Voir tous les épisodes
Dans la continuité du précédent
Kenny reste irasciblement le même. Pourtant cet épisode, bien que très similaire au précédent, est moins rentre-dedans. C'est que même si le personnage n'évolue pas (quoique son manque de confiance sur le plan sportif lorsqu'on lui demande de faire un lancer ouvre peut-être un vantail vers un personnage profondément dévasté), il pousse l'ensemble de son entourage à de constantes réadaptations, donc à des changements. C'est flagrant avec April. Il n'y a pas de réel approfondissement, mais plutôt de la transformation. J'ai hâte en ce sens que le frère cesse de se faire victimiser et s'adapte lui aussi.
Les éléments vraiment grandioses sont :
- Will Farell avec la perruque blonde
- la scène de la danse
Ainsi, bon épisode, de légères évolutions mais rien de transcendant. Ça reste bon, pour moi la bonne surprise après la déception Dollhouse.
"You don't know what I've got either. (En parlant de maladies vénériennes.)"
Kenny reste irasciblement le même. Pourtant cet épisode, bien que très similaire au précédent, est moins rentre-dedans. C'est que même si le personnage n'évolue pas (quoique son manque de confiance sur le plan sportif lorsqu'on lui demande de faire un lancer ouvre peut-être un vantail vers un personnage profondément dévasté), il pousse l'ensemble de son entourage à de constantes réadaptations, donc à des changements. C'est flagrant avec April. Il n'y a pas de réel approfondissement, mais plutôt de la transformation. J'ai hâte en ce sens que le frère cesse de se faire victimiser et s'adapte lui aussi.
Les éléments vraiment grandioses sont :
- Will Farell avec la perruque blonde
- la scène de la danse
Ainsi, bon épisode, de légères évolutions mais rien de transcendant. Ça reste bon, pour moi la bonne surprise après la déception Dollhouse.
"You don't know what I've got either. (En parlant de maladies vénériennes.)"