Sacré Francis
Il aura réussit à baiser tout le monde le Francis ! final de très grande qualité, à l'image de la série en général, même si le coup de la lettre est quand même un peu gros, et que le président Walker lui ré-accorde bien vite ses bonnes grâces à mon gout. C'est le seul petit bémol que j'ai trouvé. Sinon son combat contre le finalement pas si bon Raymond est gagné haut la main, et il accède au trône suprême adoubé de tous, remarquable.
Il faudra, dans les saisons suivantes, faire tout particulièrement attention à la fragilité naissante de Claire que l'on sent avoir de plus en plus de mal à suivre la vitesse d'exécution de son mari. Sera t'elle la cause de sa déchéance future? car pour moi déchéance il y aura, c'est obligatoire, et étant donné que je le vois mal se faire avoir par la petite Rachel et que je ne suis pas sur que Seth ou ce brave Meechum soient aptes à contrer toutes les balles qui vont viser Franck...ATTENTION
Quand à Doug, il tombe par là ou il pèche, et c'est une bonne leçon de vie. Après avoir travailler si dur durant toutes ses années, il ratera le jours le plus important de la vie de son mentor, la faute à un crane brisé. Quelle chienne de vie!
Pour finir, comment ne pas parler de cette somptueuse scène finale et de ces deux coups secs qu'Underwood cale sur le plus important bureau du monde? Cette fin s'apparente à du génie et nous laisse clairement entrevoir une saison trois magistrale, pas besoin de cliffhanger pour ça, nous en salivons déjà . A l'année prochaine Francky ;)
Il aura réussit à baiser tout le monde le Francis ! final de très grande qualité, à l'image de la série en général, même si le coup de la lettre est quand même un peu gros, et que le président Walker lui ré-accorde bien vite ses bonnes grâces à mon gout. C'est le seul petit bémol que j'ai trouvé. Sinon son combat contre le finalement pas si bon Raymond est gagné haut la main, et il accède au trône suprême adoubé de tous, remarquable.
Il faudra, dans les saisons suivantes, faire tout particulièrement attention à la fragilité naissante de Claire que l'on sent avoir de plus en plus de mal à suivre la vitesse d'exécution de son mari. Sera t'elle la cause de sa déchéance future? car pour moi déchéance il y aura, c'est obligatoire, et étant donné que je le vois mal se faire avoir par la petite Rachel et que je ne suis pas sur que Seth ou ce brave Meechum soient aptes à contrer toutes les balles qui vont viser Franck...ATTENTION
Quand à Doug, il tombe par là ou il pèche, et c'est une bonne leçon de vie. Après avoir travailler si dur durant toutes ses années, il ratera le jours le plus important de la vie de son mentor, la faute à un crane brisé. Quelle chienne de vie!
Pour finir, comment ne pas parler de cette somptueuse scène finale et de ces deux coups secs qu'Underwood cale sur le plus important bureau du monde? Cette fin s'apparente à du génie et nous laisse clairement entrevoir une saison trois magistrale, pas besoin de cliffhanger pour ça, nous en salivons déjà . A l'année prochaine Francky ;)
Francis is the new POTUS.
On y est, Francis est Président. Ca se dessinait et ça s'est finalement fait rapidement. Beaucoup de manigances dans ce final, des rebondissements dans l'intrigue. Francis réussit une dernière fois à berner le Pdt Walker avec sa lettre jouée au culot. Bien vu de sa part, il lui donne les moyens de le faire tomber pour sauver sa tête, la réaction de Walker était prévisible et Tusk l'a dans l'os, et il l'a bien compris. Ce qui permet à Francis d'accéder au Bureau Ovale avec la bénédiction de Walker, le couple m'a fait un peu pitié à Camp David face au couple Underwood, dans la manipulation la plus totale. La scène finale est magistrale, on accompagne Frank jusqu'au coeur du pouvoir, son coup de poing sur la table est plus efficace qu'un aparté face caméra, on attendra la S3 pour avoir la première en tant que Président.
Claire fragile le temps de quelques secondes, elle reste plus faible que Francis dans ce registre, elle est moins dure, plus sensible même si elle montre le contraire. Gare au contrecoup.
