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The Robot Revolution
Soyons gentils. Après tout, le retour du Docteur et d'une nouvelle compagne, c'est quand même pas si mal.
En plus, ce premier épisode semble tenter de corriger les errements de la saison précédente, sans toutefois balayer suffisamment large (j'y reviendrai).
Concernant l'intrigue, elle est, comme c'était à prévoir, plus que secondaire car il s'agit là (encore) d'un épisode de présentation, à la fois du lore (les deux cœurs, bigger on the inside, et tutti quanti) et du nouveau personnage, Belinda Chandra (en y repensant, difficile d'ailleurs de ne pas y voir une sorte de coïncidence avec la fin de l'épisode car c'est aussi le nom d'un télescope spatial, appelé ainsi à cause de Chandrasekhar, physicien connu pour ses travaux sur les pulsars et les étoiles en fin de vie).
Cette nouvelle compagne a un caractère plus affirmé que Ruby et n'hésite pas à remettre le docteur à sa place (le test ADN, you're dangerous, am I 6?). Difficile là aussi de ne pas y voir un mix entre certaines précédentes compagnes : un peu de Martha (milieu médical), un poil d'Amy (la date butoir cataclysmique), une pincée de Donna (la non-coopération initiale) et une bonne louche de Clara (l'impossible girl avec une timeline liée au docteur).
Donc au final, cela reste classique dans la conception. On a les gimmicks habituels avec des temporalités qui s'entrecroisent, des robots qui débloquent (l'idée des 8 mots sur 9 est sous exploitée), le petit robot insignifiant qui devient l'instrument de la résolution, le rappel à des thématiques bien terrestres (les incels, l'IA, la vente de titres de propriété dans l'espace).
Bref, c'est balisé mais c'est plaisant et emmené à bon rythme, avec quelques passages plus cools pour laisser le temps aux relations de se développer.
Ensuite, il reste encore du déchet : le coup éculé du nom camouflé (Al au lieu Ai), Russell T. Davies ne peut pas trop s'empêcher on dirait.
Le docteur qui pleure à chaque épisode va finir par devenir un meme internet.
La résolution n'a pas trop d'enjeu car comme dit précédemment l'intrigue est totalement reléguée au second plan derrière la nécessité d'embringuer la compagne dans de nouvelles aventures avec un cliffhanger de convenance.
Mrs Flood fait une apparition pour dire qu'elle est encore là mais c'est anecdotique.
Au final, ça vaut 14. Pas transcendant mais pas de quoi déverser des tombereaux de m***e comme j'ai pu le faire lors du dernier final.
Soyons gentils. Après tout, le retour du Docteur et d'une nouvelle compagne, c'est quand même pas si mal.
En plus, ce premier épisode semble tenter de corriger les errements de la saison précédente, sans toutefois balayer suffisamment large (j'y reviendrai).
Concernant l'intrigue, elle est, comme c'était à prévoir, plus que secondaire car il s'agit là (encore) d'un épisode de présentation, à la fois du lore (les deux cœurs, bigger on the inside, et tutti quanti) et du nouveau personnage, Belinda Chandra (en y repensant, difficile d'ailleurs de ne pas y voir une sorte de coïncidence avec la fin de l'épisode car c'est aussi le nom d'un télescope spatial, appelé ainsi à cause de Chandrasekhar, physicien connu pour ses travaux sur les pulsars et les étoiles en fin de vie).
Cette nouvelle compagne a un caractère plus affirmé que Ruby et n'hésite pas à remettre le docteur à sa place (le test ADN, you're dangerous, am I 6?). Difficile là aussi de ne pas y voir un mix entre certaines précédentes compagnes : un peu de Martha (milieu médical), un poil d'Amy (la date butoir cataclysmique), une pincée de Donna (la non-coopération initiale) et une bonne louche de Clara (l'impossible girl avec une timeline liée au docteur).
Donc au final, cela reste classique dans la conception. On a les gimmicks habituels avec des temporalités qui s'entrecroisent, des robots qui débloquent (l'idée des 8 mots sur 9 est sous exploitée), le petit robot insignifiant qui devient l'instrument de la résolution, le rappel à des thématiques bien terrestres (les incels, l'IA, la vente de titres de propriété dans l'espace).
Bref, c'est balisé mais c'est plaisant et emmené à bon rythme, avec quelques passages plus cools pour laisser le temps aux relations de se développer.
Ensuite, il reste encore du déchet : le coup éculé du nom camouflé (Al au lieu Ai), Russell T. Davies ne peut pas trop s'empêcher on dirait.
Le docteur qui pleure à chaque épisode va finir par devenir un meme internet.
La résolution n'a pas trop d'enjeu car comme dit précédemment l'intrigue est totalement reléguée au second plan derrière la nécessité d'embringuer la compagne dans de nouvelles aventures avec un cliffhanger de convenance.
Mrs Flood fait une apparition pour dire qu'elle est encore là mais c'est anecdotique.
Au final, ça vaut 14. Pas transcendant mais pas de quoi déverser des tombereaux de m***e comme j'ai pu le faire lors du dernier final.
Intéressant. Surtout que avant il y a l'épisode de Joy et l'étoile effectivement.
Serait-elle un avatar de Miss Flood´ Il parle aussi du Miss lorsqu'il la présente et elle n'aime pas ça (Missy?!!?)
J'espère que les mystères conduiront à de bonnes choses parceque j'ai toujours pas digéré le coup de la Maman de Ruby (A moins que son père soit le vrai mystère... du genre "le Maître est son Papa", nous verrons bien.
J'aime bien la Nouvelle compagne. Alors ok, le Doc chiale tout le temps maintenant. Trop sensible. Mais pour le coup, dans cet épisode c'était justifié.
Il a passé 6 mois avec cette femme et soudain, alors qu'elle était hyper confiante, elle meurt
J'ai pensé qu'elle allait y passer au moment où elle parle de confiance et du fait qu'elle soit prête à voyager avec lui, mais finalement ça arrive après.
Bon, rien à voir avec le lancement de Ruby. C'est hyper décalé et un bout débile, mais ça passe bien.
Vite, la suite
Pour ce qui est du Maître/Missy, je ne suis pas certain que RTD soit dans cette optique là quand on prend en compte l'absence des principaux antagonistes historiques depuis la nouvelle, nouvelle ère.
Et pour Mrs Flood, j'imagine plutôt une explication du côté du Panthéon de la Discorde mais rien n'est moins sûr.
J'espère juste qu'on reverra Anita de l'hôtel du temps. Ça serait cool.
Trop tôt pour me prononcer sur Belinda par rapport à Ruby, mais prions pour ce que l'on perd en eye-candy, on le gagnera avec un meilleur traitement du perso. Un épisode Doctor-Lite permettra de mieux jauger (même si celui de Ruby n'était pas si mal)
Et oui, cet épisode était loufoque mais passait bien. Et oui aussi, l'épisode final de la s14 était une purge à tous les niveaux, résolution généalogique comprise.