Hop la, un show enterré avec plusieurs coups de pelle sur la terre remuée pour empêcher le cadavre de ressortir du trou. Avec Madison Clark il faut toujours se méfier, elle aura encore échappé à la mort un bon paquet de fois dans cet ultime épisode (à chaque tentative je disais "ça y est !!!"), mais les showrunners tenaient vraiment à nous servir un happy end, donc tout est pardonné, maxi absolution totalement imméritée. Et peu importe si tout se goupille en absence totale de vraisemblance, de cohérence, on aura les retrouvailles Clark mère fille et presque petite fille qui finalement n'entre pas dans la filiation de l'infernale famille (j'ai adoré le "ah non mais je n'ai jamais été enceinte moi" de Alicia). Alicia bien évidemment ne rapplique qu'en toute fin, sans intervenir trop dans les débats, on a bien compris que l'actrice n'avait plus envie de trainer trop sur ce plateau de tournage.
Comme d'habitude, ça se boucle par un champ de ruines et une nouvelle migration, chacun se barrant de son côté (tant ils ne peuvent plus se subir). Là , comme pour la tour de Victor, je ne vois pas trop l'intérêt de repartir à zéro. Surtout que Padre était une base solide, un fort même. C'est d'ailleurs assez vaseux cette explication voulant que 2 pauvres gars parviennent à tout cramer avec seulement 2 lance grenades. C'est pas comme si le fort était en bois... C'est vrai aussi que Madison en rajoute en faisant tout exploser avec des bombonnes de gaz, mais ça n'était pas si destructif puisqu'elle même en sort indemne. Non les personnages de Fear sont simplement de monstrueux fouteurs de merde, qui bousillent toute tentative de reprise de civilisation au nom de leur égo mal placé et qui ne savent semer que désastre et désolation. En cela leurs aventures n'étaient quand même pas exaltantes.
Je sauverais le couple Dwight et Cherry qui se décident quand même à rebâtir sur les ruines du Sanctuary de Negan. J'ai cru que les scénaristes allaient nous infliger une nouvelle rupture. Et puis Daniel a réussi à rester égal à lui même. Mais il revient de loin, c'est à dire qu'il a quand même vaincu la mise en sénilité dont on l'avait affublé à une époque et qui aurait du être irréversible.
Il y aura eu à un moment donné une embellie dans ce show maudit, une prise de conscience que le bateau dérivait. Mais la mauvaise inspiration des débuts aura repris le dessus, comme si les sauveteurs avaient renoncé à poursuivre leur bonne action tant la tâche demandée (nombre de saisons) était pesante. La série se sera donc finie aussi mal qu'elle avait commencé.
Comme d'habitude, ça se boucle par un champ de ruines et une nouvelle migration, chacun se barrant de son côté (tant ils ne peuvent plus se subir). Là , comme pour la tour de Victor, je ne vois pas trop l'intérêt de repartir à zéro. Surtout que Padre était une base solide, un fort même. C'est d'ailleurs assez vaseux cette explication voulant que 2 pauvres gars parviennent à tout cramer avec seulement 2 lance grenades. C'est pas comme si le fort était en bois... C'est vrai aussi que Madison en rajoute en faisant tout exploser avec des bombonnes de gaz, mais ça n'était pas si destructif puisqu'elle même en sort indemne. Non les personnages de Fear sont simplement de monstrueux fouteurs de merde, qui bousillent toute tentative de reprise de civilisation au nom de leur égo mal placé et qui ne savent semer que désastre et désolation. En cela leurs aventures n'étaient quand même pas exaltantes.
Je sauverais le couple Dwight et Cherry qui se décident quand même à rebâtir sur les ruines du Sanctuary de Negan. J'ai cru que les scénaristes allaient nous infliger une nouvelle rupture. Et puis Daniel a réussi à rester égal à lui même. Mais il revient de loin, c'est à dire qu'il a quand même vaincu la mise en sénilité dont on l'avait affublé à une époque et qui aurait du être irréversible.
Il y aura eu à un moment donné une embellie dans ce show maudit, une prise de conscience que le bateau dérivait. Mais la mauvaise inspiration des débuts aura repris le dessus, comme si les sauveteurs avaient renoncé à poursuivre leur bonne action tant la tâche demandée (nombre de saisons) était pesante. La série se sera donc finie aussi mal qu'elle avait commencé.