Le pauvre Doug...il sert Francis pendant 15 ans et se fait vulgairement tuer par une fille paumée dont il est amoureux le jour même où il devient Président. Seth va prendre le relais, seul homme de main de confiance d'Underwood. Rachel en électron libre peut poser quelques soucis, à voir ce qu'elle compte faire mais Francis est de plus en plus intouchable. Curieux de voir ce qu'on fera de Gavin dans la prochaine saison. La journaliste va aussi fouiner visiblement, elle a un profil différent des Lucas ou Zoe, pourquoi pas mais ça sera difficile d'atteindre Francis.
Une belle deuxième saison bien menée, on ne perd pas de temps et tant mieux, une autre saison avec Francis VP aurait pu être répétitive, on va avoir le droit à une nouvelle fonction et quelle fonction. Plus qu'à patienter.
On y est, Francis est Président. Ca se dessinait et ça s'est finalement fait rapidement. Beaucoup de manigances dans ce final, des rebondissements dans l'intrigue. Francis réussit une dernière fois à berner le Pdt Walker avec sa lettre jouée au culot. Bien vu de sa part, il lui donne les moyens de le faire tomber pour sauver sa tête, la réaction de Walker était prévisible et Tusk l'a dans l'os, et il l'a bien compris. Ce qui permet à Francis d'accéder au Bureau Ovale avec la bénédiction de Walker, le couple m'a fait un peu pitié à Camp David face au couple Underwood, dans la manipulation la plus totale. La scène finale est magistrale, on accompagne Frank jusqu'au coeur du pouvoir, son coup de poing sur la table est plus efficace qu'un aparté face caméra, on attendra la S3 pour avoir la première en tant que Président.
Claire fragile le temps de quelques secondes, elle reste plus faible que Francis dans ce registre, elle est moins dure, plus sensible même si elle montre le contraire. Gare au contrecoup.
Le pauvre Doug...il sert Francis pendant 15 ans et se fait vulgairement tuer par une fille paumée dont il est amoureux le jour même où il devient Président. Seth va prendre le relais, seul homme de main de confiance d'Underwood. Rachel en électron libre peut poser quelques soucis, à voir ce qu'elle compte faire mais Francis est de plus en plus intouchable. Curieux de voir ce qu'on fera de Gavin dans la prochaine saison. La journaliste va aussi fouiner visiblement, elle a un profil différent des Lucas ou Zoe, pourquoi pas mais ça sera difficile d'atteindre Francis.
Une belle deuxième saison bien menée, on ne perd pas de temps et tant mieux, une autre saison avec Francis VP aurait pu être répétitive, on va avoir le droit à une nouvelle fonction et quelle fonction. Plus qu'à patienter.
Haaan... L'enfoiré, il l'a fait. Et naturellement sans être élu par le peuple...
Bon c'est vrai qu'il l'a finement joué et que c'était loin d'être évident, il fallait bien réussir à marabouter tout son monde. Autant dire que je n'aimerais pas avoir Francis en face de moi aux échecs, même au Monopoly ou aux petits chevaux... Il y a quand même une superbe mécanique dans cette série qui tient du prodige.
L'enseignement évident qui a prévalu durant toute cette deuxième saison, c'est définitivement qu'avec des sentiments, point de salut. Il y aura la crise de larmes de Claire après la visite à sa dernière victime en date suivi du bourrage de mou totalement hypocrite à la première dame. Des larmes bien vite ravalées, parce que bien évidemment trop fatales pour permettre de rester sur les rails. Il y a la lettre de Francis, ultime démonstration de bluff culotté. Les Underwood auront tout mis en œuvre pour réussir leur déménagement vers les cimes du pouvoir.
