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C'est quand même vraiment cartoonesque dans le traitement, on se croirait pratiquement dans une adaptation d'Astérix au ciné. Je ne suis pas certain que ça fonctionne totalement avec Zorro qui est quand même une oeuvre plus romanesque et qui convoque plus l'héroïsme. Là tout est pris systématiquement à contre pied, c'est du pastiche.
Donc dans le registre humoristique, ça fonctionne parfois. Il y a quelques répliques qui font preuve d'un peu d'esprit (c'est ni fouet ni à faire). Mais les personnages ont une seule dimension et le trait est trop gros. Même Don Emmanuel est trop fantaisiste et pas assez salaud, pourtant Eric Elmosnino semble jubiler à faire le con. Du coup il n'y a jamais rien de grave, pas de sentiment de péril (les bastons c'est zéro suspense).
Dans le registre romance ce n'est pas génial non plus, toujours pour la même raison. Ce n'est pas traité sérieusement. Pourtant on sent que c'est au coeur du projet. Un Zorro vieillissant, un couple qui a un peu de mal à conserver la flamme... Mais franchement la scène au pieux avec Dussolier (catastrophique) qui se radine... Au secours...
C'est vraiment une vision très régressive de Zorro qui tirerait son inspiration des lointains souvenirs de la série télé Disney, désormais un peu tombée en désuétude. On est dans de la nostalgie mal reformulée. C'est un peu dommage parce l'idée du Zorro un peu vieillissant qui tente de se remettre aux fourneaux en partie pour reconquérir sa bien aimée, ça aurait pu être intéressant. Alors que là c'est juste bêbête.
J'aime bien Bernado. Mais je me demande si c'est parce qu'il n'a pas de dialogues...
Donc dans le registre humoristique, ça fonctionne parfois. Il y a quelques répliques qui font preuve d'un peu d'esprit (c'est ni fouet ni à faire). Mais les personnages ont une seule dimension et le trait est trop gros. Même Don Emmanuel est trop fantaisiste et pas assez salaud, pourtant Eric Elmosnino semble jubiler à faire le con. Du coup il n'y a jamais rien de grave, pas de sentiment de péril (les bastons c'est zéro suspense).
Dans le registre romance ce n'est pas génial non plus, toujours pour la même raison. Ce n'est pas traité sérieusement. Pourtant on sent que c'est au coeur du projet. Un Zorro vieillissant, un couple qui a un peu de mal à conserver la flamme... Mais franchement la scène au pieux avec Dussolier (catastrophique) qui se radine... Au secours...
C'est vraiment une vision très régressive de Zorro qui tirerait son inspiration des lointains souvenirs de la série télé Disney, désormais un peu tombée en désuétude. On est dans de la nostalgie mal reformulée. C'est un peu dommage parce l'idée du Zorro un peu vieillissant qui tente de se remettre aux fourneaux en partie pour reconquérir sa bien aimée, ça aurait pu être intéressant. Alors que là c'est juste bêbête.
J'aime bien Bernado. Mais je me demande si c'est parce qu'il n'a pas de dialogues...