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On avait encore cette semaine le jeu des chats et de la souris, notamment la séquence dans l'hôpital qui était assez bien pensée, mais bon cette fuite en avant de Dorothy peine à déboucher sur de nouvelles perspectives pour créer suffisamment d'attentes. Certes on a les deux vilains qui se sont enfin rencontrés, chacun campant sur les positions de ses intérêts personnels en attendant de s'atomiser. Il manque un élément perturbateur pour tout bousculer, probablement l'écossais qui est absent des débats cette fois-ci.
Après les acteurs sont toujours impeccables. Jennifer Jason Leigh me fait beaucoup penser à Isabelle Huppert avec son air pincé et ses répliques glaciales. Je trouve qu'elle vieillit un peu pareil. Les personnages secondaires restent soignés. J'aime bien Danish Grave, il est impeccable comme en intendant de luxe un peu besogneux. Le mec de la fliquette Indira est parfait aussi en mec irresponsable. Les bonhommes ne sont pas au top en période de déconstruction (Wayne au fond du trou). Il y a en gros juste Roy Tillman qui tente de porter encore la flamme du patriarcat sans grande finesse... Mais globalement l'opposition des forces est plutôt intéressante dans la mesure où c'est représentatif de l'Amérique actuelle.
Après les acteurs sont toujours impeccables. Jennifer Jason Leigh me fait beaucoup penser à Isabelle Huppert avec son air pincé et ses répliques glaciales. Je trouve qu'elle vieillit un peu pareil. Les personnages secondaires restent soignés. J'aime bien Danish Grave, il est impeccable comme en intendant de luxe un peu besogneux. Le mec de la fliquette Indira est parfait aussi en mec irresponsable. Les bonhommes ne sont pas au top en période de déconstruction (Wayne au fond du trou). Il y a en gros juste Roy Tillman qui tente de porter encore la flamme du patriarcat sans grande finesse... Mais globalement l'opposition des forces est plutôt intéressante dans la mesure où c'est représentatif de l'Amérique actuelle.