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Note moyenne de cet épisode: 17.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 3
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russel 
17.0
17.0
Encore un très bon épisode qui bénéficie d'une accélération narrative liée à l'urgence de la situation, soit le lynchage de Cooper. Bon je trouve que Manuel et ses copains ont été quand même super cons de s'en prendre au fils du boss sans réfléchir aux conséquences, même en considérant que leur QI ne soit pas très élevé et que seule la testostérone parle. On peut l'expliquer par un choc culturel de gars pas intégrés dans les habitudes locales. Tommy évoque un ensauvagement de la région (qui s'était interrompue en 2016 soit à l'élection de Trump). Alors peut-être... On a vu que les cartels se contrefoutent des lois, les agresseurs sont tatoués, donc possiblement un peu dans les mêmes dispositions... Mais au bout du compte ça reste quand même nigaud, les gars attendent en plus les représailles prévisibles et sont limites étonnés.
La rencontre entre Tommy et Monty fut du coup écourtée. Ca m'a fait marrer que Monty colle la responsabilité du financement de la transition écologique sur le dos de la Russie et de l'Arabie Saoudite (et pas de la Chine?). C'est quand même un peu hypocrite. Ca reviendrait à dire que l'Europe à fond dans la décarbonation effrénée n'est pas sous influence stricto américaine? Un peu frustré que l'entretien soit écourté néanmoins, bien la peine de faire toute cette distance pour le meeting. Ca n'a pas permis encore une fois à Demi Moore de jouer une scène consistante même si elle s'applique en parfaite maitresse de maison très avenante et prévenente. Un truc qui m'interpelle, c'est le luxe ostentatoire des barraques. Que ce soit le futur ex à Angela ou chez Monty, ça vit dans la piscine façon penthouse, ça bouquine rarement. C'était déjà le cas pour le cowboy Sheridan dans le dernier épisode de Yellowstone. Le monde est en surchauffe, mais pas question de renoncer à l'insouciance consumériste, il faut se détacher du réel à tout prix. Comme si c'était toxique.
Et c'est bien évidemment le moteur d'Angela, créature hautement superficielle, qui nous offre un divorce éclair assez poilant. Elle a récupéré sa Bentley, le monde peut s'écrouler. Il est toujours aussi compliqué de comprendre pour quelle raison Tommy et Angela se remettent ensemble, si ce n'est pour le cul. Ils n'ont tellement rien à voir. Mais d'une certaine façon ils symbolisent cette Amérique ici représentée dans ses excès, mais qui tente de rester fédérée au delà de ses divergences profondes...
La rencontre entre Tommy et Monty fut du coup écourtée. Ca m'a fait marrer que Monty colle la responsabilité du financement de la transition écologique sur le dos de la Russie et de l'Arabie Saoudite (et pas de la Chine?). C'est quand même un peu hypocrite. Ca reviendrait à dire que l'Europe à fond dans la décarbonation effrénée n'est pas sous influence stricto américaine? Un peu frustré que l'entretien soit écourté néanmoins, bien la peine de faire toute cette distance pour le meeting. Ca n'a pas permis encore une fois à Demi Moore de jouer une scène consistante même si elle s'applique en parfaite maitresse de maison très avenante et prévenente. Un truc qui m'interpelle, c'est le luxe ostentatoire des barraques. Que ce soit le futur ex à Angela ou chez Monty, ça vit dans la piscine façon penthouse, ça bouquine rarement. C'était déjà le cas pour le cowboy Sheridan dans le dernier épisode de Yellowstone. Le monde est en surchauffe, mais pas question de renoncer à l'insouciance consumériste, il faut se détacher du réel à tout prix. Comme si c'était toxique.
Et c'est bien évidemment le moteur d'Angela, créature hautement superficielle, qui nous offre un divorce éclair assez poilant. Elle a récupéré sa Bentley, le monde peut s'écrouler. Il est toujours aussi compliqué de comprendre pour quelle raison Tommy et Angela se remettent ensemble, si ce n'est pour le cul. Ils n'ont tellement rien à voir. Mais d'une certaine façon ils symbolisent cette Amérique ici représentée dans ses excès, mais qui tente de rester fédérée au delà de ses divergences profondes...
