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Ça partait bien, mais ça fini un peu en eau de boudin.
On reprend assez vite le truc malgré le fait que ça fait un moment, faut dire que Natasha Lyonne est particulièrement à l'aise.
On suit assez bien ses voyages dans le temps jusqu'au 2 derniers épisodes où ça tourne au un peu trop too much.
Et au final on se demande si tout ça a vraiment servi à quelques chose.
Je serai pas contre une saison 3 si ça clôture l'histoire.
Ça partait bien, mais ça fini un peu en eau de boudin.
On reprend assez vite le truc malgré le fait que ça fait un moment, faut dire que Natasha Lyonne est particulièrement à l'aise.
On suit assez bien ses voyages dans le temps jusqu'au 2 derniers épisodes où ça tourne au un peu trop too much.
Et au final on se demande si tout ça a vraiment servi à quelques chose.
Je serai pas contre une saison 3 si ça clôture l'histoire.
J'ai kiffé
J'ai adoré suivre le voyage de Nadia dans cette super Saison 2.
L'actrice dégage un truc à part c'est omnubilant de la suivre épisode après épisode. Le casting est impeccable, idem pour la musique, les décors, l'image...
Vraiment chouette cette saison 2. J'ai adoré la fin.
Alors à la base, le pitch à été vendu sur 3 saisons, alors je croise les doigts pour que Netflix laisse la série se poursuivre et se terminer.
Après un jour sans fin nous voici au cœur du voyage dans le temps sur la route des Origines de la famille de Nadia et aussi Alan, même si son histoire n'a pas l'air terminé.
J'ai adoré suivre le voyage de Nadia dans cette super Saison 2.
L'actrice dégage un truc à part c'est omnubilant de la suivre épisode après épisode. Le casting est impeccable, idem pour la musique, les décors, l'image...
Vraiment chouette cette saison 2. J'ai adoré la fin.
Alors à la base, le pitch à été vendu sur 3 saisons, alors je croise les doigts pour que Netflix laisse la série se poursuivre et se terminer.
Après un jour sans fin nous voici au cœur du voyage dans le temps sur la route des Origines de la famille de Nadia et aussi Alan, même si son histoire n'a pas l'air terminé.
Ouh la !
Trouver une note juste m'est bien difficile. La saison 2 de Russian Doll va sans doute en décontenancer plus d'un, en tout cas moi le premier. La saison ne fait que 7 épisodes d'à peu près 30 minutes, donc en 3 heures et demie, moins les petits passages que j'ai sauté soyons franc, tu fais le tout en une soirée sans problème.
Ceci dit c'est assez dense. Déjà regarder la saison 2 sans avoir vu la première, euh...c'est un peu risqué, déjà que...Et c'est pas le petit résumé Netflix qui va vraiment aider.
La première saison que j'avais un poil oublié soit dit en passant voyait Nadia interprété par l'étonnante et trash Natasha Lyonne en remake d'un jour sans fin revivant sa soirée d'anniversaire après chaque mort violente ou inattendue. Elle trouvera dans cette boucle Alan un autre prisonnier et ils sortiront à deux de cette boucle dans une fin assez peu claire.
Alors cette saison 2 ? Bon pour ma part c'est un peu comme Matrix reloaded par rapport au premier Matrix... C'est plus ambitieux mais...on en sort un peu plus mitigé. Et là je prends un parallèle avec Matrix 2 pour le ton verdâtre et sombre qui hante cette saison et la boucle temporelle du train que Neo prend dans Matrix...Y a une grosse influence...Mais pas que là , le concept de voyage dans le temps, de faille temporelle n'est pas nouveau.
Cette série serait une sorte de film d'auteur où oserais-je dire un film d'humour juif new yorkais...de l'humour intello à la Woody Allen mais puissance 10. C'est presque l'histoire juive de Nadia et de sa famille, puisqu'elle va interpréter sa mère et ses problèmes avec son père qui s'enfuit avec l'argent qui a servi dans la saison 1 à ce que la mère de Nadia a utilisé pour refaire sa vie et élevée Nadia née en 1982. Et cela tombe bien puisque Nadia voyage en 1982.... En dehors du fait de se retrouver avec elle même bébé, elle sera le témoin de la vie de sa mère de sa grand mère, bref de sa famille...Mais elle retrouve aussi Alan qui lui est occupé en Hongrie, mais aussi Maxine, Ruth etc...L'histoire oscille donc entre voyages dans le temps, dans l'espace, le but étant de retomber sur ses pieds...ou non...
La musique - de l'époque - est super bien - Un épisode se nomme Coney Island car c'est le titre d'un album de Lou Reed célèbre auteur compositeur juif New Yorkais dont Lyonne est fan absolue.
Voici donc un film d'auteur digne d'un Nanni Moretti qui va surement redorer le blason de Netflix un peu en mal de reconnaissance ces temps-ci... Une oeuvre intrigante où Nadia déambule sans être étonnée de ce qui lui arrive ou si peu...Tiens je suis en 1982, putain ! Elle passe plus son temps à observer les choses et à les commenter...
