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Voici un épisode très plaisant à suivre
Russel a tout décrit avec brio
Il y a un air de déjà vu, mais appliqué à l'univers de la famille Addams ça fonctionne très bien.
Le fait que wednesday soit hors du milieu familial évite des redite qui perdrait le public, mais la présence de la chose permet de conserver l'univers Addams tout en apportant un vrai plus humoristique
Il me tarde de voir la suite
Russel a tout décrit avec brio
Il y a un air de déjà vu, mais appliqué à l'univers de la famille Addams ça fonctionne très bien.
Le fait que wednesday soit hors du milieu familial évite des redite qui perdrait le public, mais la présence de la chose permet de conserver l'univers Addams tout en apportant un vrai plus humoristique
Il me tarde de voir la suite
J'y suis allé avant tout en souvenir de mon affection d'antan pour l'œuvre de Tim Burton, qui s'est émoussée ces derniers temps, dont un Dumbo sans intérêt et sans âme. A voir donc si Netflix inspire plus le petit génie que Disney, sachant que la perspective de nous réchauffer la famille Addams, déjà rénovée par Sonnenfeld, ça n'était pas une motivation majeure. Surtout après visionnage du pauvre revival de The Monsters par Rob Zombie qui était un fiasco.
Mais rapidement j'ai été rapidement conquis par les options retenues sur cette série Wednesday. Le principal mérite revient au personnage titre. C'est une bonne idée de ne pas avoir cherché à étaler un peu plus la confiture familiale mais de focaliser l'angle d'attaque sur un seul membre de la tribu. Et ça ne se limite pas simplement à chercher la formule reboot par un rajeunissement, le principe se tient et est bien alimenté. Et puis il ne s'agit pas de renier l'ensemble des Addams qui sont tous bien présents, mais simplement mis en retrait. La démarche est d'autant plus astucieuse qu'avec le cadre de l'école, on se retrouve dans un univers qui évoque Harry Potter, autant dire que c'est forcément séduisant pour un large public sans que ça ne puisse se résumer à un simple calcul marketing. Car il y a un vrai récit engageant derrière et ce pilote à lui seul démontre une belle volonté de rythmer sa narration. C'est créatif, c'est soigné et ça se permet même des petites fulgurances dans le développement. Je pense notamment à la séquence Paint It Black qui permet d'accélérer l'exposition de l'ensemble des protagonistes pendant que Wednesday joue les Stones sur violoncelle.
Je n'aurais que des louanges sur le casting de première classe. Jenna Ortega est idéale pour remplacer Ricci en Wednesday. C'est vrai qu'elle est habituée du cinéma horrifique (X, le dernier Scream en date), là ça va la faire connaître d'un public plus large. Marrant de voir Christina Ricci ne pas être négligée pour autant en endossant un autre rôle. La famille Addams a tendance à se latiniser un peu plus. On avait déjà Raul Julia en Gomez dans la version ciné, ici remplacé par le prolifique Luis Guzmán. Ce qui n'empêche d'avoir la galloise Caterine Zeta-Jones en Morticia et ça c'est quand même la cerise sur le gâteau. Elle est idéale pour le rôle, c'est une actrice qui a un potentiel énorme et qui n'a certainement pas fait la carrière qu'elle aurait mérité. En ajoutant Brienne of Tarth (désolé je n'en décroche pas) en proviseure de l'établissement scolaire, n'en jetez plus, la cour est pleine, je suis conquis.
On nous laisse au terme du pilote avec un paquet d'amorces (la malédiction des visions, le passé de Gomez…) qui devraient suffire à offrir une première saison sans chutes d'intérêt prévisibles. Je ne pense pas que la qualité devrait s'amoindrir non plus, sachant que Burton a réalisé la première moitié des épisodes, ça montre une certaine implication sur l'ensemble. Il y a quand même pas mal d'indices pointant que c'est une bonne pioche…
Mais rapidement j'ai été rapidement conquis par les options retenues sur cette série Wednesday. Le principal mérite revient au personnage titre. C'est une bonne idée de ne pas avoir cherché à étaler un peu plus la confiture familiale mais de focaliser l'angle d'attaque sur un seul membre de la tribu. Et ça ne se limite pas simplement à chercher la formule reboot par un rajeunissement, le principe se tient et est bien alimenté. Et puis il ne s'agit pas de renier l'ensemble des Addams qui sont tous bien présents, mais simplement mis en retrait. La démarche est d'autant plus astucieuse qu'avec le cadre de l'école, on se retrouve dans un univers qui évoque Harry Potter, autant dire que c'est forcément séduisant pour un large public sans que ça ne puisse se résumer à un simple calcul marketing. Car il y a un vrai récit engageant derrière et ce pilote à lui seul démontre une belle volonté de rythmer sa narration. C'est créatif, c'est soigné et ça se permet même des petites fulgurances dans le développement. Je pense notamment à la séquence Paint It Black qui permet d'accélérer l'exposition de l'ensemble des protagonistes pendant que Wednesday joue les Stones sur violoncelle.
Je n'aurais que des louanges sur le casting de première classe. Jenna Ortega est idéale pour remplacer Ricci en Wednesday. C'est vrai qu'elle est habituée du cinéma horrifique (X, le dernier Scream en date), là ça va la faire connaître d'un public plus large. Marrant de voir Christina Ricci ne pas être négligée pour autant en endossant un autre rôle. La famille Addams a tendance à se latiniser un peu plus. On avait déjà Raul Julia en Gomez dans la version ciné, ici remplacé par le prolifique Luis Guzmán. Ce qui n'empêche d'avoir la galloise Caterine Zeta-Jones en Morticia et ça c'est quand même la cerise sur le gâteau. Elle est idéale pour le rôle, c'est une actrice qui a un potentiel énorme et qui n'a certainement pas fait la carrière qu'elle aurait mérité. En ajoutant Brienne of Tarth (désolé je n'en décroche pas) en proviseure de l'établissement scolaire, n'en jetez plus, la cour est pleine, je suis conquis.
On nous laisse au terme du pilote avec un paquet d'amorces (la malédiction des visions, le passé de Gomez…) qui devraient suffire à offrir une première saison sans chutes d'intérêt prévisibles. Je ne pense pas que la qualité devrait s'amoindrir non plus, sachant que Burton a réalisé la première moitié des épisodes, ça montre une certaine implication sur l'ensemble. Il y a quand même pas mal d'indices pointant que c'est une bonne pioche…