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Note moyenne de cet épisode: 14.7 / 20 (3)
Classement cette saison : 11
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ramdams 
12.0
12.0
Ray Donovan ne risque-t-il pas de tomber dans le même schéma narratif que son prédécesseur Dexter ? À savoir ce schéma hybride, entre le standalone et l'aspect feuilletonnant, chaque épisode qui consisterait à résoudre une affaire sous fond d'un fil rouge écoulé tout au long de la saison. Cette configuration a montré très vite ses limites dans Dexter et je crains que Ray Donovan n'emprunte la même voie. La boucle a-t-elle été bouclée dans l'affaire du maître chanteur pré-transsexuel ? On le saura à partir du troisième épisode. Quant au fil rouge, il s'agirait très certainement du prêtre pédophile. Son assassinat par Mickey peut apaiser, à moyen ou long terme, les tensions de ce dernier avec son fils. En tant que spectateur, on espère juste que la repentance du père ne durera pas une éternité. Cela risque d'être lassant, à l'image de la virée à Malibu avec le reste de la famille Donovan.
Alors que les victimes de Dexter étaient « jetables », les clients de Ray semblent avoir une durée de vie supérieure à un épisode. Cela peut être intéressant à suivre. Stu Feldman et Tommy Wheeler sont des figures typiques de ce que l'on trouve de ce côté-ci de la Californie : imbus de leur personne, capables de tout acheter mais vite trahis par leurs petits secrets, leurs petites faiblesses. En somme, l'épisode parut moins longuet que le précédent, peut-être parce que l'on commence déjà à cerner les personnages, qui nous deviennent familiers.
Alors que les victimes de Dexter étaient « jetables », les clients de Ray semblent avoir une durée de vie supérieure à un épisode. Cela peut être intéressant à suivre. Stu Feldman et Tommy Wheeler sont des figures typiques de ce que l'on trouve de ce côté-ci de la Californie : imbus de leur personne, capables de tout acheter mais vite trahis par leurs petits secrets, leurs petites faiblesses. En somme, l'épisode parut moins longuet que le précédent, peut-être parce que l'on commence déjà à cerner les personnages, qui nous deviennent familiers.
brucewayne
17.0
17.0
Il est vrai que c'est un peu moins intense que le pilote, mais je pense que c'est en partie dû au début de l'épisode qui est un peu longuet, notamment, comme ce qu'il a déjà été dit, avec la scène à Malibu, mais à part ça je suis fan, les dialogues font mouche, une chouette mise en scène, je suis fan.
J'aime beaucoup la fin lorsqu'il y a cette petite correction organisé, surtout parce qu'on devine que ray est derrière tout ça et qu'il a voulu faire passer un message.( j'essaye au maximum de ne pas trop spoiler hein)
bref, les acteurs sont très bon, je re-découvre Liev Schreiber et les autres ne sont pas en reste.
Ca semble solide, j'espère que la suite sera à la hauteur.
Tout comme Russel, je ne comprends pas les motivations d'Abby, et j'espère que ça sera aborder plus tard et pas que ce soit juste une facilité scénaristique pour amener la confrontation entre ray et son père dans sa propre famille.
J'aime beaucoup la fin lorsqu'il y a cette petite correction organisé, surtout parce qu'on devine que ray est derrière tout ça et qu'il a voulu faire passer un message.( j'essaye au maximum de ne pas trop spoiler hein)
bref, les acteurs sont très bon, je re-découvre Liev Schreiber et les autres ne sont pas en reste.
Ca semble solide, j'espère que la suite sera à la hauteur.
Tout comme Russel, je ne comprends pas les motivations d'Abby, et j'espère que ça sera aborder plus tard et pas que ce soit juste une facilité scénaristique pour amener la confrontation entre ray et son père dans sa propre famille.
russel
15.0
15.0
Moins intense et dense que le pilote même si la formule reste séduisante. Bien aimé la façon dont Donovan résout la situation du jour. Il tape dur, il corrige sévère mais il a du coeur. Donc s'il peut piquer au plus pourri (j'aime bien le producteur superficiel Stu Feldman, il est vraiment con) pour arranger le plus mal loti (le trans), pas de souci.
Toujours la même radicalité pour arranger les soucis de famille. La promenade à Malibu c'était un peu longuet et je ne comprends toujours pas les vraies motivations de Abby. Elle a visiblement envie d'un clan Donovan soudé et ne doit pas être totalement au courant du lourd passé du papy. Elle a aussi des comptes à régler avec Ray... Ca reste assez confus. Le fax du clif devrait un peu structurer l'antagonisme générationnel.
Toujours la même radicalité pour arranger les soucis de famille. La promenade à Malibu c'était un peu longuet et je ne comprends toujours pas les vraies motivations de Abby. Elle a visiblement envie d'un clan Donovan soudé et ne doit pas être totalement au courant du lourd passé du papy. Elle a aussi des comptes à régler avec Ray... Ca reste assez confus. Le fax du clif devrait un peu structurer l'antagonisme générationnel.
