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j'ai personnellement beaucoup aimé cet épisode
les apparitions de "revenants" ne cessent de mettre du piment et de l'intrigue
les apparitions de "revenants" ne cessent de mettre du piment et de l'intrigue
Samson sait que Ben et Sophie ont des liens du sang sinon il n'aurait pas fait tout un flan. J'ai par ailleurs beaucoup aime le face a face Varyl Shroud / Samson. Ce dernier ne se laisse pas demonter et devine tout de suite l'imposture. Ca fait plaisir de voir Samson revenir au premier plan.
J'aurais vu un clash plus violent entre Justin et Iris mais comme elle le repete dans cet episode : elle a fait ca pour lui. Je sens que la suite va etre interessante (une vengeance d'Iris sur Dolan?)
Un peu decu par la vision finale qui n'apporte pas grand chose comme l'a tres bien dit Travis vu que Varyl Shroud est deja dans le Carnaval.
"He smiles a lot but he's got dead man's eyes..."
J'aurais vu un clash plus violent entre Justin et Iris mais comme elle le repete dans cet episode : elle a fait ca pour lui. Je sens que la suite va etre interessante (une vengeance d'Iris sur Dolan?)
Un peu decu par la vision finale qui n'apporte pas grand chose comme l'a tres bien dit Travis vu que Varyl Shroud est deja dans le Carnaval.
"He smiles a lot but he's got dead man's eyes..."
Paraître et être.
Bien sûr, c'est un peu la thématique de fond de Carnivà le, mais je n'avais pas eu depuis longtemps autant l'impression qu'elle soudait un épisode.
Ca commence dès le début avec la vision de Ben se promenant dans un décor qui ressemble à celui que nous connaissons bien qu'il ne reste ici que des cendres. Cendres du combat entre la Lumière et l'Obscurité ? Entre Justin et Ben ? J'ai bien apprécié en tout cas de voir Justin jaillir tel un fauve du lit du Management. Un fauve qui semble tout dévorer. Son cri de bête rappelle en plus l'introduction de l'épisode précédent avec Norman et Céleste.
Être et paraître... Les aveux d'Iris auxquels elle ne consent que parce que Justin a dû finir par les lui demander. On savait qu'il le ferait, mais le fait que la scène, très belle, très travaillée au niveau de l'alternance des Alexeï-Justin (auquel répond le "Irina" de Justin après la scène des aveux devant Nolan) s'arrête précisément avant que Justin ne cède ne la rend que plus intense – et Justin ne demande jamais rien, d'après Iris: comment aurait-on pu le voir ici la prier ?
Le journaliste abusé croit en la spontanéité des aveux d'Iris et voit la largesse du pardon qu'accorde Justin. Mais nous savons qu'il en est tout autre. Iris donne à son frère les martyres dont il avait besoin pour son ascension comme elle se donne elle-même à la justice dans l'intérêt de son frère. Je suis curieuse de voir la suite de l'évolution de leur relation.
Paraître et être... Les soldats de Justin.
Stroud a rejoint la troupe plus vite que ce qu'on aurait pu le croire (on n'est même pas à la mi-saison: c'est avec des éléments de ce type que je continue de répéter que le rythme de la série cette saison a quand même accéléré, quoi qu'on puisse en dire).Bien sûr, il ne reconnaît pas en Ben le "Scudder boy" qu'il recherche mais chacune des trois scènes où il apparaît est intéressante, d'abord en manipulant les craintes de Jonesy. J'ai failli écrire "pauvre Jonesy" mais ses histoires de femmes sont la parenthèse récréative des épisodes, et c'est vraiment la seule chose qui ne m'intéresse guère et, comme Jèm le soulignait ailleurs (je me permets de te citer ;) ): "c'est la seule manière qu'ils ont trouvé pour mettre un peu de "sexe" dans Carnivale, parce que c'est la seule histoire qui n'a pas vraiment de lien avec Justin, Ben et compagnie... (et d'ailleurs, maintenant que Sofie a un lien, elle n'est plus vraiment dans cette histoire)". Un point de vue auquel je souscris entièrement.
Face à Samson, les choses sont différentes. Malgré sa taille, il s'avère bien moins manipulable que Jonesy et devine de suite que non seulement il n'est pas shérif mais en plus est vraisemblablement un ancien forçat ("His type's more comfortable behind bars than in front of them"). Être, paraître.
