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Note moyenne de cet épisode: 17.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 1
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lukahood 
17.0
17.0
Une saison 3 remarquable pour Hacks. Pourtant on croyait en avoir fait le tour. Que raconter de plus dans les relations entre Déborah et Ava ? Déborah n'a plus besoin de Ava et les deux vivent leur carrière chacune de son côté. Ava bosse comme scénariste un peu anonyme et tente de vivre une vie normale en couple avec sa compagne. Mais les souvenirs de Déborah sont envahissants et sa compagne n'en peux plus. Bien sûr Ava va se débrouiller pour rencontrer Déborah et vider son sac car elle n'a pas supporté d'être larguée professionnellement parlant. Cela tombe bien Déborah veut absolument obtenir la place convoitée de présentatrice du célèbre "Late show", elle va essorer son équipe pour tenter de parvenir à ses fins. Entre Ava et Déborah les relations sont étranges. On ne sait pas trop si Déborah est un être autoritaire, esclavagiste et calculateur, Ava pourrait être la victime, mais comme toute victime elle semble avoir un besoin inexplicable d'être une sorte de sangsue attachée à un être qui l'éclabousse de son aura, qui la nourrit de sa notoriété.
Jean Smart est toujours aussi démentielle. Diva égoïste à la Mariah Carey, mais une résilience phénoménale. Parfois elle se montre telle qu'elle est, une vieille femme qui a peur de la mort, de la maladie, de la vieillesse, d'être has been.... Hannah Einbinder joue Ava la victime qui peut se révéler tout aussi insipide à ses heures et finalement arriviste capable de défendre son steak. La saison finit sur la grande question : Ava et Déborah vont elles encore pouvoir se saquer ? Pas si sûr.
Quelques bons moments assez drôles, Ava qui croit que sa compagne veut se marier avec elle, Déborah à une soirée poker lavement baryté pour coloscopie, Helen Hunt très marrante avec ses parties de tennis et notre couple sympa d'agents avec une qui est sans doute plus maligne qu'on le croit.
La série est très woke mais c'est très fin, souvent drôle et Jean Smart emporte tout sur son passage.
Jean Smart est toujours aussi démentielle. Diva égoïste à la Mariah Carey, mais une résilience phénoménale. Parfois elle se montre telle qu'elle est, une vieille femme qui a peur de la mort, de la maladie, de la vieillesse, d'être has been.... Hannah Einbinder joue Ava la victime qui peut se révéler tout aussi insipide à ses heures et finalement arriviste capable de défendre son steak. La saison finit sur la grande question : Ava et Déborah vont elles encore pouvoir se saquer ? Pas si sûr.
Quelques bons moments assez drôles, Ava qui croit que sa compagne veut se marier avec elle, Déborah à une soirée poker lavement baryté pour coloscopie, Helen Hunt très marrante avec ses parties de tennis et notre couple sympa d'agents avec une qui est sans doute plus maligne qu'on le croit.
La série est très woke mais c'est très fin, souvent drôle et Jean Smart emporte tout sur son passage.
Hacks meilleure série aux Golden Globe dans la catégorie comédie c'est tellement mérité
