Normalement avec le temps qui passe on prend de l'expérience et on met en application ce qu'on a appris au cours de ces années, et bien Zack c'est l'inverse : il stagne et ressort toujours la même chose..
Ca faisait des mois qu'on nous vendait déjà le nouveau SW version Netflix et la hype avait fini par s'installer un peu malgré les premières BA franchement pas ouf.. Et bien quelle déception ! Cast caricatural, héroïne qui manque de charisme (même si elle s'en tire bien dans les scènes d'action), scénario qui tient sur un post-it, réal et mise en scène tellement vues et revues chez Zack, FX très aléatoires, on est a des années lumières de toute forme de narration d'une épopée qui lassera sa place dans l'histoire.
Le développement des personnages est creux. Ils ont tous un seul trait de caractère et on ne s'attache à personne. J'avais 1000 fois plus de peine pour le robot qui se fait tirer dessus gratuitement que pour la bande de rebelles.. Le méchant SS a un potentiel de dingue mais très vite on le sent bridé par un scénario trop petit. Charlie Hunnam je n'en parle même pas. Avoir un tel acteur dans son cast et lui proposer si peu à jouer, quel gâchis, à l'image de ce film.
Une nouvelle fois il va falloir attendre la version ZS Cut pour se faire un avis définitif. D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi Netflix ne l'a pas sorti directement. En tout cas je ne suis aucunement pressé de voir la suite de ce premier volet.
Ca faisait des mois qu'on nous vendait déjà le nouveau SW version Netflix et la hype avait fini par s'installer un peu malgré les premières BA franchement pas ouf.. Et bien quelle déception ! Cast caricatural, héroïne qui manque de charisme (même si elle s'en tire bien dans les scènes d'action), scénario qui tient sur un post-it, réal et mise en scène tellement vues et revues chez Zack, FX très aléatoires, on est a des années lumières de toute forme de narration d'une épopée qui lassera sa place dans l'histoire.
Le développement des personnages est creux. Ils ont tous un seul trait de caractère et on ne s'attache à personne. J'avais 1000 fois plus de peine pour le robot qui se fait tirer dessus gratuitement que pour la bande de rebelles.. Le méchant SS a un potentiel de dingue mais très vite on le sent bridé par un scénario trop petit. Charlie Hunnam je n'en parle même pas. Avoir un tel acteur dans son cast et lui proposer si peu à jouer, quel gâchis, à l'image de ce film.
Une nouvelle fois il va falloir attendre la version ZS Cut pour se faire un avis définitif. D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi Netflix ne l'a pas sorti directement. En tout cas je ne suis aucunement pressé de voir la suite de ce premier volet.
Sans grande surprise, Netflix échoue à s'offrir son Star Wars personnel en faisant appel au besogneux Zack Snyder. L'intention était probablement bonne, à savoir proposer un récit original. Hélas Snyder étant tout sauf un auteur, il se voit une fois de plus incapable de rédiger un scénario potable et mature. Ainsi ce Rebel Moon n'est qu'une compile hasardeuse de tout ce qui a trainé dans la vidéothèque du fanboy, le tout moulé par l'impitoyable cahier de charge woke du producteur diffuseur. Ne chercher aucune sorte d'ambition dans la transmission d'émotion ou de revendication. Snyder recycle en gros le fameux modèle du 7 Samouraïs ou Mercenaires ou peu importe et n'a vraiment rien à y apporter. Pire on sacrifie à la nouvelle mode consistant à diviser du rien en plusieurs morceaux, pour faire croire qu'il y a de la quantité dans l'offre. Dans ce premier chapitre, on se contentera en gros de faire du recrutement en espérant qu'on soit excité pour suivre les protagonistes dans la suite des opérations. Sauf que les personnages sont tellement archétypaux que ça tire plus sur la punition. Méchants ou gentils, ils n'ont suscité chez moi qu'une indifférence absolue. Et pourtant je ne déteste pas Sofia Boutella en action girl habituellement, mais son personnage n'a aucune aspérité crédible. Les autres ressemblent à des skins de jeux vidéo. C'est tellement du fourre tout, parfois on se dit "ah tiens, ça fait Warhammer, ah on dirait du Overwatch..."
On pousse la logique du racialisme progressiste jusqu'à sa limite ultime. Les blancs sont systématiquement soit des nazis irrécupérables, soit des lâches bons à rien, soit des traitres. Dans le régiment présent à l'ouverture, on a un asiatique paumé dans son escouade d'aryens et bien évidemment c'est le seul à se révéler moralement fréquentable. Charlie Hunnam semble devoir nuancer un peu tout cela à un moment donné et en fait non, hors de question de contourner le code. Limite ça me fait rigoler à la longue, mais ça devient quand même problématique dans le principe. On a un robot assez chouette au début et à la fin, mais visiblement on n'a prévu de s'en servir que dans l'épisode 2. Pas de quoi créer une attente non plus.
