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La grosse partie comique de cet épisode réside véritablement dans le probation worker, ce personnage est hilarant, je suis explosé dès qu'on le voit à l'écran. J'ai bien cru qu'on allait encore honorer la tradition des probation worker morts mais il reste en vie, et tant mieux. The power of love avec Finn, qu'est-ce que c'était bon ahah.
On se concentre un peu sur Abby dans cet épisode, personnage imaginaire pourquoi pas, ça reste dans l'esprit Misfits. Pas forcément passionnante l'histoire avec sa copine mais ça permet de voir un peu plus le personnage même si j'ai toujours un peu de mal avec elle.
En attendant, ils essaient de mettre en place un fil rouge avec le gars qui vole et cette histoire de pull, on se doute bien que ça tend vers un évènement qui pourrait conclure la série. Je suis rassuré après un premier épisode que j'avais trouvé très très moyen, j'apprécié bien plus ce genre d'épisodes de Misfits.
On se concentre un peu sur Abby dans cet épisode, personnage imaginaire pourquoi pas, ça reste dans l'esprit Misfits. Pas forcément passionnante l'histoire avec sa copine mais ça permet de voir un peu plus le personnage même si j'ai toujours un peu de mal avec elle.
En attendant, ils essaient de mettre en place un fil rouge avec le gars qui vole et cette histoire de pull, on se doute bien que ça tend vers un évènement qui pourrait conclure la série. Je suis rassuré après un premier épisode que j'avais trouvé très très moyen, j'apprécié bien plus ce genre d'épisodes de Misfits.
Toujours une grande liberté et dans le ton et dans le récit. PAs possible d'imaginer cette série produite en France, trop amoral. Donc il y a d'un côté l'aspect rafraîchissant à la limite de l'impro (Abby amie imaginaire, ça semble sorti d'un chapeau) et puis de l'autre l'avancée un peu laborieuse des intrigues. Mais au moins il y a une continuité. L'histoire du pull sent un peu la redite. La combine du teasing prophétique renvoie à la boucle temporelle de Simon.
Dans la veine comique en tout cas ça assure, parce que le flash de Greg, c'était quand même bidonnant. Sans compter qu'il a failli succomber à la tradition de l'enterrement du probation worker. On passe comme d'habitude du pur délire aux thèmes graves (le harcèlement) avec une insouciance assez vertigineuse. Pareil Abbey navigue entre noirceur (suicide) et candeur limite enfantine. Misifts reste selon moi la série ado par excellente par l'inconstance de ses conflits, ses extrêmes contradictoires. Pour le pire et le meilleur...
Dans la veine comique en tout cas ça assure, parce que le flash de Greg, c'était quand même bidonnant. Sans compter qu'il a failli succomber à la tradition de l'enterrement du probation worker. On passe comme d'habitude du pur délire aux thèmes graves (le harcèlement) avec une insouciance assez vertigineuse. Pareil Abbey navigue entre noirceur (suicide) et candeur limite enfantine. Misifts reste selon moi la série ado par excellente par l'inconstance de ses conflits, ses extrêmes contradictoires. Pour le pire et le meilleur...