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Note moyenne de cet épisode: 7.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 16
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russel 
7.0
7.0
Mais... What's the fuck?
C'est avec ce type d'épisode qu'on voit que les showrunners ne savent plus où ils habitent. Tu lis le scripte, tu dis, on ne peut pas tourner ça, c'est trop con, ça ne veut rien dire.
On se sera emmerdé avec cette histoire de tour, de Strand qui pète les plombs et joue les dictateurs, on ne sait pas trop pourquoi. Et puis on le conserve au bout du compte à bord après avoir tout foutu en l'air. D'ailleurs la tour, il faudra m'expliquer pourquoi on n'a pas éteint l'incendie situé sur le toit et que tout le monde s'enfuit préférant errer dans la pampa atomisée peuplée d'une horde de zombie radioactifs plutôt que de tenter de sauver une base parfaitement équipée pour la survie. Le pire étant qu'on retourne dans la tour au bout du compte. Pour y chercher une radio qui a fondu. C'est tellement con. Et mièvre avec cette histoire d'oiseau, d'enfance perdue. On est en pleine apocalypse, je veux dire il s'agit de survivre, de faire face au danger présent. Mais non, Alicia renoue avec les grands travers de sa famille maudite qui défient toute logique. Et surtout qui fout les autres dans le pétrin en général. On nous évoque la désastreuse Madison, c'est vrai qu'elle nous manque. J'espère que le spoiler de son supposé retour est une blague. Le minimum aurait été que Alicia finisse par mourir de sa septicémie zombiesque, qu'on soit définitivement débarrassé du clan Clark, qu'on reparte sur des bases saines avec Dwight et Morgan. Et en fait non, l'autre finit par se relever, impeccable, guérie. Ce qui sous entendrait qu'elle aurait en elle un anticorps contre le truc qui transforme en mort vivant? Un vaccin enfin? Mais ça ne semble même pas soucier les scénaristes. Alicia repart sauver des gens, c'est à dire en gros pourrir l'existence d'autrui.
On a vu Morgan sur son radeau. On ne comprend pas ce qu'il fabrique mais il encourage tout le monde à le rejoindre. C'est ridicule. On essaye de nous servir de l'émotion, ça pleurniche, ça se plaint, ça fait de l'introspection avec des dialogues creux durant des heures et au bout du compte plus rien ne tient debout, c'est un désastre...
C'est avec ce type d'épisode qu'on voit que les showrunners ne savent plus où ils habitent. Tu lis le scripte, tu dis, on ne peut pas tourner ça, c'est trop con, ça ne veut rien dire.
On se sera emmerdé avec cette histoire de tour, de Strand qui pète les plombs et joue les dictateurs, on ne sait pas trop pourquoi. Et puis on le conserve au bout du compte à bord après avoir tout foutu en l'air. D'ailleurs la tour, il faudra m'expliquer pourquoi on n'a pas éteint l'incendie situé sur le toit et que tout le monde s'enfuit préférant errer dans la pampa atomisée peuplée d'une horde de zombie radioactifs plutôt que de tenter de sauver une base parfaitement équipée pour la survie. Le pire étant qu'on retourne dans la tour au bout du compte. Pour y chercher une radio qui a fondu. C'est tellement con. Et mièvre avec cette histoire d'oiseau, d'enfance perdue. On est en pleine apocalypse, je veux dire il s'agit de survivre, de faire face au danger présent. Mais non, Alicia renoue avec les grands travers de sa famille maudite qui défient toute logique. Et surtout qui fout les autres dans le pétrin en général. On nous évoque la désastreuse Madison, c'est vrai qu'elle nous manque. J'espère que le spoiler de son supposé retour est une blague. Le minimum aurait été que Alicia finisse par mourir de sa septicémie zombiesque, qu'on soit définitivement débarrassé du clan Clark, qu'on reparte sur des bases saines avec Dwight et Morgan. Et en fait non, l'autre finit par se relever, impeccable, guérie. Ce qui sous entendrait qu'elle aurait en elle un anticorps contre le truc qui transforme en mort vivant? Un vaccin enfin? Mais ça ne semble même pas soucier les scénaristes. Alicia repart sauver des gens, c'est à dire en gros pourrir l'existence d'autrui.
On a vu Morgan sur son radeau. On ne comprend pas ce qu'il fabrique mais il encourage tout le monde à le rejoindre. C'est ridicule. On essaye de nous servir de l'émotion, ça pleurniche, ça se plaint, ça fait de l'introspection avec des dialogues creux durant des heures et au bout du compte plus rien ne tient debout, c'est un désastre...