Même faux semblant avec l'onctueux monsieur Geddes. Je ne sais pas pourquoi quand je l'ai vu dans son décor si lisse et parfait, il m'a rappelé un texte de R. Dahl, me semble-t-il, que j'avais étudié au collège, où il était question d'une sympathique vieille propriétaire qui avait la fâcheuse habitude d'empoisonner à l'arsenic les étudiants qui avaient la mauvaise idée de prendre un thé avec elle. Je crois aussi qu'elle les empaillait. Bref, difficile de voir en Geddes quelqu'un d'anecdotique et je pense qu'indépendamment du calque que j'ai fait avec la nouvelle de Dahl, il était couru d'avance que Ben allait encore faire connaissance avec un cinglé (raison statistique cette saison). :))
Aussi, ce n'est pas vraiment cette péripétie qui importe – de toute façon, on sait bien que Ben va s'en sortir, que ce qui compte, c'est sa quête, et que si nous, nous savions déjà que Scudder était toujours en vie grâce à ce qu'avait dit le Management, Ben, lui, devait aussi l'apprendre pour qu'il sache qu'il ne recherche pas une ombre. Les alliés de Justin sont nombreux et ont décidément bien des visages (le jeu de mots sur les masques étaient trop simple mais il est amusant de noter qu'alors qu'un masque sert à cacher, ceux de Geddes révèlent) et celui-ci ne fait que permettre à Justin de voir le vrai visage de Ben, sans le voile des visions, et il sait désormais qu'il travaille dans un cirque. Samson a été un bon prophète en prédisant qu'ils reverraient bientôt Stroud... J'ai d'ailleurs bien aimé les images finales, avec d'un côté un Justin qui semble apeuré et recule face à la flaque de sang, et de l'autre un Ben qui se contemple dans le miroir cassé, comme défiguré, métaphore probable de sa dépossession/dépersonnalisation quand Justin a vu par ses yeux.
Etre et paraître, c'est aussi ce brave père de famille qui offre tant de tours de manège à ses enfants uniquement pour être tranquille pendant qu'il va se payer une prostituée, le combat de boxe entre un Noir et un Blanc, qui s'avère finalement être Juif (ce racisme latent qui se manifeste même dans les événements sportifs est, aussi désagréable qu'il soit, intéressant dans le contexte historique après l'allusion au KKK dans le 204), Stumpy toujours aussi fanfaron.
Et puis parfois, le paraître rejoint l'être quand Ruthie comprend enfin qu'elle n'est pas folle
Ruthie qui comprend ce qu'elle est devenue comme Apollonia, avec un pied dans chacun des deux mondes et quand Sofie apprend que c'est toujours elle qui a avait le pouvoir de lire les cartes. Espérons qu'avec le retour d'Apollonia en scène, on en apprendra un peu plus sur les raisons qui l'ont poussée à vouloir tuer Sofie, sur le rôle que cette dernière doit évidemment jouer dans la lutte de Justin et de Ben - et en vertu du principe de l'être et du paraître si présent dans cet épisode, on saura peut-être si Samson ne pense qu'au fait que Ben semble promis à la mort quand il cherche à l'éloigner de Sofie ou s'il en sait plus qu'il ne veut le dire sur son père...
"You were always the one who read the cards."
Bien sûr, c'est un peu la thématique de fond de Carnivà le, mais je n'avais pas eu depuis longtemps autant l'impression qu'elle soudait un épisode.
Ca commence dès le début avec la vision de Ben se promenant dans un décor qui ressemble à celui que nous connaissons bien qu'il ne reste ici que des cendres. Cendres du combat entre la Lumière et l'Obscurité ? Entre Justin et Ben ? J'ai bien apprécié en tout cas de voir Justin jaillir tel un fauve du lit du Management. Un fauve qui semble tout dévorer. Son cri de bête rappelle en plus l'introduction de l'épisode précédent avec Norman et Céleste.
Être et paraître... Les aveux d'Iris auxquels elle ne consent que parce que Justin a dû finir par les lui demander. On savait qu'il le ferait, mais le fait que la scène, très belle, très travaillée au niveau de l'alternance des Alexeï-Justin (auquel répond le "Irina" de Justin après la scène des aveux devant Nolan) s'arrête précisément avant que Justin ne cède ne la rend que plus intense – et Justin ne demande jamais rien, d'après Iris: comment aurait-on pu le voir ici la prier ?
