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Il y a cette contradiction rigolote qui veut que Amy porte parfois un regard très critique sur son entourage, la vacuité des positions sociales, etc... Mais que ça ne lui serve à rien. Probablement parce que c'est juste son exclusion, en tout cas le fait qu'on la marginalise qui impose le recul sur le panorama. En revanche elle est toujours incapable de la moindre sollicitude non simulée pour son prochain. Les histoires zen new age qu'elle se raconte sont toujours aussi bidon naturellement, le chemin vers son salut est bien plus terre à terre (représenté notamment par le bon sens de sa mère).
On conserve donc cette observation très inspirée de cette société contemporaine américaine avec quelques particularités californiennes. Je trouve que la série bouge bien avec des variations de rythme (le cauchemar de Amy m'a renvoyé à du Lynch ne serait-ce que par la présence emblématique de Laura Dern). On est dans la proximité, la comédie, mais pourtant on n'est pas dans le sitcom au niveau traitement. Et ça n'interdit pas les situations énormes (drague de Dougie à base de glory hole dans les toilettes !!).
Donc pas de souci, HBO tient toujours le haut du pavé avec Enlighted...
"Aw, that's too bad. You had a nightmare?
- Yeah. You were in it."
On conserve donc cette observation très inspirée de cette société contemporaine américaine avec quelques particularités californiennes. Je trouve que la série bouge bien avec des variations de rythme (le cauchemar de Amy m'a renvoyé à du Lynch ne serait-ce que par la présence emblématique de Laura Dern). On est dans la proximité, la comédie, mais pourtant on n'est pas dans le sitcom au niveau traitement. Et ça n'interdit pas les situations énormes (drague de Dougie à base de glory hole dans les toilettes !!).
Donc pas de souci, HBO tient toujours le haut du pavé avec Enlighted...
"Aw, that's too bad. You had a nightmare?
- Yeah. You were in it."