Je n'ai pas compris pourquoi ce film. Je n'ai pas été non plus surpris vu que les échos n'étaient pas bons. Mais je ne pensais pas que ça allait être aussi chiant. En tout cas ça m'a pris du temps pour me coller devant.
En fait ce film peut se réduire à une sorte d'épilogue du premier que j'avais bien aimé en son temps. Un épilogue qui aurait pu figurer un genre de bonus de luxe sur un Bluray. De là à en faire un film de plus de 2 heures, là ce n'est pas possible. Car l'histoire de cette Folie à deux se résume à un vaste renoncement. Le Joker n'existe pas et n'existera pas. C'est pourtant ce que tout le monde attendait, on nous vendait même la paire avec Harley Quinn. Sauf que Tod Philipps ne souhaite pas nous vendre ça et du coup nous arnaque. Il meuble comme il peut avec de la chanson, au moins il rentabilise la présence de Lady Gaga. D'une certaine façon c'est pousser le réalisme jusqu'au bout. Dans ce Gotham, il ne doit même pas y avoir la place pour un Batman. C'est juste un univers profondément normal et chiant duquel Arthur Fleck n'est pas parvenu à s'extraire (à la Brazil). The End
Merci Tod Phillips. Quelle audace, quel divertissement... Décidément c'est le gars qui ne sait pas s'arrêter à temps (The Hangover)
En fait ce film peut se réduire à une sorte d'épilogue du premier que j'avais bien aimé en son temps. Un épilogue qui aurait pu figurer un genre de bonus de luxe sur un Bluray. De là à en faire un film de plus de 2 heures, là ce n'est pas possible. Car l'histoire de cette Folie à deux se résume à un vaste renoncement. Le Joker n'existe pas et n'existera pas. C'est pourtant ce que tout le monde attendait, on nous vendait même la paire avec Harley Quinn. Sauf que Tod Philipps ne souhaite pas nous vendre ça et du coup nous arnaque. Il meuble comme il peut avec de la chanson, au moins il rentabilise la présence de Lady Gaga. D'une certaine façon c'est pousser le réalisme jusqu'au bout. Dans ce Gotham, il ne doit même pas y avoir la place pour un Batman. C'est juste un univers profondément normal et chiant duquel Arthur Fleck n'est pas parvenu à s'extraire (à la Brazil). The End
Merci Tod Phillips. Quelle audace, quel divertissement... Décidément c'est le gars qui ne sait pas s'arrêter à temps (The Hangover)