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Toujours aussi compliqué pour cette série de se positionner. The Orville reste dans sa forme une bouture de Star Trek, mais avec un équipage un peu stupide. Bizarrement l'aspect déluré n'est pas appliqué à tous les éléments du show. Ainsi la confédération ne se conforme absolument pas à l'approche fantaisiste et demeure on ne peut plus sérieuse. Quitte à sacrifier ses gradés pour respecter son protocole inflexible. L'intrigue du jour est assez secondaire et se résume à un prétexte pour nourrir la seule storyline qui intéresse MacFarlane : les problèmes conjugaux du couple Mercer Grayson . Certes les deux sont en prison, mais version reconstitution de leur ancien foyer dans lequel ils peuvent s'autoriser à reprendre leur relation, que c'est arrangeant. Le souci c'est que personnellement je me tamponne de leur séparation. Les deux personnages n'ayant pas réussi à me séduire pour l'instant.
L'humour laisse toujours à désirer, ce qui finit de plomber le show. Cette omniprésence des références à la culture populaire américaine d'une époque antérieure (Kermit, la real TV...) est injustifiée et relève de la paresse la plus totale. Et tant pis si les races extraterrestres n'y pigent rien, tout cela s'adresse avant tout au téléspectateur de la Fox.
L'humour laisse toujours à désirer, ce qui finit de plomber le show. Cette omniprésence des références à la culture populaire américaine d'une époque antérieure (Kermit, la real TV...) est injustifiée et relève de la paresse la plus totale. Et tant pis si les races extraterrestres n'y pigent rien, tout cela s'adresse avant tout au téléspectateur de la Fox.
Nope, c'est toujours insuffisant pour moi.
L'intrigue est classique et résolue avec beaucoup trop de facilités. La moquerie envers les émissions télé réalité est petite et éculée.
L'humour fait quelques apparitions entre 2 scènes dramatiques des plus fades.
Franchement, The Orville est pour l'instant sauvé par son casting à part MacFarlane. Ce dernier pourrait sauver la série s'il réalisait qu'il la plombe par son jeu d'acteur trop limité. S'il tuait son personnage, il pourrait se concentrer sur l'écriture et la comédie ce qu'il fait bien mieux que ce qu'il nous offre devant la caméra.
Un des rares bons moments de cet épisode réside dans les apparitions trop courtes de Holland Taylor et Jeffrey Tambor.
Bref, c'est toujours du gâchis et mes espoirs de voir la tendance s'inverser s'amenuisent petit à petit.
L'intrigue est classique et résolue avec beaucoup trop de facilités. La moquerie envers les émissions télé réalité est petite et éculée.
L'humour fait quelques apparitions entre 2 scènes dramatiques des plus fades.
Franchement, The Orville est pour l'instant sauvé par son casting à part MacFarlane. Ce dernier pourrait sauver la série s'il réalisait qu'il la plombe par son jeu d'acteur trop limité. S'il tuait son personnage, il pourrait se concentrer sur l'écriture et la comédie ce qu'il fait bien mieux que ce qu'il nous offre devant la caméra.
Un des rares bons moments de cet épisode réside dans les apparitions trop courtes de Holland Taylor et Jeffrey Tambor.
Bref, c'est toujours du gâchis et mes espoirs de voir la tendance s'inverser s'amenuisent petit à petit.