Le journaliste abusé croit en la spontanéité des aveux d'Iris et voit la largesse du pardon qu'accorde Justin. Mais nous savons qu'il en est tout autre. Iris donne à son frère les martyres dont il avait besoin pour son ascension comme elle se donne elle-même à la justice dans l'intérêt de son frère. Je suis curieuse de voir la suite de l'évolution de leur relation.
Paraître et être... Les soldats de Justin.
Stroud a rejoint la troupe plus vite que ce qu'on aurait pu le croire (on n'est même pas à la mi-saison: c'est avec des éléments de ce type que je continue de répéter que le rythme de la série cette saison a quand même accéléré, quoi qu'on puisse en dire).Bien sûr, il ne reconnaît pas en Ben le "Scudder boy" qu'il recherche mais chacune des trois scènes où il apparaît est intéressante, d'abord en manipulant les craintes de Jonesy. J'ai failli écrire "pauvre Jonesy" mais ses histoires de femmes sont la parenthèse récréative des épisodes, et c'est vraiment la seule chose qui ne m'intéresse guère et, comme Jèm le soulignait ailleurs (je me permets de te citer ;) ): "c'est la seule manière qu'ils ont trouvé pour mettre un peu de "sexe" dans Carnivale, parce que c'est la seule histoire qui n'a pas vraiment de lien avec Justin, Ben et compagnie... (et d'ailleurs, maintenant que Sofie a un lien, elle n'est plus vraiment dans cette histoire)". Un point de vue auquel je souscris entièrement.
Face à Samson, les choses sont différentes. Malgré sa taille, il s'avère bien moins manipulable que Jonesy et devine de suite que non seulement il n'est pas shérif mais en plus est vraisemblablement un ancien forçat ("His type's more comfortable behind bars than in front of them"). Être, paraître.
Même faux semblant avec l'onctueux monsieur Geddes. Je ne sais pas pourquoi quand je l'ai vu dans son décor si lisse et parfait, il m'a rappelé un texte de R. Dahl, me semble-t-il, que j'avais étudié au collège, où il était question d'une sympathique vieille propriétaire qui avait la fâcheuse habitude d'empoisonner à l'arsenic les étudiants qui avaient la mauvaise idée de prendre un thé avec elle. Je crois aussi qu'elle les empaillait. Bref, difficile de voir en Geddes quelqu'un d'anecdotique et je pense qu'indépendamment du calque que j'ai fait avec la nouvelle de Dahl, il était couru d'avance que Ben allait encore faire connaissance avec un cinglé (raison statistique cette saison). :))
Aussi, ce n'est pas vraiment cette péripétie qui importe – de toute façon, on sait bien que Ben va s'en sortir, que ce qui compte, c'est sa quête, et que si nous, nous savions déjà que Scudder était toujours en vie grâce à ce qu'avait dit le Management, Ben, lui, devait aussi l'apprendre pour qu'il sache qu'il ne recherche pas une ombre. Les alliés de Justin sont nombreux et ont décidément bien des visages (le jeu de mots sur les masques étaient trop simple mais il est amusant de noter qu'alors qu'un masque sert à cacher, ceux de Geddes révèlent) et celui-ci ne fait que permettre à Justin de voir le vrai visage de Ben, sans le voile des visions, et il sait désormais qu'il travaille dans un cirque. Samson a été un bon prophète en prédisant qu'ils reverraient bientôt Stroud... J'ai d'ailleurs bien aimé les images finales, avec d'un côté un Justin qui semble apeuré et recule face à la flaque de sang, et de l'autre un Ben qui se contemple dans le miroir cassé, comme défiguré, métaphore probable de sa dépossession/dépersonnalisation quand Justin a vu par ses yeux.
Etre et paraître, c'est aussi ce brave père de famille qui offre tant de tours de manège à ses enfants uniquement pour être tranquille pendant qu'il va se payer une prostituée, le combat de boxe entre un Noir et un Blanc, qui s'avère finalement être Juif (ce racisme latent qui se manifeste même dans les événements sportifs est, aussi désagréable qu'il soit, intéressant dans le contexte historique après l'allusion au KKK dans le 204), Stumpy toujours aussi fanfaron.