La réalisation de Snyder est particulièrement énervante. Il s'autocite et répète ce qu'il a déjà fait sur 300, Sucker Punch, un peu comme si c'était des trouvailles qui apportaient une plus value immense alors qu'en fait pas du tout. Ses séquences de baston avec ralentis ou gel d'image, ça m'a insupporté à force de répétition systématique. Quel manque d'inspiration tout de même, ce mec est un fumiste. Le film ne trouve pas d'ampleur, les plans font terriblement composite, avec des acteurs qui semblent installés sur une scène de théâtre. Même si le film est raté, j'ai préféré la récente proposition SF de Gareth Edwards sur The Creator qui demeurait plus tangible dans la cohésion de son système de représentation.
Et il va donc falloir y revenir pour 120 minutes supplémentaires afin de vérifier si les gentils bottent bien le cul des méchants. Ils auraient au moins pu nous installer une sorte de suspense pour nous faire douter, nous lâcher avec des héros en sérieuses difficultés. Mais non, même pas, le camp du bien remporte déjà la première manche, on n'a pas envie de contrarier l'abonné avec des détours trop compliqués. Il faut réclamer à Netflix une baisse du prix de l'abonnement. Ce sont des bons à rien, il se foutent du client.
On pousse la logique du racialisme progressiste jusqu'à sa limite ultime. Les blancs sont systématiquement soit des nazis irrécupérables, soit des lâches bons à rien, soit des traitres. Dans le régiment présent à l'ouverture, on a un asiatique paumé dans son escouade d'aryens et bien évidemment c'est le seul à se révéler moralement fréquentable. Charlie Hunnam semble devoir nuancer un peu tout cela à un moment donné et en fait non, hors de question de contourner le code. Limite ça me fait rigoler à la longue, mais ça devient quand même problématique dans le principe. On a un robot assez chouette au début et à la fin, mais visiblement on n'a prévu de s'en servir que dans l'épisode 2. Pas de quoi créer une attente non plus.
La réalisation de Snyder est particulièrement énervante. Il s'autocite et répète ce qu'il a déjà fait sur 300, Sucker Punch, un peu comme si c'était des trouvailles qui apportaient une plus value immense alors qu'en fait pas du tout. Ses séquences de baston avec ralentis ou gel d'image, ça m'a insupporté à force de répétition systématique. Quel manque d'inspiration tout de même, ce mec est un fumiste. Le film ne trouve pas d'ampleur, les plans font terriblement composite, avec des acteurs qui semblent installés sur une scène de théâtre. Même si le film est raté, j'ai préféré la récente proposition SF de Gareth Edwards sur The Creator qui demeurait plus tangible dans la cohésion de son système de représentation.
Et il va donc falloir y revenir pour 120 minutes supplémentaires afin de vérifier si les gentils bottent bien le cul des méchants. Ils auraient au moins pu nous installer une sorte de suspense pour nous faire douter, nous lâcher avec des héros en sérieuses difficultés. Mais non, même pas, le camp du bien remporte déjà la première manche, on n'a pas envie de contrarier l'abonné avec des détours trop compliqués. Il faut réclamer à Netflix une baisse du prix de l'abonnement. Ce sont des bons à rien, il se foutent du client.
Face aux critiques, snyder a déjà annoncé le director's cut, non censurée, et assure que ce sera un film totalement différent!
Alors celle là elle est très bonne.
Et surtout c est ennuyant. Ça manque de rythme, après compliqué de faire mieux avec l histoire proposé.
Les acteurs font avec ce qu on peut leur donner et c est dommage car Sofia , Charlie et autres le font.
Je n arrive pas à comprendre que ça soit financé.
Je ne sais pas combien ce film a pu coûter mais c est trop cher.
Après ça me fatigue aussi que le directeur puisse dire que son director s cut sera complètement différent et sera sa version . En quoi Netflix aurait eu un intérêt à brider un film qu il commande , il n a pas les conditions d une exploitation en salle et ensuite d une diffusion en prime Time sur une chaîne de télé, donc pourquoi édulcorer ou demander un montage chiant?
De toute manière comme pour justice League, un director s cut d un film dont l histoire est nulle ne va pas spécialement changer la donne. Au lieu d être nul, ça sera un peu moins nul, c est tout. Justice League avec tous les director s cut possible, ça n allait pas pouvoir changer le faite que ça parlait de boîte magique.
Grosse déception que peut être ce rebel Moon, pas parce que je suis fan de Snyder , mais parce qu un film de SF Space opéra, j aurais été preneur.
Je me demande quelle scénario de ce film a pu être proposé à lucas pour stars wars, si c est cette version , cela explique le refus.
Dans la catégorie star wars de Netflix ça vaut une petit 6,dans la catégorie film de Netflix ça vaut un 10 voire un 11..
J'ai l'impression qu'il y avait la volonté de sortir un grand film à la croisée de d'une et de star wars.... En réalité les personnages sont très mal incarnés, en particulier le personnage principal, je n'ai jamais adhéré à son interprétation, pas crédible mais on sent qu'il y avait la volonté de créer une héroïne charismatique
Les scènes de paysages sensées être grandiose sont assez moches en fait, les combats sur joués et vraiment irréalistes à l'extrême. Le méchant est vraiment méchant et sadique mais bon, il manque quelque chose.
Je dirai que ce qui caractérise ce film, c'est le manque. À chaque étape j'ai eu l'impression qu'il manque quelque chose, ça donne une sensation globale de projet mal fini.