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50 minutes d'épisode pour rebrouiller le couple White et faire un peu de lumière sur les concurrents de Gus...
C'est lamentable....
C'est lamentable....
Excellent épisode, et sans doute le meilleur de la saison jusqu'ici...
Walter n'est pas loin d'être antipathique dans cet épisode, il provoque vraiment tout le monde, de l'ancien proprio du carwash à Gus, en passant par Skyler et Jesse. Non content d'avoir remis Hank sur sa piste dans l'épisode précédent, il continue à prendre de sérieux risques (énerver Gus, compromettre sa couverture), complètement inutiles qui plus est. A croire qu'il cherche les ennuis...
On a aussi droit à de vraies bonnes scènes dans le pur style Breaking Bad (braquage du camion Pollo's, visite chez les meth-heads) et face à face excellents (Walter-Skyler en particulier).
Walter n'est pas loin d'être antipathique dans cet épisode, il provoque vraiment tout le monde, de l'ancien proprio du carwash à Gus, en passant par Skyler et Jesse. Non content d'avoir remis Hank sur sa piste dans l'épisode précédent, il continue à prendre de sérieux risques (énerver Gus, compromettre sa couverture), complètement inutiles qui plus est. A croire qu'il cherche les ennuis...
On a aussi droit à de vraies bonnes scènes dans le pur style Breaking Bad (braquage du camion Pollo's, visite chez les meth-heads) et face à face excellents (Walter-Skyler en particulier).
Dans la continuité de l'épisode précèdent avec un excellent moment chez les psyko :) je peux vous dire que le coup du trou m'a bien fait rire, ayant connu des gens ancrés bien profond dans cette merde c'est presque un surréalisme réaliste :)
Je sens de plus en plus que ma théorie précédente se met doucement en place, hein russel ;)
Je sens de plus en plus que ma théorie précédente se met doucement en place, hein russel ;)
C'est dur d'être le boss. Walter passe l'épisode à se manger des vexations, incapable d'asseoir son autorité sur qui que ce soit. Le ringard du car wash, Jesse, Gus et sa bande. Mais la pire claque c'est Skyler qui veille sur celui qui veille sur la famille. Il faut reconnaitre à la housewive un certain bon sens quand le mari est aveuglé par ses folies des grandeurs. Mais elle incarne aussi merveilleusement bien la mère castratrice dans sa soif de pouvoir et étouffante dans son besoin de sécurité.
Néanmoins objectivement Walter déconne à plein tube, il n'est pourtant jamais aussi inspiré que lorsqu'il n'essaye pas de péter plus haut que son cul mais joue au contraire sur ses acquis. Mais il semble désormais parti dans un délire égocentrique où le besoin de reconnaissance prime sur la raison. En comparaison Gus loin de jouer les Scarface pour épater la galerie, adopte le profil bas en toute circonstance, même quand on marche sur ses platebandes, tout est dans la discrétion pour durer, l'absence de vagues pour mieux contrôler la situation.
On retrouve en tout cas pleinement Breaking Bad, même si l'intrigue reste finalement toujours assez indécise, les échanges sont en tout cas généreux dans leur intensité. Tout est bien dosé, un peu d'hyper violence (encore une attaque de camion de Gus, ça frôle le running gag à la Roadrunners avec Bip Bip et le coyote), de situation absurdes à la limite du suréalisme (la descente chez les meth heads avec le piège du trou à creuser) et de scènes de couples parfaitement observées...
"I am not in danger, Skyler. I am the danger.
Someone has to protect this family from the man who protects this family."
Néanmoins objectivement Walter déconne à plein tube, il n'est pourtant jamais aussi inspiré que lorsqu'il n'essaye pas de péter plus haut que son cul mais joue au contraire sur ses acquis. Mais il semble désormais parti dans un délire égocentrique où le besoin de reconnaissance prime sur la raison. En comparaison Gus loin de jouer les Scarface pour épater la galerie, adopte le profil bas en toute circonstance, même quand on marche sur ses platebandes, tout est dans la discrétion pour durer, l'absence de vagues pour mieux contrôler la situation.
On retrouve en tout cas pleinement Breaking Bad, même si l'intrigue reste finalement toujours assez indécise, les échanges sont en tout cas généreux dans leur intensité. Tout est bien dosé, un peu d'hyper violence (encore une attaque de camion de Gus, ça frôle le running gag à la Roadrunners avec Bip Bip et le coyote), de situation absurdes à la limite du suréalisme (la descente chez les meth heads avec le piège du trou à creuser) et de scènes de couples parfaitement observées...
"I am not in danger, Skyler. I am the danger.
Someone has to protect this family from the man who protects this family."