Une implication totale sur un projet très personnel que la critique va adorer...ou non...c'est généreux, ca tchatche, Lyone a un abattage mortel. Le risque c'est parfois de louper une interaction avec le spectateur et son histoire et parfois je serai franc, un certain ennui peut survenir, mais je me suis ennuyé aussi en regardant "a bout de souffle" de Godard.
Dans "les affranchis" Joe Pesci raconte une vanne et Ray Liotta rigole. Jo Pesci le menace d'un flingue et lui demande : "c'est mon histoire qui te fait rire ou c'est moi qui te faire rire, peut-être que tu me prends pour un clown ?" Alors j'ai la réponse pour cette saison 2 c'est Lyonne qui fait sourire mais l'histoire n'est pas drôle du tout. Ceux qui veulent se payer une bonne tranche de rire repasseront. Les chroniqueurs de Telerama et des inrocks vont adorer.
Trouver une note juste m'est bien difficile. La saison 2 de Russian Doll va sans doute en décontenancer plus d'un, en tout cas moi le premier. La saison ne fait que 7 épisodes d'à peu près 30 minutes, donc en 3 heures et demie, moins les petits passages que j'ai sauté soyons franc, tu fais le tout en une soirée sans problème.
Ceci dit c'est assez dense. Déjà regarder la saison 2 sans avoir vu la première, euh...c'est un peu risqué, déjà que...Et c'est pas le petit résumé Netflix qui va vraiment aider.
La première saison que j'avais un poil oublié soit dit en passant voyait Nadia interprété par l'étonnante et trash Natasha Lyonne en remake d'un jour sans fin revivant sa soirée d'anniversaire après chaque mort violente ou inattendue. Elle trouvera dans cette boucle Alan un autre prisonnier et ils sortiront à deux de cette boucle dans une fin assez peu claire.
Alors cette saison 2 ? Bon pour ma part c'est un peu comme Matrix reloaded par rapport au premier Matrix... C'est plus ambitieux mais...on en sort un peu plus mitigé. Et là je prends un parallèle avec Matrix 2 pour le ton verdâtre et sombre qui hante cette saison et la boucle temporelle du train que Neo prend dans Matrix...Y a une grosse influence...Mais pas que là , le concept de voyage dans le temps, de faille temporelle n'est pas nouveau.
Cette série serait une sorte de film d'auteur où oserais-je dire un film d'humour juif new yorkais...de l'humour intello à la Woody Allen mais puissance 10. C'est presque l'histoire juive de Nadia et de sa famille, puisqu'elle va interpréter sa mère et ses problèmes avec son père qui s'enfuit avec l'argent qui a servi dans la saison 1 à ce que la mère de Nadia a utilisé pour refaire sa vie et élevée Nadia née en 1982. Et cela tombe bien puisque Nadia voyage en 1982.... En dehors du fait de se retrouver avec elle même bébé, elle sera le témoin de la vie de sa mère de sa grand mère, bref de sa famille...Mais elle retrouve aussi Alan qui lui est occupé en Hongrie, mais aussi Maxine, Ruth etc...L'histoire oscille donc entre voyages dans le temps, dans l'espace, le but étant de retomber sur ses pieds...ou non...
La musique - de l'époque - est super bien - Un épisode se nomme Coney Island car c'est le titre d'un album de Lou Reed célèbre auteur compositeur juif New Yorkais dont Lyonne est fan absolue.
Voici donc un film d'auteur digne d'un Nanni Moretti qui va surement redorer le blason de Netflix un peu en mal de reconnaissance ces temps-ci... Une oeuvre intrigante où Nadia déambule sans être étonnée de ce qui lui arrive ou si peu...Tiens je suis en 1982, putain ! Elle passe plus son temps à observer les choses et à les commenter...
Une implication totale sur un projet très personnel que la critique va adorer...ou non...c'est généreux, ca tchatche, Lyone a un abattage mortel. Le risque c'est parfois de louper une interaction avec le spectateur et son histoire et parfois je serai franc, un certain ennui peut survenir, mais je me suis ennuyé aussi en regardant "a bout de souffle" de Godard.
Dans "les affranchis" Joe Pesci raconte une vanne et Ray Liotta rigole. Jo Pesci le menace d'un flingue et lui demande : "c'est mon histoire qui te fait rire ou c'est moi qui te faire rire, peut-être que tu me prends pour un clown ?" Alors j'ai la réponse pour cette saison 2 c'est Lyonne qui fait sourire mais l'histoire n'est pas drôle du tout. Ceux qui veulent se payer une bonne tranche de rire repasseront. Les chroniqueurs de Telerama et des inrocks vont adorer.
j'ai adorée cette saison 2 et Lyonne est absolument incroyable mais j'admet que le plat n'est pas des plus facile a digérer. ^^