J'aime bien. On apprend à connaitre un peu plus Tommy à travers son entourage. Ce n'est pas un mauvais bougre, il a même un bon fond, on le vérifie notamment avec sa façon de s'adresser directement aux familles endeuillées de ses employés décédés. Pas le genre à fuir ses responsabilités ou à éviter de mettre les mains dans le cambouis ou sous le marteau. Encore une fois on n'est plus dans l'homme qui se réalise en fonction de ses idéaux, c'est le monde matérialiste qui conditionne ses actes, l'oblige à se pervertir pour survivre, car non, il n'y en aura pas pour tout le monde. On nous parle d'ailleurs de dreamers destinés à devenir des losers. Sheridan ne vend plus du rêve américain. Il est désillusionné.
Ca n'empêche pas la rigolade non plus. Les rapports du landman avec sa fille ingénue, sa femme...
J'ai adoré la scène du bar quand il rencontre l'avocate. Déjà la réplique de la serveuse pour aider Rebecca à localiser Tommy, le cowboy au comptoir. Et puis la déconnade sur lady. On n'est pas dans une série cheveux bleus. C'est clairement revendiqué.
Pour l'instant Demi Moore n'a pas grand chose à faire. Limite on se demande pourquoi elle a été castée pour ce rôle. Inversement c'est surprenant d'avoir engagé Michael Pena et Emilio Rivera pour les dégager aussi vite...
Ca n'empêche pas la rigolade non plus. Les rapports du landman avec sa fille ingénue, sa femme...
J'ai adoré la scène du bar quand il rencontre l'avocate. Déjà la réplique de la serveuse pour aider Rebecca à localiser Tommy, le cowboy au comptoir. Et puis la déconnade sur lady. On n'est pas dans une série cheveux bleus. C'est clairement revendiqué.
Pour l'instant Demi Moore n'a pas grand chose à faire. Limite on se demande pourquoi elle a été castée pour ce rôle. Inversement c'est surprenant d'avoir engagé Michael Pena et Emilio Rivera pour les dégager aussi vite...