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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 2
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Moyenne de la série : 91/100.
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russel 
18.0
18.0
On a un jeu de plateau assez idéal qui tient ses promesses dés lors que les dés sont lancés et que donc les factions se mettent en mouvement. On obtient un genre de Game of Thrones sauf que là c'est plus Game of Thugs. Sur le coup j'ai cru qu'ils allaient encore nous sortir un paquet de protagonistes. Ce n'est pas qu'ils soient hautement estimables, mais j'aimerais encore profiter de quelques séquences supplémentaires pour certains tant leur prestation est épatante. Je pense notamment à Gaetano qui est tellement azimuté que c'est toujours un régal de le voir rouler des yeux comme un taureau demeuré. Idem pour Odis Weff qui bien qu'étant un flic ripoux sans colonne vertébrale, parvient à rester touchant par ses tocs invraisemblables (même la braguette est concernée par son mal). Le gars est logiquement tiraillé entre tous les camps, sa vie devient un enfer, en plus de son handicape.
Pas mal de personnages restent un peu en marge de l'affrontement. Spécialement Deafy qui va forcément mettre tout le monde d'accord au bout du compte même si tout est difficilement prévisible tant les showrunners se permettent à peu près tout ce qu'ils veulent. Mayflower est un peu en marge également avec sa storyline , je suppose qu'elle vient de donner sa dernière dose de "Rivotril" à son patient en souffrance. Mais sait-on jamais...
Sur l'ensemble de la saison la réalisation ne baisse pas d'un ton. Là encore un paquet de plans remarquables (j'adore cette esthétique des routes déneigées noires). C'est bourré d'idées mais en plus c'est ultra maîtrisé. Chapeau...
Pas mal de personnages restent un peu en marge de l'affrontement. Spécialement Deafy qui va forcément mettre tout le monde d'accord au bout du compte même si tout est difficilement prévisible tant les showrunners se permettent à peu près tout ce qu'ils veulent. Mayflower est un peu en marge également avec sa storyline , je suppose qu'elle vient de donner sa dernière dose de "Rivotril" à son patient en souffrance. Mais sait-on jamais...
Sur l'ensemble de la saison la réalisation ne baisse pas d'un ton. Là encore un paquet de plans remarquables (j'adore cette esthétique des routes déneigées noires). C'est bourré d'idées mais en plus c'est ultra maîtrisé. Chapeau...