Et les victimes sont les faibles. Les Walker, qui s'en sortent dans la dignité de façade mais pigeonnés jusqu'au trognon (Sometimes you have to sacrifice the one for the many - y compris le président en place de ton propre camp politique), Remy réduit littéralement à aller pointer à Pôle Emploi (pire même au près de son ex), Feng renvoyé au peloton d'exécution et Doug... Doug bordel qui se fait torcher comme un cave, le fail totalement prévisible de l'amoureux transit, lui l'implacable homme de l'ombre fracassé dans un sous bois comme un gland tombé d'un chêne. Il n'y a pas de place pour les tendres ou les héros fatigués, rien n'est pardonné dans House of Cards.
Bon évidemment ça nous laisse la super boulette puante toujours tapie dans l'ombre. La petite Rachel en vadrouille complètement hors de contrôle. Je serais plus optimiste pour Gavin qui a l'air d'avoir de l'ambition au-delà de sa vindicte contre le système. Mais ça reste très explosif tout ça.
Et heureusement. Parce qu'avec les Underwood à la tête des USA, ça ne va pas rigoler tous les jours et ça ne sera pas évident de les déboulonner du trône (il veut faire quoi après le Francis? Pape ?!). Mais pas de risques de répétitions du coup pour la troisième saison. La série va au bout de sa logique de démesure. Et c'est ce que j'attendais de sa part. Promesse tenue.
"Bom bom bom !! "
Bon c'est vrai qu'il l'a finement joué et que c'était loin d'être évident, il fallait bien réussir à marabouter tout son monde. Autant dire que je n'aimerais pas avoir Francis en face de moi aux échecs, même au Monopoly ou aux petits chevaux... Il y a quand même une superbe mécanique dans cette série qui tient du prodige.
L'enseignement évident qui a prévalu durant toute cette deuxième saison, c'est définitivement qu'avec des sentiments, point de salut. Il y aura la crise de larmes de Claire après la visite à sa dernière victime en date suivi du bourrage de mou totalement hypocrite à la première dame. Des larmes bien vite ravalées, parce que bien évidemment trop fatales pour permettre de rester sur les rails. Il y a la lettre de Francis, ultime démonstration de bluff culotté. Les Underwood auront tout mis en œuvre pour réussir leur déménagement vers les cimes du pouvoir.
Et les victimes sont les faibles. Les Walker, qui s'en sortent dans la dignité de façade mais pigeonnés jusqu'au trognon (Sometimes you have to sacrifice the one for the many - y compris le président en place de ton propre camp politique), Remy réduit littéralement à aller pointer à Pôle Emploi (pire même au près de son ex), Feng renvoyé au peloton d'exécution et Doug... Doug bordel qui se fait torcher comme un cave, le fail totalement prévisible de l'amoureux transit, lui l'implacable homme de l'ombre fracassé dans un sous bois comme un gland tombé d'un chêne. Il n'y a pas de place pour les tendres ou les héros fatigués, rien n'est pardonné dans House of Cards.
Bon évidemment ça nous laisse la super boulette puante toujours tapie dans l'ombre. La petite Rachel en vadrouille complètement hors de contrôle. Je serais plus optimiste pour Gavin qui a l'air d'avoir de l'ambition au-delà de sa vindicte contre le système. Mais ça reste très explosif tout ça.
Et heureusement. Parce qu'avec les Underwood à la tête des USA, ça ne va pas rigoler tous les jours et ça ne sera pas évident de les déboulonner du trône (il veut faire quoi après le Francis? Pape ?!). Mais pas de risques de répétitions du coup pour la troisième saison. La série va au bout de sa logique de démesure. Et c'est ce que j'attendais de sa part. Promesse tenue.
"Bom bom bom !! "
Je risque un parallèle gratuit avec The Shield - deux saisons de magouilles permettant aux pourris d'arriver au sommet de leur gloire ; la troisième devrait donc être celle de la chute, ou du moins de son début.
Par contre j'avoue que y a un truc que j'ai pas saisi cette saison... quelqu'un peut m'expliquer exactement les actes criminels qui ont été mis en jeu dans cette saison au point que le Président démissionne ?
J'ai bien compris les traitresses et manipulations politiques, mais là j'avoue que ça m'échappe.
Sinon petit goût amer pour l'affaire Zoe Barnes qui s'est éteint assez vite avec le pauvre Goodwin envoyé trop rapidement au cachot.