nous sert quelques scènes racoleuses, en pensant qu'on est là avant tout pour cela. Ca donne Miss World qui brief son équipe à sa façon avec une batte de baseball. Mais c'est tellement insuffisant pour donner le change...
Comme prévu on va retrouver Sweeney. C'est tant mieux, même si du coup ça ôte pas mal d'intérêt car les personnages ne sont finalement jamais totalement en danger vu qu'il y a toujours un moyen de tricher avec la mort. On ne sait pas encore si ça nous privera de Laura Moon en revanche. Probablement pas.