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Note moyenne de cet épisode: 8.5 / 20 (2)
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russel 
9.0
9.0
Encore un film catastrophe français catastrophique effectivement du même réalisateur que La Nuée (qui était déjà passablement raté). A la base il y en a un peu plein le dos du nombre de films consacrés à la fin du monde, mais quand en plus c'est torché n'importe comment...
Je crois que le truc qui m'a le plus énervé dans le film, c'est le fait qu'il y ait des pluies acides qui rongent tout, les gens et les barraques, mais que les arbres conservent leurs feuilles sur leurs branches et que les prairies sont toujours plein d'herbe verte. Idem les bagnoles avec les pneus qui ne pètent pas alors que la carrosserie rouille...
Bref du boulot de bricolo, on n'arrive jamais à prendre les genres au sérieux chez nous...
Je crois que le truc qui m'a le plus énervé dans le film, c'est le fait qu'il y ait des pluies acides qui rongent tout, les gens et les barraques, mais que les arbres conservent leurs feuilles sur leurs branches et que les prairies sont toujours plein d'herbe verte. Idem les bagnoles avec les pneus qui ne pètent pas alors que la carrosserie rouille...
Bref du boulot de bricolo, on n'arrive jamais à prendre les genres au sérieux chez nous...
shingo33
8.0
8.0
J'attendais avec un peu d'impatience de voir ce film catastrophe français, qui me faisait penser au film la Brume de 2018, que j'avais trouvé intéressant. Le réalisateur était d'ailleurs le même que le film catastrophe la Nuée, dont j'avais entendu beaucoup de bien.
On suit donc l'itinéraire d'une famille divorcée au moment où des pluies acides s'abattent sur le monde, et notamment en France. Dans cette famille, le père (Guillaume canet) est un syndicaliste qui lutte contre des plans sociaux dans une usine et qui a coupé en grande partie les ponts avec sa fille, qui vit donc avec sa mère. Au moment où les pluies arrivent, les 3 protagonistes se retrouvent et tentent de fuir les pluies acides.
Le scénario ressemble à ce qu'on connaît déjà , mais je m'attendais à voir une vision différente de celle des américains, à l'image du film de la Brume.
Le démarrage est plutôt efficace au moment où les premières pluies commencent à tomber et qu'il faut retrouver leur fille. On est pris dans le rythme et la situation est plutôt convainquante.
Malheureusement, après les 20-30 premières minutes, le film fait une sortie de route, les situations improbables s'enchaînent, les acteurs ne sont pas du tout convainquants (la fille est insupportable), ...et le final est sans goût.
En fait quand on regarde un film comme ça, on a envie que les protagonistes s'en sortent et survivent. Ici on a juste envie qu'ils y passent tous ! Du coup, même le final ne nous donne pas satisfaction ^^
Je me sens obligé de partager ici certaines des invraisemblances grotesques du film :
- les pluies sont si acides que la peau se désagrège en quelques minutes, de meme que le plastique, mais les végétaux sont épargnés par les effets corrosifs de l'acide... si c'était si simple, il suffit donc de vivre dans une maison en bois couverte de fougères pour s'abriter !
J'aurais tellement préféré qu'ils jouent le jeu à fond et qu'on se retrouve dans une situation réellement apocalyptique... mais le budget devait être trop serré.
- la scène de la traversée du pont, où l'eau de la rivière s'est transformée en véritable marmite d'acide après une pluie... Cette scène fut la goutte d'eau de trop.
- les pneus qui parfois fondent, parfois restent intacts...
- la scène nocturne dans le champ...
Et dans tout ce fiasco, on retiendra 2 mots, les hurlements du père ("Salmaaaa") et de la fille ("Papaaaa") à chaque fois qu'ils se perdent de vue après une énième embrouille.
En résumé : NUL.
On suit donc l'itinéraire d'une famille divorcée au moment où des pluies acides s'abattent sur le monde, et notamment en France. Dans cette famille, le père (Guillaume canet) est un syndicaliste qui lutte contre des plans sociaux dans une usine et qui a coupé en grande partie les ponts avec sa fille, qui vit donc avec sa mère. Au moment où les pluies arrivent, les 3 protagonistes se retrouvent et tentent de fuir les pluies acides.
Le scénario ressemble à ce qu'on connaît déjà , mais je m'attendais à voir une vision différente de celle des américains, à l'image du film de la Brume.
Le démarrage est plutôt efficace au moment où les premières pluies commencent à tomber et qu'il faut retrouver leur fille. On est pris dans le rythme et la situation est plutôt convainquante.
Malheureusement, après les 20-30 premières minutes, le film fait une sortie de route, les situations improbables s'enchaînent, les acteurs ne sont pas du tout convainquants (la fille est insupportable), ...et le final est sans goût.
En fait quand on regarde un film comme ça, on a envie que les protagonistes s'en sortent et survivent. Ici on a juste envie qu'ils y passent tous ! Du coup, même le final ne nous donne pas satisfaction ^^
Je me sens obligé de partager ici certaines des invraisemblances grotesques du film :
- les pluies sont si acides que la peau se désagrège en quelques minutes, de meme que le plastique, mais les végétaux sont épargnés par les effets corrosifs de l'acide... si c'était si simple, il suffit donc de vivre dans une maison en bois couverte de fougères pour s'abriter !
J'aurais tellement préféré qu'ils jouent le jeu à fond et qu'on se retrouve dans une situation réellement apocalyptique... mais le budget devait être trop serré.
- la scène de la traversée du pont, où l'eau de la rivière s'est transformée en véritable marmite d'acide après une pluie... Cette scène fut la goutte d'eau de trop.
- les pneus qui parfois fondent, parfois restent intacts...
- la scène nocturne dans le champ...
Et dans tout ce fiasco, on retiendra 2 mots, les hurlements du père ("Salmaaaa") et de la fille ("Papaaaa") à chaque fois qu'ils se perdent de vue après une énième embrouille.
En résumé : NUL.
La file est d'un casse-couille a crier tout le temps, t'as vraiment envie qu'elle meurt le plus vite possible (ce qui n'arrive pas).
J'avoue avoir été surpris à la lecture de ta critique qui faisait apparaître exactement les mêmes aberrations que moi ^^
Comme quoi, oui, on nous prend vraiment pour des buses ! Lol