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Encore du haut de gamme avec des segments parfaitement intriqués qui se font écho tout le long de l'épisode. Don fait un peu figure de maître du jeu, lui qui est dans l'indécision à un croisement de sa vie semble chercher au près de son entourage de quoi l'aiguiller. Et c'est plutôt vain, entre les paumés ou ceux qui calculent à trop court terme (Mathis) ou ceux qui répètent des erreurs déjà connues par Don (Peggy pour qui réussir sa vie se limite à piquer le job de Don, Ted l'étriqué qui ne fait pas rêver). On voit donc le Mad Man en pleine introspection sur son divan, comme Snoopy sur le toit de sa niche. Il connait son passé, son présent mais n'a aucune idée de quoi son avenir pourrait être fait. Tout semble se dérouler comme si son destin lui échappait, faute de moteur et ce n'est pas nouveau dans la série. La vente de son appart vide est parfaitement représentative de sa situation. Tout cela lui échappe, il ne reste que l'illusion des apparences (pour les petites copines de Sally).
Les autres protagonistes ne sont pas mieux lotis, en tout cas soumis aux mêmes écueils. Joan faillit laisser filer l'opportunité de refaire sa vie parce qu'elle se planque derrière la représentation que lui accorde sa position professionnelle. Il y a cette incapacité à faire face à l'autre avec ses seules qualités d'être humain. De même l'heureux élu Richard fonctionne dans un premier temps selon ses seules aspirations individualistes (égoïstes) qui le poussent à refuser toute contrainte imposée par l'autre. Les deux tourtereaux semblent prêts à des concessions, presque un miracle dans la série. Et encore, la concession mène souvent à la démission comme l'incarne Betty, toujours aussi frustrée en femme au foyer résignée qui aspire à l'aventure mais a peur de s'y perdre.
Le gros moment de "bravoure" reste la foirade de Mathi dénué de toute inspirations, qui plante une seconde fois son client en voulant se faire passer pour Don. La tête de Pete, c'était priceless...
Joan très en vue cette semaine et à raison. Christina Hendricks c'est quand même un atout qu'il ne faut pas négliger.
"What's next?"
Les autres protagonistes ne sont pas mieux lotis, en tout cas soumis aux mêmes écueils. Joan faillit laisser filer l'opportunité de refaire sa vie parce qu'elle se planque derrière la représentation que lui accorde sa position professionnelle. Il y a cette incapacité à faire face à l'autre avec ses seules qualités d'être humain. De même l'heureux élu Richard fonctionne dans un premier temps selon ses seules aspirations individualistes (égoïstes) qui le poussent à refuser toute contrainte imposée par l'autre. Les deux tourtereaux semblent prêts à des concessions, presque un miracle dans la série. Et encore, la concession mène souvent à la démission comme l'incarne Betty, toujours aussi frustrée en femme au foyer résignée qui aspire à l'aventure mais a peur de s'y perdre.
Le gros moment de "bravoure" reste la foirade de Mathi dénué de toute inspirations, qui plante une seconde fois son client en voulant se faire passer pour Don. La tête de Pete, c'était priceless...
Joan très en vue cette semaine et à raison. Christina Hendricks c'est quand même un atout qu'il ne faut pas négliger.
"What's next?"
Travis au secours...
Travis au secours...
Russel, ça te fait quoi ? Tu passes bien par cette page ?
Là je viens de retenter en notant depuis cette page et pareil rien ne s'intègre.
Là je viens de retenter en notant depuis cette page et pareil rien ne s'intègre.
Tu peux essayer de faire Ctrl+R pour actualiser cette page en vidant son cache, s'il te plait ?
Hum non, c'était moi qui testais. Tu peux reposter stp ?