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Ray Liotta assure bien en vieux salaud sans coeur et se fond parfaitement dans cet univers d'espionnage pas nécessairement super hollywoodien mais plus européen dans le traitement.
On est dans le feu de l'action, désormais même plus de place pour la petite fille de machin qui a perdu son zèbre en peluche. L'heure est à régler des comptes et à remettre les pendules à l'heure. Enfin pas forcément pour Marissa qui manque une belle occase de larguer son gros traumatisme (compréhensible) et passe le relai à Hanna. Rigolo quand Marissa tombe nez à nez avec Carmichael : démerde toi, c'est tout droit au fond à droite. Un peu dommage de ne pas s'être débarrassé de Sandy, surtout que ça lui permet de refaire des dégâts.
Mais ça progresse bien. On est toujours dans la mouvance Bourne Identity, donc rien de novateur (des gros serveurs, du data collecté pour faire du crédit social en mode prédictif). C'est plus sombre, moins axé problèmes d'ados, donc forcément ça me concerne plus.
On est dans le feu de l'action, désormais même plus de place pour la petite fille de machin qui a perdu son zèbre en peluche. L'heure est à régler des comptes et à remettre les pendules à l'heure. Enfin pas forcément pour Marissa qui manque une belle occase de larguer son gros traumatisme (compréhensible) et passe le relai à Hanna. Rigolo quand Marissa tombe nez à nez avec Carmichael : démerde toi, c'est tout droit au fond à droite. Un peu dommage de ne pas s'être débarrassé de Sandy, surtout que ça lui permet de refaire des dégâts.
Mais ça progresse bien. On est toujours dans la mouvance Bourne Identity, donc rien de novateur (des gros serveurs, du data collecté pour faire du crédit social en mode prédictif). C'est plus sombre, moins axé problèmes d'ados, donc forcément ça me concerne plus.