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Note moyenne de cet épisode: 15.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 7
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15.0
15.0
Fear of the End
Une fin douce amère dans laquelle tous les fils rouges ne sont pas forcément repris de manière explicite (Ben et son Jinn, Lexis, la romance Ben/Kristen, etc) : cela reste assez ouvert.
On a même droit à une scène finale avec Timothy qui pourrait relancer de nouvelles intrigues, si tant est que quelqu'un reprenne le flambeau.
Sinon au cours de l'épisode, les amis du Vatican se font piéger et dézinguer, Leland tente le tout pour le tout, échoue et termine sous bonne garde grâce à Fenna et sœur Andrea, les 60 (enfin 59 si on enlève Leland) continuent leurs manipulations de l'esprit humain pour semer la discorde, etc.
Ce n'est donc pas une fin définitive comme pour signifier que le combat contre le mal n'est jamais fini et qu'il faut avancer, ce que les personnages font en ouvrant un nouveau chapitre de leurs vies (Ben qui palpe l'oseille dans une compagnie de la Big Tech, Kristen et David à Rome).
Je suis triste que le docteur Boggs, le père Ignatius, la prophétesse ou même Andy ne fassent pas de vraies apparitions. Le traitement de soeur Andrea n'est pas non plus des plus enviables.
Je sais qu'on aurait pu avoir mieux avec davantage de temps et d'épisodes mais cela reste une fin satisfaisante pour une série atypique, un ovni télévisuel comme on en croise trop peu de nos jours.
Evil est une des séries les plus surprenantes des ces 10 dernières années et ce générique, ces acteurs, ces personnages et ces frissons vont me manquer.
Une fin douce amère dans laquelle tous les fils rouges ne sont pas forcément repris de manière explicite (Ben et son Jinn, Lexis, la romance Ben/Kristen, etc) : cela reste assez ouvert.
On a même droit à une scène finale avec Timothy qui pourrait relancer de nouvelles intrigues, si tant est que quelqu'un reprenne le flambeau.
Sinon au cours de l'épisode, les amis du Vatican se font piéger et dézinguer, Leland tente le tout pour le tout, échoue et termine sous bonne garde grâce à Fenna et sœur Andrea, les 60 (enfin 59 si on enlève Leland) continuent leurs manipulations de l'esprit humain pour semer la discorde, etc.
Ce n'est donc pas une fin définitive comme pour signifier que le combat contre le mal n'est jamais fini et qu'il faut avancer, ce que les personnages font en ouvrant un nouveau chapitre de leurs vies (Ben qui palpe l'oseille dans une compagnie de la Big Tech, Kristen et David à Rome).
Je suis triste que le docteur Boggs, le père Ignatius, la prophétesse ou même Andy ne fassent pas de vraies apparitions. Le traitement de soeur Andrea n'est pas non plus des plus enviables.
Je sais qu'on aurait pu avoir mieux avec davantage de temps et d'épisodes mais cela reste une fin satisfaisante pour une série atypique, un ovni télévisuel comme on en croise trop peu de nos jours.
Evil est une des séries les plus surprenantes des ces 10 dernières années et ce générique, ces acteurs, ces personnages et ces frissons vont me manquer.
C'est, de l'avis général, une excellente série. Et même si elle est imparfaite par moments, c'est une oeuvre unique avec une ambiance rare.
J'essaierai de la regarder lors des prochaines vacances quand je peux rester plus de 10 minutes devant la télé sans m'endormir.