En général Nolan parvenait à me récupérer dans la dernière ligne droite de la fin de saison dans le genre rattrapage aux branches. Là non... C'est juste merdique, sans grand intérêt. Le monologue de Dolores qui voudrait lancer la saison 5 est juste tarte. Elle explique que l'humanité (tout comme les IA) s'est vue l'opportunité d'une vie intelligente et a choisi l'auto destruction. Perso j'ai surtout vu des humains lobotomisés avec des mouches par des IA qui ont reçu l'ordre de s'entretuer. Sinon ça se passait assez bien avec nos problèmes habituels. Mais bon Dolores a tout compris sur l'humanité, les IA, alors qu'elle a été à côté de la plaque toute la saison durant...
Toujours pareil, ce besoin d'être sentencieux en t'assénant des trucs supposés être haut perchés et en fait ça ne vole pas très haut.
Je me félicite que Bernard ait à peu près réussi son plan, bien qu'ayant du mal à envisager qu'il n'y avait aucune autre issue moins catastrophiste. Ces robots ne sont quand même pas si compliqués à déglinguer. Il suffit de bien penser à détruire la bouboule. C'est fait pour l'homme en noir et pour Charlotte (heureusement qu'elle s'en charge elle même car les autres avaient oublié).
Pour la suite c'est compliqué. On ne sait pas trop où se situe Dolores qui est essentiellement désincarnée dans ses simulations et autre Sublime. On aurait la possibilité de retrouver Maeve si sa bouboule n'a pas été détruite... Caleb est au bout des duplications. Ils doivent avoir des back up un peu partout sur leurs clouds. Et ça reste le problème de tous ces personnages devenus accessoires à force de ressusciter et qui dégagent de moins en moins d'émotions. Je ne me souviens pas avoir vu d'oeuvre dans laquelle l'humanité est éradiquée mais je m'en contrefous tant sa représentation manque de chair et d'âme. Tout semble tellement artificiel que rien ne me touche. Je me demande si c'est lié à un excès de misanthropie chez les auteurs...
HBO est toujours ok sur la production. Visuellement c'est souvent chouette. Une belle coquille donc, remplie avec pas mal de mayonnaise.
Toujours pareil, ce besoin d'être sentencieux en t'assénant des trucs supposés être haut perchés et en fait ça ne vole pas très haut.
Je me félicite que Bernard ait à peu près réussi son plan, bien qu'ayant du mal à envisager qu'il n'y avait aucune autre issue moins catastrophiste. Ces robots ne sont quand même pas si compliqués à déglinguer. Il suffit de bien penser à détruire la bouboule. C'est fait pour l'homme en noir et pour Charlotte (heureusement qu'elle s'en charge elle même car les autres avaient oublié).
Pour la suite c'est compliqué. On ne sait pas trop où se situe Dolores qui est essentiellement désincarnée dans ses simulations et autre Sublime. On aurait la possibilité de retrouver Maeve si sa bouboule n'a pas été détruite... Caleb est au bout des duplications. Ils doivent avoir des back up un peu partout sur leurs clouds. Et ça reste le problème de tous ces personnages devenus accessoires à force de ressusciter et qui dégagent de moins en moins d'émotions. Je ne me souviens pas avoir vu d'oeuvre dans laquelle l'humanité est éradiquée mais je m'en contrefous tant sa représentation manque de chair et d'âme. Tout semble tellement artificiel que rien ne me touche. Je me demande si c'est lié à un excès de misanthropie chez les auteurs...
HBO est toujours ok sur la production. Visuellement c'est souvent chouette. Une belle coquille donc, remplie avec pas mal de mayonnaise.