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Love is in the air
Quoi de neuf chez Pan Am après l'interruption? Un peu plus de suite dans les idées tout d'abord. Une référence à l'épisode mouvementé passé (Dean à Colette au sujet du sauvetage) + plus surprenant un premier cliff = deux éléments de scénario qui tendent à prononcer une rupture avec les historiettes compartimentées bien découpées en tranche et nous emmènent donc (enfin) sur le terrain du feuilleton. Enfin pas de quoi pavoiser non plus.
Du nouveau aussi au niveau casting avec l'introduction de nouveaux personnages et c'est pas un luxe pour varier les situations. Mais force est de constater toujours des grosses faiblesses d'écriture au niveau des rôles inconsistants. Curieusement on n'hésite pas à convoquer des noms pour jouer des trucs insignifiants. On avait déjà eu droit à Barbara Schultz faisant littéralement de la figuration, là on a la starlette Ashley Green, éternellement labellisée Twilight et annoncée avec fracas sur le facebook de la série, qui glandouille finalement pas grand chose non plus (même si c'est à suivre).
Donc on sent qu'il y a des efforts investis pour dynamiser un peu le show, mais de toute évidence il manque toujours une inspiration, une maturité, une maîtrise. L'ambition n'est définitivement plus de faire un nouveau Mad Men. On joue plus la carte du pur divertissement. Romances à tous les étages du coup. Pour ce qui est du drame en revanche ça tourne à la catastrophe (les histoires d'espionnage sont toujours aussi ridicules et renvoient plus à la panthère rose qu'à un Hitchcock d'époque). Idem l'aspect historique et politique laisse à désirer avec un membre du Congrès un peu niaiseux et du militantisme de pacotille qui fait passer Greenpeace pour des génies...
C'est léger, mais pour nous scotcher on nous laisse donc avec une Kate qui joue du flingue dans les ultimes secondes, à la limite de l'anomalie...
Quoi de neuf chez Pan Am après l'interruption? Un peu plus de suite dans les idées tout d'abord. Une référence à l'épisode mouvementé passé (Dean à Colette au sujet du sauvetage) + plus surprenant un premier cliff = deux éléments de scénario qui tendent à prononcer une rupture avec les historiettes compartimentées bien découpées en tranche et nous emmènent donc (enfin) sur le terrain du feuilleton. Enfin pas de quoi pavoiser non plus.
Du nouveau aussi au niveau casting avec l'introduction de nouveaux personnages et c'est pas un luxe pour varier les situations. Mais force est de constater toujours des grosses faiblesses d'écriture au niveau des rôles inconsistants. Curieusement on n'hésite pas à convoquer des noms pour jouer des trucs insignifiants. On avait déjà eu droit à Barbara Schultz faisant littéralement de la figuration, là on a la starlette Ashley Green, éternellement labellisée Twilight et annoncée avec fracas sur le facebook de la série, qui glandouille finalement pas grand chose non plus (même si c'est à suivre).
Donc on sent qu'il y a des efforts investis pour dynamiser un peu le show, mais de toute évidence il manque toujours une inspiration, une maturité, une maîtrise. L'ambition n'est définitivement plus de faire un nouveau Mad Men. On joue plus la carte du pur divertissement. Romances à tous les étages du coup. Pour ce qui est du drame en revanche ça tourne à la catastrophe (les histoires d'espionnage sont toujours aussi ridicules et renvoient plus à la panthère rose qu'à un Hitchcock d'époque). Idem l'aspect historique et politique laisse à désirer avec un membre du Congrès un peu niaiseux et du militantisme de pacotille qui fait passer Greenpeace pour des génies...
C'est léger, mais pour nous scotcher on nous laisse donc avec une Kate qui joue du flingue dans les ultimes secondes, à la limite de l'anomalie...