Et puis parfois, le paraître rejoint l'être quand Ruthie comprend enfin qu'elle n'est pas folle
Ruthie qui comprend ce qu'elle est devenue comme Apollonia, avec un pied dans chacun des deux mondes et quand Sofie apprend que c'est toujours elle qui a avait le pouvoir de lire les cartes. Espérons qu'avec le retour d'Apollonia en scène, on en apprendra un peu plus sur les raisons qui l'ont poussée à vouloir tuer Sofie, sur le rôle que cette dernière doit évidemment jouer dans la lutte de Justin et de Ben - et en vertu du principe de l'être et du paraître si présent dans cet épisode, on saura peut-être si Samson ne pense qu'au fait que Ben semble promis à la mort quand il cherche à l'éloigner de Sofie ou s'il en sait plus qu'il ne veut le dire sur son père...
"You were always the one who read the cards."
Cet episode est excellent, encore une fois au niveau realisation, mise en scene, images,decors jeu des acteurs,musique,ambiance et meme le jargon de l'epoque tout y est,c'est un de mes episodes preferes et de loin ma serie preferee, Ã conseiller pour ceux qui connaissent pas!
Panda
""I won't lie to you brothers and sisters,when Eve ate the apple,man's fleeting hopes for a life in eternal paradise were crushed." Brother Justin "
Panda
""I won't lie to you brothers and sisters,when Eve ate the apple,man's fleeting hopes for a life in eternal paradise were crushed." Brother Justin "
Episode prévisible de bout en bout...
Rien qu'en voyant Geddes, on sait qu'il cache quelque chose de pas net. Après le coup des tasses, on sait ce qu'il va faire et c'est fini.
Même la vision finale ne m'a pas vraiment captivé. En plus ça n'apporte rien à l'intrigue.
La scène où Sophie tire les cartes aurait pu être mieux, il n'y a guère que la toute fin qui était intéressante.
Il va falloir qu'ils aillent doucement avec les flash-forwards. Si on sait tout avant même que ça arrive...
Le bon point du jour va encore à Justin, Iris et le journaliste.
En fait c'est surtout Iris et le journaliste qui sont à remercier parce qu'on commence à connaitre par coeur ce cher Justin.
Bref, après un mieux au 204, je suis de nouveau déçu.
Il est temps de tuer des gens, de nous sortir l'Evil Sophie qu'on nous a promis...
Rien qu'en voyant Geddes, on sait qu'il cache quelque chose de pas net. Après le coup des tasses, on sait ce qu'il va faire et c'est fini.
Même la vision finale ne m'a pas vraiment captivé. En plus ça n'apporte rien à l'intrigue.
La scène où Sophie tire les cartes aurait pu être mieux, il n'y a guère que la toute fin qui était intéressante.
Il va falloir qu'ils aillent doucement avec les flash-forwards. Si on sait tout avant même que ça arrive...
Le bon point du jour va encore à Justin, Iris et le journaliste.
En fait c'est surtout Iris et le journaliste qui sont à remercier parce qu'on commence à connaitre par coeur ce cher Justin.
Bref, après un mieux au 204, je suis de nouveau déçu.
Il est temps de tuer des gens, de nous sortir l'Evil Sophie qu'on nous a promis...
Encore un excellent épisode sans critiques à faire pour ma part. Les histoires de Stumpy sont un peu plus convaincantes et passent mieux. Le reste est impécable, surtout la fin avec le masque/vision et Sofie qui tire les cartes à Ben. Une série culte.
"You were always the one you read the cards."
"You were always the one you read the cards."
J'ai adoré cet épisode.
Y a pas une storyline qui m'indiffère. Le perso de Geddes était pour le moins intéressant. Il est si affable dans sa façon de parler qu'on ne se méfie pas de lui de prime abord. Mais quand on le voit servir plusieurs tasses à Ben, on commence se poser des questions.
Un passage le concernant que j'ai beaucoup apprécié : une fois Ben parti, on le voit s'asseoir près de la radio tel un ouvrier s'asseyant sur son fauteuil après une dure journée de travail. Ca contraste complètement avec la sérénité qu'il montre vis-à -vis de Ben même quand ce dernier lui gueule dessus lui demandant où se trouve son atelier et le calme lorsqu'il pratique sa peinture en dilettante. Le tout ponctué par les paroles de Justin qu'il reprend (A world of pain and despair.).
Concernant le tirage des cartes et notamment "Les Amoureux", je pense que Ben voit la même chose que Sofie. D'ailleurs, quand elle lui pose la question, son "nothing" n'a rien de convaincant.
