Ca avance doucement, mais ça avance surement. Encore un paquet d'indices, de petits incidents dans la routine du bureau ou dans la vie dehors. Déjà on nous dit ce qu'est le couloir glauque que peint Irving, the export hall. C'est donc une porte de sortie ou d'entrée. Ca ne nous explique pas ce que fabriquent ces nouilles de Lumon et c'est toujours aussi compliqué à définir entre les élevages de chèvres, les tableaux ou les parties infinies de Candy Crush.
Bonne exposition de l'ensemble des protagonistes. Bien aimé l'expérience effectuée sur Dylan avec la rencontre de l'inter avec son épouse outer. C'était assez curieux et en même temps ça renvoie à notre réalité. Qui n'a pas croisé un proche dans le cadre de son emploi avec la curieuse sensation que ce n'était plus tout à fait la même personne, qu'il est en train de jouer un rôle?
Les non severed tendent de plus en plus à montrer des failles dans leur allégeance à Lumon. Cobel, ce n'est pas nouveau, mais Milchick c'est inhabituel. Les peintures semblent l'avoir fait tilter.
Gwendoline Christie était parfaite dans sa séquence, sa taille gigantesque renforçait idéalement le côté surréaliste de la prairie confinée.
La grosse sensation reste le cliff avec le retour (attendu pour ma part) de Reghabi qui est supposé être un personnage clé compte tenu de ses compétences. J'ai été surpris que Mark se lance aussi rapidement dans la réintégration, surtout après la déconvenue Petey. Il croit sur parole Reghabi que sa technique est plus au point alors qu'il ne la connait pas plus que ça. Mais comme il s'agit de tenter de retrouver sa femme disparue, c'est néanmoins compréhensible...
Bonne exposition de l'ensemble des protagonistes. Bien aimé l'expérience effectuée sur Dylan avec la rencontre de l'inter avec son épouse outer. C'était assez curieux et en même temps ça renvoie à notre réalité. Qui n'a pas croisé un proche dans le cadre de son emploi avec la curieuse sensation que ce n'était plus tout à fait la même personne, qu'il est en train de jouer un rôle?
Les non severed tendent de plus en plus à montrer des failles dans leur allégeance à Lumon. Cobel, ce n'est pas nouveau, mais Milchick c'est inhabituel. Les peintures semblent l'avoir fait tilter.
Gwendoline Christie était parfaite dans sa séquence, sa taille gigantesque renforçait idéalement le côté surréaliste de la prairie confinée.
La grosse sensation reste le cliff avec le retour (attendu pour ma part) de Reghabi qui est supposé être un personnage clé compte tenu de ses compétences. J'ai été surpris que Mark se lance aussi rapidement dans la réintégration, surtout après la déconvenue Petey. Il croit sur parole Reghabi que sa technique est plus au point alors qu'il ne la connait pas plus que ça. Mais comme il s'agit de tenter de retrouver sa femme disparue, c'est néanmoins compréhensible...