Certains (beaucoup ?) n'aiment pas la storyline Stumpy. C'est pas mon cas. Certes, c'est pas ce qu'il y a de plus passionnant mais qui sait quelles pourraient être les retombées de la maille qu'il doit. Et puis, la bouille du bonhomme me fait bien marrer, je dois avouer. :D
J'ai trouvé la séquence où Iris avoue à Tommy Dolan avoir incendié la paroisse très intéressante. Et notamment lorsqu'elle dit : "I fell under a shadow. It preyed upon me." et sa façon de fixer Justin comme si elle ne décrivait pas simplement son cas. Et Justin de dire "That's enough" pour la faire taire avant d'ajouter un "You've done
the right thing, Irina" qui n'indique pas clairement qu'il parle du fait qu'elle se soit rendue.
Dans le 1.10 (Justin, back home), Iris dit à son frère qu'elle savait qu'il avait une destinée. Et en incendiant la paroisse, elle affirme, décide (seule ?) qu'il est temps de se mettre à l'oeuvre. Justin, lui, est en colère en voyant son "orgueilleuse" de son soeur décider à sa place s'il est prêt ou non.
Et enfin, Varlyn Stroud que j'ai été surpris de voir qu'il était déjà arrivé chez Carnivà le, et qui a une vraie présence à l'écran. J'apprécie beaucoup ce perso qui passe d'un visage souriant à celui d'un "dead man".
Ses répliques lors de la scène avec Samson sont exquises (tout comme celles avec Ben :D ) et quand il dit à Ben après leur discussion : "I told you they were closed", on comprend qu'il sait que Ben travaille bien à chez Carnivà le, et qu'il reviendra les voir.
"Varlyn Stroud - I've had plenty of women in my day. All back-stabbing bitches and outhouse whores. I'll tell you, kid, the more I know women, the more I like dogs."
Y a pas une storyline qui m'indiffère. Le perso de Geddes était pour le moins intéressant. Il est si affable dans sa façon de parler qu'on ne se méfie pas de lui de prime abord. Mais quand on le voit servir plusieurs tasses à Ben, on commence se poser des questions.
Un passage le concernant que j'ai beaucoup apprécié : une fois Ben parti, on le voit s'asseoir près de la radio tel un ouvrier s'asseyant sur son fauteuil après une dure journée de travail. Ca contraste complètement avec la sérénité qu'il montre vis-à -vis de Ben même quand ce dernier lui gueule dessus lui demandant où se trouve son atelier et le calme lorsqu'il pratique sa peinture en dilettante. Le tout ponctué par les paroles de Justin qu'il reprend (A world of pain and despair.).
Concernant le tirage des cartes et notamment "Les Amoureux", je pense que Ben voit la même chose que Sofie. D'ailleurs, quand elle lui pose la question, son "nothing" n'a rien de convaincant.
Certains (beaucoup ?) n'aiment pas la storyline Stumpy. C'est pas mon cas. Certes, c'est pas ce qu'il y a de plus passionnant mais qui sait quelles pourraient être les retombées de la maille qu'il doit. Et puis, la bouille du bonhomme me fait bien marrer, je dois avouer. :D
J'ai trouvé la séquence où Iris avoue à Tommy Dolan avoir incendié la paroisse très intéressante. Et notamment lorsqu'elle dit : "I fell under a shadow. It preyed upon me." et sa façon de fixer Justin comme si elle ne décrivait pas simplement son cas. Et Justin de dire "That's enough" pour la faire taire avant d'ajouter un "You've done
the right thing, Irina" qui n'indique pas clairement qu'il parle du fait qu'elle se soit rendue.
Dans le 1.10 (Justin, back home), Iris dit à son frère qu'elle savait qu'il avait une destinée. Et en incendiant la paroisse, elle affirme, décide (seule ?) qu'il est temps de se mettre à l'oeuvre. Justin, lui, est en colère en voyant son "orgueilleuse" de son soeur décider à sa place s'il est prêt ou non.
Et enfin, Varlyn Stroud que j'ai été surpris de voir qu'il était déjà arrivé chez Carnivà le, et qui a une vraie présence à l'écran. J'apprécie beaucoup ce perso qui passe d'un visage souriant à celui d'un "dead man".
Ses répliques lors de la scène avec Samson sont exquises (tout comme celles avec Ben :D ) et quand il dit à Ben après leur discussion : "I told you they were closed", on comprend qu'il sait que Ben travaille bien à chez Carnivà le, et qu'il reviendra les voir.
"Varlyn Stroud - I've had plenty of women in my day. All back-stabbing bitches and outhouse whores. I'll tell you, kid, the more I know women, the more I like dogs."